En France, en Italie, en Grande-Bretagne, simultanément, la vaccination des jeunes enfants est vendue comme une avancée sanitaire contre la propagation du covid par le laboratoire fournisseur des injections, Pfizer lui-même. On n’est jamais mieux servi que par soi-même…

Le vaccin Pfizer contre le Covid-19 est « sûr » et « bien toléré » par les enfants de 5 à 11 ans et le dosage adapté déclenche une réponse immunitaire « robuste », selon les résultats d’une étude annoncés lundi par le laboratoire. Que l’étude ait été réalisée en un temps éclair, que les enfants n’ont aucun risque de décéder du covid, que les effets secondaires à court et long terme ne sont pas connus encore,  ne semblent poser aucun problème aux médias au collier ou aux gouvernements qui veulent imposer cette vaccination aux plus jeunes. Pfizer s’apprête à diffuser les données qui donneront vraisemblablement le feu vert aux USA à l’inoculation du sérum produit par la même multinationale pharmaceutique américaine en collaboration avec la BioNTech allemande.

Le prochain plan sera d’étendre cette pratique aux mêmes tranches d’âge également dans toute l’Europe, en attendant qu’avec la conclusion des expérimentations menées directement sur les enfants entre 2 et 5 ans et 6 mois et 2 ans, une nouvelle extension de la campagne de vaccination ne soit planifiée.

Les seules données disponibles sur cette expérience sont communiquées par le géant pharmaceutique avec des étoiles et des rayures, qui dans son communiqué explique le dosage de sérum à inoculer aux enfants de 5 à 11 ans : 1/3 de la dose inoculée au plus de 12 ans, et aux adultes. Une posologie réduite ne signifiera cependant pas se limiter à une seule injection, étant donné que la même note précise qu’une deuxième sera nécessaire 21 jours après la première.

Moderna, l’autre société pharmaceutique qui produit un autre sérum d’ARNm, prévoit également de présenter prochainement des données sur ses expérimentations menées sur des enfants.

Cependant, en Grande-Bretagne par exemple où environ 25 enfants sont morts de Covid au cours des 12 premiers mois de la pandémie, l’organisme scientifique conseillant le gouvernement sur les vaccins a déclaré qu’il ne recommandait pas de vacciner les enfants en bonne santé pour des raisons de santé uniquement.

Par ailleurs, toujours en Grande-Bretagne, une nouvelle étude parue dans le notoire The British Médical Journal montre que, sur l’ensemble des enseignants écossais de mars 2020 à juillet 2021, le risque d’hospitalisation, d’admission en soins intensifs et de décès a été  inférieur pour les enseignants à celui des autres professions.

Claudina Michal-Teitelbaum résume l’étude succinctement :

« Un rapport de l’ECDC sur le rôle des enfants et des écoles dans la dissémination de la Covid19 : dans l‘ensemble, les enfants sont globalement bien moins contagieux que les adultes car très majoritairement asymptomatiques, les clusters scolaires sont rares.

« Cette étude, basée sur des registres, compare principalement les hospitalisations, les admissions en soins intensifs et les décès, chaque enseignant étant apparié à une dizaine de cas témoin selon des critères d’âge, de sexe, comorbidités, niveau de vie…

« Elle montre que les enseignants et leur famille ont été à moindre risque qu’un échantillon représentatif de l’ensemble des autres professions et que le risque d’hospitalisation des cas graves et des décès est environ divisé par 2 par rapport aux soignants travaillant avec des patients covid.

« Les écoles écossaises ont connu des périodes de fermeture et de réouverture progressive par niveaux et le port de masques dans les écoles n’a été généralisé qu’à partir du printemps 2021. Le risque d’hospitalisation a été quasi constamment inférieur au risque des autres professions et constamment inférieur pour les hospitalisations en soins critiques et les décès quelle que soit la période, les mesures et que les écoles soient fermées ou ouvertes.

« Bien qu’indirecte, cela me semble, encore, une excellente démonstration du fait que les enfants scolarisés ne représentent pas un risque et q leur rôle dans l’épidémie, la morbidité et la mortalité est totalement marginal. »

Et pourtant, les politiciens au pouvoir ne veulent pas laisser les enfants en paix, plus grave ils veulent leur injecter des sérums expérimentaux…

Francesca de Villasmundo 

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