Vincent Bernard, historien, est spécialiste en histoire militaire et particulièrement tout ce qui concerne la guerre de Sécession.
Après avoir écrit une biographie du général Robert E. Lee, commandant en chef de l’armée de la Confédération et véritable icône du Sud, il nous propose celle du général Ulysses S. Grant, général en chef de l’Union.
Considéré généralement comme le principal artisan de la victoire de l’Union en 1865, il passe par contre pour un calamiteux dix-huitième président des Etats-Unis.
Alors qui est vraiment Ulysses S. Grant, nom qui d’ailleurs n’aurait jamais dû être le sien ? Quelle a été sa vie ? Ce livre nous fait découvrir comment cet enfant effacé et timide de l’Ohio est devenu un cavalier émérite de West Point puis un soldat courageux au Mexique, héros éphémère d’une guerre qu’il juge injuste. Comment, durant la guerre de Sécession, il fait d’Ely S. Parker, indien Sénéca et grand sachem des tribus iroquoises, un général de sa maison militaire. Comment il devient ensuite le général victorieux et magnanime de Vicksburg et Appomattox. Comment, après la guerre de Sécession, il se lance en politique, surnommé le « bébé politicien » puis accusé d’être un président corrompu.
Lors de ses funérailles en 1885, le cercueil de cet acharné défenseur de la réconciliation nationale est accompagné de deux figures de l’ancienne Confédération, Simon Bolivar Buckner, camarade de West Point vaincu à Donelson, et Joseph E. Johnston.
Ulysses S. Grant, Vincent Bernard, éditions Perrin, 336 pages, 23 euros
A commander en ligne sur le site de l’éditeur
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Le Mur des cons , toujours au service de la Révolution, toujours injuste , immonde, républicain, ami du pire.
antifa = bolchevique
Eh oui cette justice gauchiste est pourrie jusqu’à la moelle. Ne touchez surtout pas à ce ramassis de casseurs. Ils ont tous les droits jusqu »au jour où le peuple va se réveiller mais comme les merdias l’intoxiquent depuis pas mal d’années le peuple des sans dent a le cerveau formaté en fonction du bourrage de crane qu’on leur a fait.
Dès lors qu’ils s’agit de faits publics où est la diffamation ?
Peut-être que vous encourrez la même accusation pour avoir diffusé cette lettre du procureur ?
Tous les organes de l’État sont en train de mettre un couvercle sur internet pour que plus rien ne sorte en chantant très fort « démocratie » .
La démocratie est indissociable d’une part entre un équilibre des pouvoirs d’autre part avec une vraie liberté de la presse nécessaire à l’exercice de l’état de citoyen et j’ajouterai, la capacité du peuple à se rebeller contre l’oppression, toutes conditions qui n’ont jamais été réunies en France.
Un pouvoir qui se fait appeler démocratie mais qui ne l’est que d’apparence (et encore de très loin dans le brouillard) est nécessairement une dictature.
@ Paul-Emic
Je me faisais la même réflexion. C’est juste des prétextes pour museler ceux qui dénoncent la bienpensance et le politiquement correct. On n’a rien trouvé de mieux, pour l’instant… Aux petits esprits médiocres les mesquineries et autres bassesses.
démocratie !
démocratie !
que de crimes la République commet en ton nom !
Lissez « La Haute Vente » tout est là
Avec le syndicat de la magistrature il ne faut s’etonner de rien ! Le bien est jugé mal et le mal le bien.Vous voyez bien tous les jours la mansuétude des majistrats envers les délinquants et la sévérité envers quiconque semble être de droite ou catholique.Ne vous etonnez plus il y aurait un trop grand coût de balais à donner pour nettoyer les ecuries d’Augias !
La démocratie sent la ….crasse !!!!!!!!!