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Pour le lobby Lgbt, les « drag-queen », ces hommes travestis en femmes qui s’exhibent dans des spectacles vulgaires, et même dans des églises tel le travesti-transsexuel-transgenre Thomas Nuewirth, de son nom de scène Conchita Wurst dans la cathédrale de Vienne du cardinal Schönborn, n’étaient pas suffisants. La nouvelle frontière transgressée sont les « drag kids », ces enfants transformés en phénomène de cirque, exhibés travestis en femmes dans des bar gay et dans des contextes hallucinants.

Une vraie violence psychologique infligée à des enfants par des parents consentants. Le plus fameux d’entre ces « drags kids » est un certain Desmond Naples, sur scène Desmond is Amazing : un enfant de 10 ans qui depuis l’âge de 7 ans est exhibé dans des bars gays, « le futur de l’Amérique » selon le chanteur drag queen RuPaul !

Dès 9ans, il déclara son homosexualité à ses parents, et son désir de s’habiller en femme. Pour comprendre la sexualisation précoce de cet enfant, il faut savoir qu’en décembre de l’an dernier, travesti en femme de manière explicitement sexuelle, il a dansé dans un local gay de Brooklyn pendant que des hommes adultes lui jetaient des dollars. Un des présents commenta par la suite :

« Je suis parti après avoir vu un enfant dansé sur la scène pendant qu’on lui jetait de l’argent. C’était samedi soir et cela m’a profondément dérangé. »

Une autre célébrité « drag kid » est le canadien Nemis Quinn, lui-aussi âgé de 10 ans, et connu sous le nom de Queen Lactatia. Nemis a déclaré :

« Je pense que quiconque peut faire ce qu’il veut dans la vie. Cela n’a pas d’importance ce que pensent les autres… Si tu veux être un drag queen et que tes parents ne le veulent pas, il te faut de nouveaux parents. »

Ainsi comme tu peux changer de sexe si cela te dérange d’être un garçon ou ne fille, maintenant tu peux changer de maman et papa si ces derniers te dérangent… Nous vivons vraiment une époque renversante !

Le phénomène « drag kids » représente une instrumentalisation de la vulnérabilité et fragilité des enfants par le lobby des invertis, en créant un inquiétant business qui est en train de dédouaner des conduites pédophiles. Ces enfants travestis sont des victimes du lobby Lgbt, sacrifiés et devenus des pions totalement asservis au gender diktat !

« Nous sommes en train d’assister à l’embrassade entre la communauté Lgbt+ et les violences sur mineurs, qui cultive la maladie mentale en promouvant le « drag » dans l’enfant. Pas besoin d’être un ingénieur en balistique pour savoir que tout cela portera au jeu sexuel »

a déclaré une ancienne victime d’abus sexuel dans l’enfance.

« Nous voyons aujourd’hui, vraiment sous nos yeux, un déclin moral comme jamais auparavant, une mentalité démentielle qui appelle le mal bien et le bien mal. »

Les paroles évangéliques résonnent claires et terribles :

« Mais celui qui scandalisera un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on lui attachât au cou la meule qu’un âne tourne, et qu’on le précipitât au fond de la mer. » (St Matthieu, 18, 6).

Francesca de Villasmundo

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Chouanne
Chouanne
il y a 10 années

J’ai fait la même expérience que M. de Laubier à l’épreuve d’admission pour enseigner, le CAFEP. On m’a félicité pour mon catholicisme et toutes mes bonnes dispositions, puis j’ai été éliminée. Par contre j’ai été admise par la faculté…

Les établissements privés ont de telles contraintes de recrutements des professeurs, qu’ils sont souvent obligés de prendre des professeurs anti-catholiques, etc.

Amakusa
Amakusa
il y a 10 années

Il est clair que les professeurs catholiques sont traqués, et ce sont les mauvais qui sont pris. Moi dans l’école où j’ai enseigné, la plupart des professeurs vivaient en concubinage, c’est-à-dire en pécheurs publics.

Autrefois, ils auraient été excommuniés.

Tanguy
Tanguy
il y a 10 années

Suite à cet entretien je me pose la question de savoir qui recrute le directeur de la « direction diocésaine ».
Si j’ai bien compris la construction de cette strate il devrait être choisi par l’évêque…

Pierre de Laubier
Pierre de Laubier
il y a 10 années
Répondre  Tanguy

Oui, il est choisi par l’évêque. Mais cette administration (à mon avis illégitime, et en tout cas opaque) échappe en fait souvent au contrôle de l’évêque. Depuis l’adoption du nouveau statut de l’enseignement catholique, en 2009, c’est l’évêque lui-même et non la direction diocésaine qui intervient dans la nomination des directeurs. Certains évêques en ont profité pour reprendre la main (exemple à Avignon).