Albert Bourla va peut-être bien regretter de ne pas être venu en personne témoigner devant la Commission Covid-19 du Parlement Européen au vu de ce qui pourrait être, pour Pfizer, une véritable bourde de Janine Small, présidente des marchés de développement international de Pfizer.
Janine Small, au nom du directeur général de Pfizer, le Dr Albert Bourla, a témoigné lundi devant cette commission qui avait été convoqué en premier son patron qui a préféré ne pas se présenter.
Au cours du débat avec les députés, le Néerlandais Rob Roos, conservateur et farouche opposant aux passeports européens Covid-19, a demandé à madame Small si Pfizer était en mesure de fournir aux législateurs les preuves réunies (avant de le mettre sur le marché) que le vaccin aurait empêché la transmission du coronavirus.
« Le vaccin Pfizer Covid a-t-il été testé pour arrêter la transmission du virus avant son entrée sur le marché ? Si ce n’est pas le cas, dites-le clairement. Si oui, êtes-vous prêt à partager les données avec ce comité ? Et je veux une réponse franche, oui ou non, et j’ai hâte d’y être. »
🚨 Lors de l’audience COVID au Parlement européen 🇪🇺, le directeur de #Pfizer admet qu’aucun test sur l’arrêt de la transmission du #Covid n’a été réalisé sur les vaccins avant la mise sur le marché!
Le pass sanitaire a donc été imposé sans aucun fondement scientifique. pic.twitter.com/XyJsji0SwS— Tamila Tapayeva (@tamilatapayeva) October 11, 2022
À 08h50, LaPresse Mendiante n’a pas encore fait état du scandale de Pfizer au parlement européen.
Plus de 24 heures après que l’affaire ait fait la manchette au Canada anglais.
Pourtant… Follow the money!
Indécrottable Québec.
*
— André Arthur Live du Paradis (@andrearthurciel) October 12, 2022
Désarçonnée par cette question précise et claire, la présidente des marchés de développement international de Pfizer a déclaré que Pfizer ne savait pas si le vaccin empêcherait la transmission du virus avant de le mettre sur le marché : « « En ce qui concerne la question autour de, euh, savions-nous qu’il fallait arrêter la vaccination avant qu’elle n’entre sur le marché ? Non », a-t-elle admis.
Elle a en outre révélé que ce choix de mettre le vaccin sur le marché avant la fin de ces tests au sujet de la transmission a été dicté par… la loi du marché : « « Ces, hum, vous savez, nous devions vraiment avancer à la vitesse de la science pour vraiment comprendre ce qui se passe sur le marché. Et de ce point de vue, nous avons dû prendre beaucoup de risque », a déclaré Mme Small, mais les risques ce sont les les vaccinés qui les ont subis puisqu’ils ont été traités comme des cobayes.
Cette révélation, que l’on peut qualifier d’extraordinaire, élimine toute la base juridique du passeport sanitaire imposé dans de nombreux pays. En effet, avant que le vaccin ne soit approuvé aux États-Unis et en Europe, Pfizer déclarait, mais en réalité mentait, que des études montraient que son vaccin était efficace jusqu’à 91,3 % contre le Covid-19 et à 100 % pour prévenir les infections dans au moins une étude (avril 2021).
Les « passeports Covid » ont été délivrés sur la base de ce mensonge, diffusé par la bouche des fabricants de vaccins et de leur relais médiatiques et médecins complaisants de plateaux télé, qui affirmait que les vaccinés étaient protégés de la maladie et pouvaient être en contact avec d’autres personnes sans risquer de propager la maladie.
Ce mensonge, fondé sur les intérêts injustes du profit, a discriminé des millions de personnes, trompé des centaines de millions d’autres, et est à la base de la suspension sans salaire ni aides ni possibilité de démissionner d‘un grand nombre de personnel soignant non-vacciné.
