On nous demande de passer la communication ci-dessous (https://www.soutienpsm.com/), qui illustre bien les persécution que subissent les congrégations à l’apparence trop traditionnelle. C’est pourtant sous ces auspices toujours aussi favorables que les supérieurs de la FSSPX continuent de s’engluer dans le silence que leur impose les discussions avec ces persécuteurs… Cette affaire évoque aussi la destruction sans pitié menée par Rome contre les franciscains de l’immaculée.
Ces graves difficultés ont pour origine principale l’incohérence d’une position de Mgr Thierry Scherrer, évêque de Laval, qui a encouragé et favorisé la réalisation d’une fusion de maisons de retraites congréganistes et qui ensuite a voulu imposer une scission, sans motifs valables et sans tenir compte de la position des Petites Sœurs de Marie du Rédempteur, d’administrateurs, ni des avis d’experts. Les relations se sont vite dégradées … Dans cette affaire relevant pourtant d’un litige au plan civil, Mgr Scherrer a alors usé de son pouvoir d’évêque, par le moyen d’un précepte canonique, pour contraindre les Petites Sœurs à accepter la scission.
Durant la même période la Congrégation a dû recevoir deux visiteurs canoniques, envoyés par l’évêque, en vue du Chapitre Général des Petites Sœurs. A leur grand étonnement, le compte rendu caricatural de cette visite ne reflétait absolument pas la réalité de ce qu’elles vivent.
A la suite de quoi le dicastère romain a mandaté trois commissaires apostoliques et décidé la suspension du gouvernement central de la congrégation, sans accorder la contre visite demandée par les Petites Sœurs de Marie Mère du Rédempteur, dans le cadre d’un recours gracieux.
Un recours a immédiatement été formé par la Congrégation devant le Tribunal de la Signature Apostolique, à Rome, assorti d’une demande d’effet suspensif.
=> Pour plus de détail, consultez la lettre information des Petites Sœurs
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En matière économique, le Réseau Salariat a trouvé la panacée :
“Pour moi, l’échec du Front de gauche, du NPA et des anarchistes, de la CGT, de Solidaires, de la FSU et de la CNT, un échec qui dure depuis plus de trente ans et qui concerne aussi Attac ou les économistes atterrés, vient de ce que ces organisations n’assument pas les institutions de 1945 dans ce qu’elles ont de révolutionnaire, à savoir le début d’une autre pratique de la valeur économique (et donc du travail) que sa pratique capitaliste : salaire à vie contre emploi et marché du travail, propriété d’usage contre propriété lucrative, cotisation-salaire contre le couple impôt-prévoyance, financement de l’investissement sans crédit contre le chantage des prêteurs, mesure de la valeur par la qualification du producteur contre sa mesure par le temps de travail. Tout cela commence à se mettre en place entre les années 30 et les années 60, et ce qui est alors en jeu, ce n’est pas un autre partage de « la valeur » supposée invariante (la valeur d’échange capitaliste), c’est une autre production de valeur économique débarrassée de sa pratique capitaliste, c’est-à-dire des employeurs et des actionnaires ou prêteurs. Tant que nous continuerons à nous battre pour « prendre l’argent dans les poches du patronat » ou pour le « plein emploi » ou pour la « solidarité » avec les « victimes », autrement dit pour un capitalisme plus juste, nous serons battus.”
Voila qui mériterait un article…
https://henrymakow.wordpress.com/2015/04/20/karl-marx-etait-le-cousin-au-troisieme-degre-de-rothschild/
il va falloir que les cathos noment enfin leur ennemi par son vrai nom…
Il est risible de prétendre que le programme économique du Front National « glisse vers une conception socialiste ».
Comme s’il était « socialiste » de prôner le protectionnisme et le rétablissement de la souveraineté monétaire, comme s’il était « socialiste » de défendre l’Etat fort, comme s’il était « socialiste » de défendre les intérêts vitaux de la Nation et de lutter contre la finance mondiale et cosmopolite?
Du grand n’importe quoi.
Xavier « Celticos » nous prend pour des demeurés et croit faire de la vacuité de son argumentaire une supposée analyse politique.
Une fois de plus, il se trompe.
Tout est une question d’équilibre : défendre l’Etat oui, mais l’Etat ne doit pas pour autant tout contrôler. Or le discours de Marine le Pen glisse peu à peu vers un étatisme forcené.
Au niveau de la laïcité, n’en parlons pas ! Les mots de Marine le Pen sonnent étrangement comme ceux des pires communistes qui haïssaient la religion. On ne peut prétendre redresser une nation en voulant la couper de ses racines les plus profondes.