Le passé rattrape Christian Estrosi !
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La bonne conscience nous est interdite mais il y a des limites à la mauvaise conscience. Notre héritage, qui ne fait certes pas de nous des êtres supérieurs, mérite d’être préservé, entretenu et transmis aussi bien aux autochtones qu’aux nouveaux arrivants.
Reste à savoir, dans un monde qui remplace l’art de lire par l’interconnexion permanente et qui proscrit l’élitisme culturel au nom de l’égalité, s’il est encore possible d’hériter et de transmettre…
Le Livre de Finkielkraut : http://www.livresenfamille.fr/p9066-alain_finkielkraut_identite_malheureuse.html
je remercie M. Finkielkraut d’avoir osé écrire ce livre. Il lui a fallu bien du courage et de la conviction (l’un n’allant pas sans l’autre) pour dénoncer le suicide collectif de l’Occident, et de la France en particulier. Nous sommes tous devenus des zombis manipulés, sans mémoire collective, sans respect de ce que fut notre Histoire. Car celle-ci n’a pas commencé en 1789 comme voudrait le faire croire cette gauche méprisante du peuple et très arrogante. Le désespoir nous prend devant l’indifférence générale à vouloir être ce que nous sommes : des Européens avant tout ! La tolérance instaurée en système de pensée et de vie n’est que lâcheté. Certains pensent qu’ils échapperont à une guerre civile. Laissons-les à leur naïveté, car le communautarisme aura raison de la nation et, étrangement, ce seront ceux venus d’ailleurs qui aiment vraiment la France qui la défendront le mieux… On ne peut que balancer entre le chagrin et la révolte lorsque l’on prend conscience de l’état de délabrement de la société occidentale. Car enfin, la liberté individuelle n’est pas une fin en soi. Elle s’arrête là où commence l’intérêt général. Celui-ci porte désormais un nom : la résistance !