Jordan Bardella eurodéputé RN et président par intérim du parti, vient d’annoncer qu’il est mis en examen pour des propos tenus 4 mois plus tôt.
En effet, dans un communiqué de presse déplorant la réélection du maire de Trappes Ali Rabeh, il évoquait en octobre dernier la passivité du gouvernement devant « la constitution de Républiques islamiques en miniature. » Il demandait la révocation du maire qu’il soupçonnait de clientélisme islamiste et la mise sous tutelle de la ville.
Jordan Bardella rappelle aujourd’hui le contexte de sa mise en examen, évoquant la mise sous protection policière de la journaliste Ophélie Meunier et d’un de ses confrères roubaisiens menacés de mort suite à la diffusion d’un reportage sur M6 qui menait l’enquête sur l’islamisme en France.
L’eurodéputé déplore « que la justice française poursuive le même but aujourd’hui que les islamistes, à savoir faire taire ceux qui dénoncent le réel et ceux qui refusent de voir d’innombrables quartiers en France se transformer ».
Voilà une analyse réductrice qui place côte à côte la justice française et les islamistes, laissant entendre que l’Etat français cloue surtout au pilori ceux qui dénoncent la progression de l’islamisme dans notre pays.
Or le problème est plus étendu : la justice française ne fait pas que mettre au silence les critiques de l’immigration et de l’islamisme sous l’étiquette infâmante de « provocation à la haine raciale ». Non, elle cloue au pilori TOUS ceux qui critiquent l’action ou l’inaction gouvernementale de près ou de loin et dans quelque domaine que ce soit : immigration, islamisme, histoire, mondialisme, diktat médical et sanitaire.
Dans un tweet, Jordan Bardella ajoute :
« Les persécutions physiques ou judiciaires de ceux qui disent le réel en disent long sur l’état de la France. Agissons avant qu’il ne soit trop tard ».
Je dirais plutôt « en disent long sur l’état de l’Etat français ». En attendant l’islamisme monopolise les débats de la campagne présidentielle, occultant d’autres sujets, tel l’arbre cachant la forêt. Osez les bonnes questions : Qui garde les frontières ouvertes ? Qui paye les passeurs ? Qui a intérêt à ce qu’il y ait une telle immigration ? Qui a intérêt à mettre en place le pass vaccinal et la surveillance de la population ?
Qui persécute qui ? Du moment qu’il s’agit du français autochtone toutes les instances du pouvoir se réunissent à pieds joints pour le faire taire par tous les moyens et pour condamner ses paroles et/ou ses actes d’une façon implacable qui lui semble réservée et dont les peines infligées sont appliquées avec une virtuosité exceptionnelle.
Le « Ministère de la Vérité » a encore frappé, voulant modifier jusqu’à la perception de la réalité. Un terrorisme de la pensée rendu possible uniquement grâce à l’apostasie généralisée et à l’inversion des valeurs s’appliquant à tout le pays de gré ou de force, pays dont les instances dirigeantes rejetant Jésus Christ rejettent par là-même la Vérité.
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Avant la séparation de l’Eglise et de l’Etat, quand la religion catholique était la religion d’Etat, des processions étaient organisées pour prier contre les épidémies et autres calamités.
Je suis le chapelet sur KTO.
Quand on voit certains officiants à Lourdes ne pas respecter l’ordre de prière du chapelet, zapper le Credo et les premiers avé, mais rajouter d’autres mots dans les dizaines. on se demande si, finalement, le Bon Dieu et la Sainte Vierge n’en auraient pas un peu marre que certains cherchent à se démarquer en ne faisant qu’à leur tête.
Surtout, quand on sait que les avé sont les paroles de Salutation de l’Ange à Marie … .
Exemple : « … et Jésus, votre fils crucifié au lieu de « le fruit de vos entrailles » … .
Est-ce que l’Ange quand il s’adresse à Marie (qui n’est pas encore enceinte) lui dit que son fils sera crucifié ???
C’est comme si l’officiant (un être humain) disait à l’Ange (envoyé de Dieu) qu’il n’a pas bien fait son boulot. Je suis vraiment désolée, mais je préfère zapper ces chapelets-là. La prière, ce sont des paroles consacrées qui véhiculent une énergie. En changer les mots, sur un simple coup de tête, c’est perturber cette énergie-là.
