« Nous demandons au pape de réviser son catéchisme concernant les personnes homosexuelles », « Le clergé est largement homosexuel » dit-il au cours de ses déclarations.
la veille du synode, un prêtre polonais travaillant à la Congrégation pour la doctrine de la foi revendique son homosexualité, revendique avoir un « boyfriend » et affiche dix exigences pour que l’Eglise change son enseignement et son catéchisme.

« Malheur à celui par qui le scandale arrive! »
Tout de suite après avoir fait cette déclaration, le prêtre a enlacé devant les caméras son « partenaire ». C’est ce qui a été montré en direct sur BFMTV, samedi.
Il a dit qu’il est difficile pour lui de franchir ce pas en raison de l' »homophobie » qui a cours chez les catholiques…
Le plus grand scandale est certes dans le fait qu’il soit homosexuel, et qu’il le revendique, et n’hésite pas à scandaliser par son attitude.
L’autre grand scandale c’est qu’il n’a même pas conscience qu’il a rompu son engagement de chasteté et de célibat. On se demande s’il y en a encore beaucoup comme lui à la Curie ? Cet homme enseigne la théologie dans les universités pontificales et s’occupe de la doctrine de la Foi …
Cet homme qui est polonais a fait des déclarations scandaleuses dans une vidéo réalisée par le groupe activiste LGBT Artykuł osiemnasty, qui n’est pas présentée dans cet article, elle est en polonais. Au cours de cette vidéo l’homme fait des demandes ahurissantes en 10 points pour influer sur le Synode sur la Famille.
« Restera-t-il encore la foi lorsque je reviendrai ? » Demande notre Seigneur.
Le pape François à peine élu avait nommé Mgr Ricca à la tête de l’IOR (la banque du Vatican) alors que des scandales du même ordre avaient éclaboussé le séjour de ce prélat [Ricca] en Argentine. De retour des JMJ du Brésil, François avait déclaré dans l’avion à propos de cette nomination scandaleuse: « Si une personne est gay et cherche le Seigneur avec bonne volonté, qui suis-je pour la juger ? » (Source)
Texte de la déclaration du Père Lombardi, le porte-parole du Saint-Siège:
« Mis à part le respect du aux personnes, à leur vie privée et au débat socio-moral, une démarche aussi retentissante à la veille de l’ouverture du Synode est offensive et irresponsable. De fait, elle tend à opérer une pression médiatique sur l’assemblée synodale. Il est clair que Mgr Charamsa ne peut plus assumer son service auprès de la Congrégation pour la doctrine de la foi comme auprès des Universités pontificales. Quant aux mesures disciplinaires le regardant, elles relèvent de son évêque diocésain. »
En fait si l’homme s’était tu, tout irait bien..?
« Mais celui qui scandalisera un de ces petits qui croient en moi, mieux vaudrait pour lui qu’on lui suspende une meule au cou et qu’on le précipite dans la mer. » Parole du Seigneur.
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Ce n est pas d aujourdui sans etre tres croyant a l epoque (annee 70)j ai ete choqué de voir une eglise majestueuse demolie en plein centre d amsterdam ,,,hashich vendu par des « couleur »,et dans les boutiques ,,,deja la je me suis cru tombé sur une planete etrangere ,,,
En France 8 personnes âgées se suicident chaque jour. Il s’agit là des chiffres officiels. En réalité c’est sans doute le double. Elles sont obligées de terminer leur vie dans une solitude absolue face à la mort. Ne pourrait-on pas les aider ? Chacun n’a-t-il pas le droit de disposer de sa vie? L’argent des soins palliatifs et des EHPAD est-il plus important que la dignité humaine ? Allez faire un tour dans les mouroirs de la république et vous verrez les choses autrement ! Dans nos sociétés modernes une mort rapide est un avenir souhaitable. Chacun, quel que soit son âge et son état de santé, devrait avoir droit à « une mort miséricordieuse ».
une mort rapide , miséricordieuse ?
et surtout profitable pour les héritiers , prêts à administrer cette « miséricorde ».
la dignité humaine a bon dos !
C’est mot pour mot le discours qu’on entend en « loge »
Parler de dignité pour revendiquer le droit à la mort est une absurdité sans nom.
Fondamentalement, s’il y a dignité, c’est qu’il y a vie. Quand on se tue, on perd toute dignité.
De plus, personne n’a le droit de disposer de sa vie puisqu’elle ne lui appartient pas ; elle appartient à Dieu.