Au cours de ces auditions devant la commission covid, Pfizer a également été mis sous pression pour le scandale, toujours obscurci par la Commission européenne, des échanges de communications et d’accords contractuels, par le biais de messages, entre la présidente von der Leyen et le PDG du géant pharmaceutique mondial, durement critiqué par la médiatrice européenne Emily O’ Reilly en juillet dernier.
Les eurodéputés de tous les groupes politiques se sont plaints du choix coupable d’Albert Bourla de ne pas être présent, chacun s’est indigné de l’absence de réponses de Janine Small aussi sur l’opacité des contrats d’achat de vaccins COVID-19 : pas de réponse sur les prix convenus, les contrats restent secrets pour des parties importantes des textes, rien sur les éventuels effets indésirables du vaccin ARNm de Pfizer. Tous les parlementaires, à commencer par Virginie Joron qui se bat courageusement pour obtenir des réponses claires à toutes les questions de la Commission et pour la réintégration des soignants, ont demandé une nouvelle audition à Bourla, alors que la colère contre les abus de pouvoir injustifiés commis par l’UE et de nombreux États nations grandit.
Entre temps, la théorie « je me vaccine pour protéger les autres » vient de collapser au parlement européen.

Francesca de Villasmundo
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Bon CQFD….. quoi en gros.
”Les grands trouvent toujours à minuit ce que les petits ont déjà trouvé depuis midi.”
C’était pourtant simple de s’inspirer du ”principe de précaution ” que tous les médecins ont appris :
▪︎on n’a jamais pu faire un vaccin efficace et fiable en quelques mois, il a toujours fallu plusieurs années.
▪︎on n’a jamais vacciné en pleine épidémie,
▪︎on n’a jamais préconiser de vacciner les femmes enceintes, c’est dangereux pour le foetus.
Et maintenant, puisqu’il s’avère de plus en plus, dans la suite d’enquêtes sérieuses, que ces ”potions magiques” :
▪︎n’empêchent pas d’être contaminé par n’importe qui,
▪︎n’empêchent pas d’être contaminant envers n’importe qui,
▪︎n’empêchent pas de contracter une forme grave de la maladie,
▪︎n’empêchent pas la circulation du ”virus”,
▪︎provoquent de nombreux effets secondaires parfois très graves dont le plus connu est celui du trouble du cycle de nombreuses femmes en âge de procréer, et qui est difficile à nier car, sauf cas bien plus rare de maladie, les femmes non vaccinées ne connaissent pas ce problème. (Alexandra Henrion-Caude – 26/07/22 – Quelque soit le vaccin/ou l’injection, selon la dernière étude italienne, ce sont + d’1 femme sur 2 en âge de procréer qui souffre de troubles menstruels après la 1ère dose et environ 2 femmes sur 3 après la 2eme dose),
Force est de se poser les questions élémentaires qui relèvent de la raison et du bon sens :
▪︎à quoi peuvent donc bien servir ces prétendus vaccins qui ne vaccinent contre rien du tout, ”bien au contraire”,
▪︎que peuvent-ils bien contenir qui créent tant d’effets secondaires,
▪︎pourquoi la gouvernance mondiale (dont même le ”pape”) persiste-t-elle à vouloir injecter tous les humains, même les petits enfants, les petits bébés.
Espérons que tant de femmes ainsi meutries et qui se liguent déjà parviendront à faire éclater la vérité scientifique qui est présentement désintégrée par la force du pouvoir et de la finance.
https://www.ouestmoncycle.com/
https://gloria.tv/post/6uXWiHfnCHR4AZn8MwAEwcVmY
Espérons qu’on les croira, surtout celles qui sont dans la médecine, dans la police, dans la politique.
Espérons que Dieu Trinité nous aidera à voir, savoir, comprendre et croire qu’Il ne laissera pas tout faire et qu’Il va intervenir. Sans quoi, nous sommes foutus !
Un TRES GRAND MERCI à Virginie Joron!!
Madame, vous êtes admirable … et cela fait longtemps que je vous suis.
Pfizer
bénéfice 2021 = 9 milliards $
il faut de grandes compétences pour une arnaque aussi rentable.