Dingoglio va faire des processions dans le jardin du Vatican en l ‘honneur de la Pachamama.
il en profitera pour faire prendre le frais à la statue de Luther.
« il en profitera pour faire prendre le frais à la statue de Luther. » Et la repeindre en arc-en-ciel
A Marige Gemarie
Petite correction :
Sauf erreur de ma part, l’Ave Maria commence par 2 salutations :
a – celle de l’Ange : « Ave Maria, gratia plena, Dominus tecum, benedicta tu in mulieribus »
b – et celle de sa cousine Elisabeth,
lorsque, ne tenant plus en place, Marie court lui rendre visite,
« Benedicta tu inter mulieres » (sic)
« et benedictus fructus ventris tui (Jesus) » (Luc, 1, 42)
En conséquence de ces 2 salutations distinctes,
le répons suivant commence par constater
que 1 – Marie est Sainte,
puis 2 – qu’elle est Mère de Dieu
(ce qui n’est pas rien pour certains modernistes en bataille avec l’Incarnation).
Puis, contrairement au Pater, on ne précise pas
ce qu’on demande à Dieu le Père (par l’intermédiaire de Marie) :
on suppose que Dieu et Marie savent mieux que nous ce dont nous avons besoin,
et on lui demande seulement de … prier pour nous …
Les citations latines sont toutes copiées de la Vulgate (consultée sur le site de la FSSPX).
Vous avez bien raison et les commentaires abondent dans ce sens. C’est insensé ou plutôt machiavélique. Satan est à la manœuvre !
C’est vrai ce que vous dites. Mais Pourquoi font-ils cela ?
Oui, et sa cousine Elisabeth a été la première, inspirée par l’Esprit saint, à prononcer ces paroles reconnaissantes.
Je ne comprends pas bien ce que vous voulez signifier par « on ne précise pas
ce qu’on demande à Dieu le Père (par l’intermédiaire de Marie). On parle bien du Je Vous Salue Marie. A la fin, on lui demande de prier pour nous … . C’est l’essentiel.
Je pense que c’est Woody Allen qui a dit « Faites très attention à ce que vous demandez … ; vous risquez de l’avoir ! ». Donc, oui, Dieu sait mieux que nous ce dont on a besoin.
A Mirage
Dans le Notre Père, on adresse au Père (et non à son Fils Jésus) …
6 demandes particulières :
1 – que Son Nom soit sanctifié … (par nous, et par les autres)
2 – que Son Règne arrive
(oh ! que oui, que nous puissions enfin vivre … dans un monde sans péchés)
3 – que Sa Volonté soit faite sur la Terre (par nous, et par les autres)
4 – que nous sachions recevoir de Lui … le pain que nous mangeons
5 – que nous pardonnions … afin que nous soyons pardonnés
6 – que nous ne tergiversions pas avec nos tentations, mais que nous soyons délivré du Mal
Dans l’Ave, on demande seulement à Marie … de prier pour nous.
Voilà ce que j’ai voulu dire.
L’ange Gabriel n’a pas dit « Marie », il l’a appelée « pleine de grâce » : « Je te salue pleine de grâce » ou « Réjouis-toi pleine de grâce ».
« Pleine de grâce » est véritablement ce qu’EST Marie.
Cela revient à ce que dit la Sainte Vierge à Lourdes : « Je SUIS l’Immaculée Conception ».
Elle ne dit jamais : « je suis « Marie ».
A Efgy
Je suis d’accord avec vous …
mais après avoir relu la Vulgate en latin … (celle affichée sur le site de la FSSPX)
je ne suis pas certain
qu’on puisse en tirer quelque chose … sur le sens religieux de la prière à Marie.
Voici mes remarques :
1 – L’habitude est de dire : « Ave Maria (…) » sur chaque grain d’un chapelet.
Bien entendu ce n’est pas nous qui saluons Marie ! C’est l’Ange …
Nous ne faisons que répéter les Paroles de l’Ange …
Nous devrions donc dire :
« Have gratia plena Dominus tecum bedenicta tu in mulieribus » (avec un h devant ave)
(Luc 1, 28)
2 – Mais deux versets plus loin, au verset 30 on lit :
« Ne timeas MARIA invenisti enim gratiam apud Deum (…) »
Donc l’Ange
dont Marie elle-même ne connait pas encore le nom ; elle l’apprendra par Elisabeth, en lui rendant visite –
appelle donc Marie … par son nom, au moins une fois !
