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« Un État voyou, vorace et voleur qui rivalise
d’ingéniosité pour racketter les citoyens. »

Il y a des jours où je me dis que décidément l’ingénierie sociale est très forte, comme en témoigne cette histoire de voiture électrique.

Je l’avoue, je n’ai pas compris cet engouement. Au XXe siècle, il ne fait aucun doute que l’automobile, avant de devenir un objet de consommation, a été un bien d’équipement qui a considérablement amélioré la vie des individus et des familles.

Durant des années, avant que la folie de l’électrique ne s’empare du monde, la France et l’Allemagne ont été à la pointe du secteur.

Cependant, ces dernières années, tout a été fait pour ruiner cette industrie exactement comme on l’a fait pour les autres industries nationales et européennes voire à peu près pour tout ce qui produisait de la richesse.

Comment les médias et les dirigeants ont réussi à générer un engouement pour quelque chose qui marche moins bien, qui pollue davantage et qui, cerise sur le gâteau, finira par coûter plus cher ?

Avec une voiture diesel on arrivait à 800 kilomètres d’autonomie avec du carburant à un coût à peu près raisonnable et une solution réduite.

À l’opposé, une voiture électrique a une autonomie imprévisible qui varie selon les saisons, et, contrairement à ce qu’on a bien voulu faire croire, un bilan écologique catastrophique puisque la fabrication des batteries est très « sale ». Bon, vous me direz ce n’est pas grave, puisque ça pollue chez les autres, mais tout de même, il faut se rendre à l’évidence, le bilan n’est pas formidable.

Seulement voilà, il y a l’argument qui tue… on économise sur le carburant.

Il est vrai que, même en roulant au diesel, les passages à la pompe sont douloureux. C’est oublier un peu vite que 80% du prix du carburant est constitué de taxes.

Or nos dirigeants qui nous veulent du bien sont en train de se rendre compte que la baisse de la consommation de carburant induit une baisse de rentrées fiscales que ne compense pas la surconsommation d’électricité des couillons qui rechargent leur voiture électrique.

Il va sans dire que l’électricité ainsi consommée est elle-même taxée, mais ça ne suffit pas à un État voyou, vorace et voleur qui rivalise d’ingéniosité pour racketter les citoyens.

Déjà, les Britanniques, soucieux de nourrir comme il se doit les migrants venus de tous les pays qui finissent en « stan » violer leurs petites filles envisagent une taxe à raison de deux centimes le kilomètre.

Ainsi, celui qui roule 10 000 kilomètres par an sera racketté à hauteur de 200 euros. Et j’imagine que les mouchards capables d’envoyer à qui de droit le nombre de kilomètres parcourus sont déjà à bord des véhicules. C’est beau, la technologie !

En fin de compte, il ne reste aucun avantage à avoir une voiture électrique.

Ce qui l’ont cru sont les victimes plus ou moins consentantes de la même ingénierie sociale qui leur a fait accepter le vaccin, la Russie comme ennemi ou Macron comme président.

Pour couronner le tout, en subventionnant la voiture présentée comme « propre », le régime a fait prospérer l’industrie étrangère.

Normal puisqu’en Grande-Bretagne, comme dans le reste de l’Europe, les partis au pouvoir sont le parti de l’étranger.

Jacques Frantz

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