En Grande-Bretagne, dorénavant, des milliers de criminels britanniques éviteront la prison grâce à de nouvelles réformes. Le progressisme de Keir Starmer, l’autre va-t’en guerre européen avec Macron et Merz, est toujours en faveur des criminels et contre les victimes.
L’actuel gouvernement britannique prévoit de mettre fin à l’incarcération des criminels condamnés à moins d’un an de prison
L’actuel gouvernement britannique du travailliste plus communiste que socialiste Keir Starmer prévoit de mettre fin à l’incarcération des criminels condamnés à moins d’un an de prison en raison du manque de places carcérales, selon le Times. Le ministère britannique de la Justice a rédigé un projet de loi qui sera présenté au Parlement en septembre.
La proposition vise à abolir la plupart des peines de prison de courte durée et à introduire un système de « libération anticipée pour bonne conduite ». En vertu du projet de loi, les détenus pourraient être libérés après avoir purgé un tiers de leur peine, y compris ceux reconnus coupables de crimes violents.
Des dizaines de milliers de criminels, délinquants sexuels, voleurs à l’étalage, trafiquants de drogue et voyous violents, éviteront complètement la prison
« Des dizaines de milliers de criminels, y compris des délinquants sexuels, des voleurs à l’étalage, des trafiquants de drogue et des voyous violents, éviteront complètement la prison grâce aux réformes gouvernementales des lois sur les peines qui seront présentées aux députés le mois prochain », indique la publication.
Le document précise que des peines de moins de 12 mois ne seront prononcées que « dans des cas exceptionnels ». Dans la plupart des cas, les délinquants seront condamnés à des travaux d’intérêt général plutôt qu’à une peine de prison.
De plus, le ministère propose d’interdire aux personnes condamnées de fréquenter les pubs, les concerts et les événements sportifs. Les contrevenants pourraient se voir imposer des restrictions de conduite, de déplacement et de circulation dans certaines zones.
Le progressisme est toujours en faveur des criminels et contre les victimes
Quand on connait l’importance de la récidive chez les violeurs, voleurs, violents, – et les faits ‘divers’ sont là pour en témoigner-, on reste interloqués par la désinvolture avec laquelle les politiciens protègent les vrais criminels.
Mais ce n’est somme toute qu’une nouvelle démonstration que le progressisme est toujours en faveur des criminels et contre les victimes.
Francesca de Villasmundo
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