Le nouveau code civil et commercial de l’Argentine reconnaitra que la vie humaine commence dès la conception.
Le projet de réforme et d’unification du Code Civil et Commercial a pris hier un tournant inattendu. Ses promoteurs ont accepté une des demandes de l’Eglise catholique et des associations pro-vie : reconnaître que la vie humaine commence à la conception. A cela, s’ajoute l’interdiction de « la location d’utérus ».
Ces concessions, introduites par le président de la chambre des députés Julian Dominguez, ont provoqué un certain malaise dans l’aile progressiste du gouvernement. Les législateurs de l’UCR n’ont pas dissimulé leur désaccord avec la proposition de reconnaître que la vie humaine commence dès la conception.
Le débat parlementaire a donné lieu à une série de rebondissements. Au final, l’article 19 a été réduit à la phrase « l’existence de la personne humaine commence dès la conception », de sorte qu’un embryon non implanté – conçu dans une éprouvette– sera pour le nouveau Code civil argentin une personne.
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Ce que j’aimerais savoir est quels sont les recours contre cette dissolution de Civitas envisagée par le gouvernement maçonnique.
J’espère que Civitas a un bon service juridique et de bons avocats.et emploiera tous les recours contre cette décision arbitraire et dictatoriale.
Je l’espère aussi…
Nous sommes sortis de la politique depuis longtemps de sorte que maintenant, nous gouvernant ne sont que de sales individus qui prennent des mesures pour éliminer tous ceux qui pointent le doigt sur ce qui le dérange comme on pratique dans le « milieu ». Quand la lie est trop importante le vin est à jeter. Nous en sommes là ,je ne le supporte plus, même visuellement
Idem