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Barbier obsédé voit l'antisémitisme partout
Le fameux « bonnet jaune » antisémite de Christophe Barbier est, en fait, un chapeau rond…

Attention : jaune interdit à compter de ce jour !

Pour Christophe Barbier, le bonnet jaune des agriculteurs est un symbole antisémite car un chapeau jaune a été imposé aux Juifs en 1215.

Pauvre Christophe Barbier ridiculisé par son anti-antisémitisme obsessionnel et contreproductif et qui étale sa culture pseudo historique comme on un enfant de 4 ans étale sa confiture.

Si nous le suivons dans ses délires, à compter de ce jour, la couleur jaune est interdite dans le wokisland barbiériste.

Y compris le « petit jaune » de l’apéritif du dimanche midi ?

Rastignac

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9 Commentaires
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Clofer
Clofer
il y a 1 année

Il est complètement débile, si les juifs devaient porter un bonnet jaune, c’était un signe de stigmatisation comme on dit à boboland. Donc en porter un aujourd’hui veut dire qu’on se sent comme eux, c’est à dire rejeté.
Son fanatisme le fait se précipiter sur le moindre chiffon rouge.
Attention, l’antisémitisme remplace le complotisme dans la bouche des esclaves du système satanique.

toto
toto
il y a 1 année

Pour rester logique, il faut interdire les gilets jaunes, les Chinois, les Japonais, les Mongols, les Vietnamiens, le soleil, les citrons, les bananes, les abricots, les ananas, les pommes golden, l’or, les pamplemousses, le rire jaune, la jaunisse, le pipi, le jaune d’oeuf, le beurre, les fromages jaunes, etc… tous ces symboles anti-sémites, qui font tellement de peine à nos amis sémites…

Aetius
Aetius
il y a 1 année
Répondre  toto

Et le maillot jaune du Tour de France.

PassionFrance
PassionFrance
il y a 1 année

; – ) Ce « démon » qui incarne le Ridicule avec son écharpe été comme hiver, est aussi ma bêbête noire (et chez moi, ce rejet est carrément devenu physique, dès que je vois sa vilaine tête. Et il faut bien reconnaître que la Nature ne l’a pas gâté)…

Attention, même écrire RIRE JAUNE, RACE JAUNE, PIECES JAUNES, OR JAUNE… seront passibles d’une condamnation auprès du Tribunal de ce laideron gôchiste (je ne comprends pas les femmes : mais qui peut épouser ça ????) !

françoise
françoise
il y a 1 année
Répondre  PassionFrance

Pardonner nous sort de la spirale de la haine

Aetius
Aetius
il y a 1 année

Et une blouse blanche aussi ?

gaudete
gaudete
il y a 1 année

mais depuis que je ne regarde pratiquement que CNEWS, comme je suis heureux de ne plus voir ce charlot sue les plateaux télé, ça me fait un bien immense Heureusement que le ridicule ne tue pas sinon on l’aurait enterré depuis longtemps ou cramé, au choix

Boutté
Boutté
il y a 1 année

Gilet Jaune est une idée géniale qui ne tient qu’à ce que le code exige qu’il y en ait dans chaque voiture. Bien trouvé .

Verso
Verso
il y a 1 année

Tout est bon pour ces paranos pour se hisser au devant de la scène…

Au fait, pourquoi ? Pourquoi la condamnation du Talmud… et l´obligation du port de signes relatifs à l´appartenance d´un sujet à la communauté juive qui en résultat… car en passant, rien de les différenciait physiquement des populations qui les acceuillaient en leur sein (il ne saurait donc être question de « racisme ») ?
L’Eglise et la condamnation du Talmud
Très tôt l’Eglise s’est inquiétée du Talmud dont on pouvait constater l’influence nocive sur le comportement des populations juives, mais il fallut cependant attendre le XIIIe siècle pour qu’une véritable politique d’examen approfondi du contenu du texte soit entreprise afin de déterminer sa nature exacte, et surtout qu’en soient fermement condamnées les affirmations principales et les blasphèmes absolument scandaleux que l’on découvrit dans ses pages…

La première condamnation : Innocent IV Impia Judaeorum perfidia

C’est à Paris, en 1240, que le premier procès du Talmud se déroula, lorsque, après avoir été expulsé de l’école juive dans laquelle il se trouvait, Nicolas Donin (+ 1287), qui s’était converti en 1235 au christianismeet devint franciscain, dénonça les principaux passages antichrétiens du texte, ceci dans une confrontation publique avec le rabbin Yehiel de Paris (+1286) qui était alors le responsable de l’école talmudique (yeshiva), confrontation où furent présents Eudes de Châteauroux chancelier de la Sorbonne,ainsi que du côté juif, Moïse de Coucy, Juda ben David et Samuel ben Salomon. Faisant suite à sa démonstration, qui épouvanta les examinateurs et théologiens ecclésiastiques dans laquelle Donin cita des passages entiers du Talmud, dont il prouva qu’il était devenu pour les juifs une autre loi (alia lex) quasi supérieure à celle de la Torahmontrant qu’il contenait d’horribles blasphèmes, encourageait à la haine envers les chrétiens et autorisait les juifs à se jouer des « goyim », de les voler voire les tuer, 24 charrettes remplies de manuscrits talmudiques furent brûlées en place de Grève le 20 juin 1242…

https://lebloglaquestion.wordpress.com/2015/11/03/leglise-et-la-condamnation-du-talmud/

Pourquoi ? Voilà la question qui devrait toujours se poser quand confronté à ce genre de discours…

Le talmud ? Qui l´aurait cru ? Charlemagne, où l’âge d’or des juifs
Pour donner à « ses » juifs les moyens de s’instruire, Charlemagne fit venir de Narbonne deux savants juifs, Kolonymas et son fils Moïse. Il les autorisa à construire une sorte de village, schtetel avant la lettre. On y trouvait des maisons d’habitation mais aussi une synagogue et une yechiva (école talmudique). Les terrains ont été offerts par le souverain et la communauté avait droit à la jouissance totale de cet ensemble dont elle édictait les règles. Kolonymas porta alors le titre de prince et l’ensemble du domaine s’appela « la cour du roi des juifs ».
https://franceisrael.fr/2022/10/24/charlemagne-ou-lage-dor-des-juifs/

Ne représentant qu’une proportion infime de la population juive dans le monde, ils réapparaissent à la fin du viiie siècle au nord-ouest de l’Europe où, sous l’égide des Carolingiens, prendra naissance le judaïsme ashénaze… nous dit-on…

C’est en effet à l’initiative du roi des Francs Pépin le Bref (715-768) et de son fils Charlemagne (771-814) que des Juifs s’installent en Rhénanie. Deux des premières familles à s’y établir sont celles des célèbres rabbins Kalonymos de Lucques en Italie, et Aboun l’Ancien du Mans en France, à la fois très riches et grands érudits. Deux personnalités éminentes qui établissent rapidement des liens de mariage entre leurs familles et dont les descendants constitueront l’élite dirigeante des trois grandes cités rhénanes, Mayence, Worms et Spire…

Les premiers pas du judaïsme ashkénaze
https://www.cairn.info/histoire-des-juifs-de-la-genese-a-nos-jours–9782262042806-page-138.htm