L’opinion publique à tranché: dans un sondage IFOP paru dimanche pour nos confrères de Ouest-France, les Français se disent attachés aux crèches de Noël dans les administrations et les bâtiments publics pour 71% d’entre eux tandis que seulement 18% s’y montrent défavorables.
Cela transcende les courants politiques puisque quel que soit le parti dont les sondés se disent le plus proche l’opinion en faveur des crèches se trouve majoritaire, sauf au Front de Gauche où elle se trouve légèrement défavorable (49% contre 46%).
La victoire devant le tribunal administratif de Nantes ressemble donc de plus en plus à une victoire à la Pyrrhus.
Après la classe politique qui, à droite, a pris position en faveur des crèches de Noël, allant même jusqu’à en installer dans leurs bâtiments pour certains élus ou en prenant une certaine distanciation vis-à-vis de la Libre Pensée pour la gauche, ce sont maintenant les Français eux-mêmes qui en plébiscitant la tolérance contre le sectarisme infligent un désaveu sévère à l’organisation laïciste.
17 décembre à 20h, tous à Paris
place de l’Estrapade (5e arrondissement)
pour défendre la crèche de Noël
des attaques des ayatollahs de la laïcité
#TouchePasàMaCrèche
#crechesdenoel
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Vals le petit caméléon
S’il demeure évident que le “canard enchainé” exécute les ordres du Prince, comment pourrait-on s’étonner des mutations successives de notre brillant ex-premier ministre, valses ininterrompues d’affirmations contredites dans le MOI qui vient?
Fillon s’est fait jouer en se voulant l’élu du Bilderberg. Muni de ce puissant viatique, il a allègrement dépassé son concurrent de toujours avant de s’écraser sur le poteau d’intelligence posé par ses souteneurs lors de l’étape inaugurant le premier tour “républicain” .
Il s’agissait de faire exécuter un looping au prétendant de toujours. Juppé, mais un peu tard jura, devant la ruse, qu’on ne l’y prendrait plus.
Fillon, naïf, se crut bien malin mais rit qui rira le dernier. Le niveau d’intelligence dépassait le seuil requis pour planifier la guerre thermonucléaire. Tout clin d’oeil, toute connivence, tout flirt avec la gente russe relevait de la sanction immédiate.
Alors le choix se fit sur le ravi de service dans la fraiche haleine de l’Attal du bureau de placement de l’oligarque.
Le benêt aux oreilles d’âne qui, bien malgré lui,mais sur ordre, avait dû nommer l”emmanuel à la tête de “son”gouvernement afin de se maintenir à la Présidence lécha les bottes de tous les fidèles de la paroisse de la noble assemblée politique pour acclamer de ses puissantes mains humides d’humilité le chouchou-joujou vanté par la Banque Rothschild.
L’Emmanuel, remis de son espérance désuète, suivit comme tous les lépreux du cirque d’obédiences diverses afin que le règne tant attendu de la gouvernance mondiale arrive enfin, telle qu’elle nous est annoncée dans la Bible.