3 – De plus, St Jérôme traduit ainsi l’enchainement des versets 27 et 28, du grec de Luc :
» (…) et nomen virginis Maria » / « et ingressus angélus AD EAM dixit : « have gratia plena (…) »
Si bien qu’on ne sait pas …
si Luc a voulu éviter de répéter 2 fois le mot Maria,
ou s’il a fait exprès de ne pas mettre le mot « Maria » dans la salutation de l’Ange,
pour respecter la teneur exacte de cette salutation …
4 – En résumé
L’Ange ne s’est pas présenté à Marie ; mais il l’a appelé au moins une fois par son nom.
5 – Un parallèle peut être établi avec l’apparition antérieure du même Ange à Zacharie
Tout d’abord l’Ange ne se présente pas à Zacharie.
Mais comme Zacharie reste dubitatif,
l’Ange, piqué au vif, lui dit : « Ego sum GabriHel qui adsto ante Deum (…) » et pour ta pénitence tu vas devenir muet jusqu’à ce que ce que je t’ai annoncé s’accomplisse …
6 – Il est un fait que … ni à la Salette … ni à Lourdes … Marie ne se présente ;
à Fatima je ne sais plus; à Pellevoisin, à l’Ile Bouchard, il me faudrait faire des recherches.
7 – La question la plus importante … reste non tranchée :
quel est le sens religieux … et la portée religieuse … de toutes ces particularités ?
@soupape
6 – à Lourdes « je suis l’immaculée Conception » si ce n’est pas une présentation, c’est quoi?D’ailleurs le curé Peyramale a compris fout de suite.
@ Soupape
Vous ne comprenez pas ce qu’on peut en tirer sur le sens religieux de la salutation à Marie ?
Je ne sais quoi vous répondre… C’est tellement riche au contraire !
Et lorsque Dieu dit « Je SUIS Celui qui ESt », vous ne comprenez pas non plus la teneur religieuse de ce que Dieu dit ?
Le mieux est que vous lisiez le Père Kolbe, qui a très bien expliqué que lorsque la Sainte Vierge se NOMME « l’Immaculée Conception », c’est exactement ce qu’Elle EST.
De même lorsque l’ange Gabriel la NOMME « Pleine de grâce », c’est exactement ce qu’Elle EST (lisez saint Pierre Chrysologue).
(pour info, à Pellevoisin, c’est Notre-Dame de la Miséricorde, et à l’Ile-Bouchard, Notre-Dame de la Prière, à Fatima, c’est Notre-Dame du Rosaire).
Bref, cela ouvre des horizons infinis pour la prière et la méditation sur la sainteté de Marie, comme lorsque Dieu dit « Je SUIS Celui qui EST ».
ps : Luc a écrit en grec, et il a écrit « Réjouis-toi Pleine de grâce ».
Comme l’écrit Efgy, … Marie n’a pas dit : « Je suis Marie … »
Mais après avoir DIFFERE plusieurs fois sa réponse …
– alors que le curé Peyramale … exigeait de savoir son nom –
elle a fini par dire : « Je suis l’immaculée conception » … toujours sans se nommer …
Idem à la Salette,
où Maximin … a toujours dit, et écrit,
que la Dame ne lui avait jamais dit … qu’elle était la Ste Vierge …
et que c’était à l’Eglise de le dire … même si, personnellement, il n’en doutait pas !
Ce n’est pas le curé Peyramale qui a obligé la Sainte Vierge à se nommer. Elle attendait le 25 mars pour le faire, jour de l’Annonciation…
Et justement ce jour-là, elle se NOMME « Immaculée Conception », sachant que le curé comprendrait très bien qui Elle était puisque le pape Pie IX avait proclamé le dogme de l’Immaculée Conception le 8 décembre 1854…
Ainsi la Sainte Vierge approuvait qu’Elle EST Immaculée Conception, comme elle EST Pleine de grâce. Cela la définit entièrement. C’est bien pourquoi l’ange Gabriel l’appelle du nom de « Pleine de grâce ».
Que celui qui veut comprendre comprenne.