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« Rendons justice aux dizaines de millions de victimes du communisme » [Frédéric Masquelier, maire LR de Saint-Raphaël]
La stèle [Voir photo ci-dessus], réalisée en collaboration avec le sculpteur Nicola Rosini Di Santi, a coûté 28.000 euros à la collectivité.
La municipalité varoise explique ainsi son symbolisme :
«La couleur fait penser aux heures les plus sombres : famines, purges, déportations. Il s’agit également d’une lueur d’espoir avec la destruction de cette idéologie mortifère»
Idéologie jamais condamnée insiste la ville de Saint-Raphaël qui déclare courageusement :
«Les victimes de Trotski, Staline, Pol Pot, Mao ou encore Ceausescu se comptent en millions et pourtant, il n’y a jamais eu de procès de Nuremberg du communisme. Ce monument rend hommage aux victimes de cette idéologie».
Attaqué par la section communiste du Var – enfin, ce qu’il en reste – Frédéric Masquelier ne s’en laisse pas conter et rappelle les tenants du « fascisme rouge » à leurs origines oppressives :
«Rien ne changera jamais chez les apôtres du stalinisme qui liquident leurs opposants par l’injure et les éléments de langage du parti».
Rappelons à nos lecteurs que le PCF a collaboré avec le régime nazi jusqu’en juin 1941 et que la légende des 75 000 fusillés communistes a fait long feu depuis belle lurette !
Nos confrères de Boulevard Voltaire remettent les choses en place en soulignant « qu’il y a presque vingt ans, en décembre 2006, un article de Michel Lefebvre montrait déjà que le PCF avait obéi à Staline et, donc, collaboré jusqu’en 1941, et qu’il y avait eu 4.520 fusillés en France, dont 80 % à 90 % de communistes, soit entre 3.600 et 4.000 personnes – ce qui n’est pas exactement pareil. On peut mettre ce chiffre en parallèle avec celui des militants de droite radicale (les « fascistes ») qui ont fini au poteau, comme d’Estienne d’Orves, ou déportés comme le colonel de La Rocque. »
Nous invitons toutes les mairies de « droite » – et spécialement celles du RN- à renouveler cette courageuse et louable initiative varoise afin d’obtenir, enfin, un Nuremberg des crimes communistes jamais condamnés.
Paul DEROGIS
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