Le Fonds Monétaire International (FMI) a publié une étude sur l’effet macroéconomique des migrations internationales qui est naturellement un nouveau plaidoyer mondialiste pour intensifier l’immigration de grand remplacement vers le continent européen.
L’étude du FMI prétend faire un exercice de projection des flux migratoires d’ici 2050 et affirme sans rire qu’une hausse massive de l’immigration vers l’Europe serait une opportunité économique. Pour la Haute Finance apatride probablement. Mais pour les Européens de souche, nous nous permettons d’en douter. L’étude du FMI l’avoue d’ailleurs en termes choisis : toute la population « native » ne tirerait pas le même avantage de ce coup de pouce économique, certaines tranches risquant de se retrouver en concurrence avec les nouveaux arrivés et de voir leur situation menacée. Comme c’est joliment dit.
L’étude du FMI rejoint d’autres publications de l’ONU faisant elles-aussi, depuis de nombreuses années, l’apologie d’un grand remplacement de population sur le continent européen. En l’occurrence, le FMI estime que l’Europe et l’Asie centrale devraient accueillir 24 millions d’immigrés supplémentaires en provenance de l’Afrique subsaharienne d’ici 2050.
Sans surprise, l’étude du très mondialiste FMI proclame qu’a contrario, les mesures de contrôles et restrictions de l’immigration auraient tendance à être contre-productives du point de vue économique. Pour les exploiteurs de main d’œuvre payée au rabais, sans doute.
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Il est vraisemblable que Judas n’était pas présent à la Sainte Cène.
Dans Jean (XIII, 25 à 30), il est clair que Judas part pendant le repas :
“Le disciple (Jean), s’étant penché sur le sein de Jésus, lui dit : « Seigneur, qui est-ce ? » Jésus lui répondit : « C’est celui à qui je présenterai le morceau de pain que je vais tremper. » Et ayant trempé du pain, il le donna à Judas Iscariote, fils de Simon. (…) Judas ayant donc pris le morceau de pain, se hâta de sortir. Il faisait nuit.”
Or, dans Matthieu (XXVI, 29), Jésus dit aux apôtres, pendant la Sainte Cène, qu’il ne boira « plus désormais du fruit de la vigne JUSQU’AU JOUR OU » il boira à nouveau avec eux « DANS LE ROYAUME » de son Père.
Il n’est pas possible que Jésus se soit adressé aux douze et ait inclus Judas dans ce discours, car Jésus ne se contredit pas. Il a appelé Judas « le fils de la perdition », il ne peut donc pas dire ensuite qu’il boira avec lui dans le Royaume de son Père.
Jésus s’adressait donc aux onze et Judas était déjà parti (cf Jean) pour Le livrer.