Les mots employés par le président Trump étaient infiniment plus mesurés, il avait reproché à son vice-président son manque de courage, qui avait laissé passer une occasion de corriger une fraude électorale historique.
3- La dernière option qui restait au président, après avoir frappé aux portes du législatif (les législateurs des Etats clefs, pour leur demander de modifier leurs choix d’électeurs), et du judiciaire (Tribunaux locaux, Cours d’Appel et Cour Suprême), était l’option militaire, voir ici.
En effet, l’“Insurrection Act” de 1807, permet au président de déclarer la loi martiale en cas d’insurrection, pour peu qu’il ait, au préalable, appelé publiquement à la dispersion des insurgés.
Le décret présidentiel EO (Executive order) du 12 septembre 2018 l’autorisait à appliquer des sanctions et à geler des avoirs en cas d’intervention étrangère dans des élections américaines. Trump avait eu la prévoyance d’adopter ce décret qui couvrait les méthodes de votation modernes, notamment par machines.
L’intervention étrangère avait été invoquée par l’avocate Sidney Powell à l’encontre de la Chine, de l’Iran, du Vénézuela et peut-être aussi de l’Allemagne, puisque les disques durs de la machine Dominion avaient été capturés dans un raid militaire euro-américain sur l’ambassade américaine de Francfort, en fait un centre d’opérations de la CIA.
De nouveaux documents accablants ont émergé le 6 janvier, jour de l’Epiphanie à plus d’un titre, qui révèlent un complot beaucoup plus vaste, englobant aussi l’UE : le premier ministre Arturo Conte d’Italie y est impliqué, l’ancien premier ministre Matteo Renzi, le renseignement britannique (MI6), le général Claudio Graziano, président en exercice du Comité militaire de l’UE (la plus haute instance militaire de l’UE), le Royaume-Uni, sans doute l’Allemagne et la France, l’ex président Obama et la CIA. C’est donc du très lourd car il s’agit de haute trahison de la part de pays membres de l’OTAN, contre un allié, et de la part d’un ancien président et d’une officine américaine contre le président en poste. Le complexe militaro-industriel se servait de l’OTAN pour faire tomber le président Trump.
Le 25 décembre 2020, ces documents ont été remis au président Trump par une ONG s’occupant de bonne gouvernance et de transparence : “Nations in Action”.
Ils formaient en quelque sorte le chaînon manquant qui expliquait comment toute l’opération de fraude s’était articulée. Les votes étaient partis des machines situées aux Etats-Unis, pour être acheminés par connexion internet vers le serveur de Francfort, ce qui est en soi une grave violation car les machines de vote ne devraient jamais être reliées à l’internet. A partir de Francfort, les votes étaient envoyés à Rome, où se faisait la manipulation. Un algorithme avait été mis au point grâce à l’aide d’un agent du MI6, qui était venu à Rome prêter main forte aux informaticiens de la firme Leonardo, elle-même fournisseur d’accès à des connexions satellitaires militaires.
Après avoir été manipulés, les tableaux de vote repartaient pour les Etats-Unis par internet. Les satellites Leonardo étaient loués par l’Italie, mais opérés par le Vatican (probablement pour éviter que l’Italie, membre de l’OTAN, n’apparaisse dans le scénario). Il s’agissait d’opérations secrètes, de type Gladio, entièrement financées par le Royaume-Uni. Le montage était la trouvaille d’Obama.
Un pépin avait nécessité la mise en arrêt des tabulateurs : l’algorithme, qui avait été conçu pour faire basculer les votes de la colonne de Trump vers celle de Biden, s’était détraqué par le raz-de-marée inattendu des votes pour Trump. Il avait fallu mettre les machines en pause pendant quelques heures, le temps de pouvoir corriger le problème en modifiant l’algorithme pour lui permettre de prendre en charge des écarts aussi importants entre les candidats.
La confession de l’exécutant de cette intervention : le chef du service d’informatique de la firme Leonardo, s’était faite sous serment devant la justice italienne. La preuve était donc irréfutable.