chartres_2016_chautardNous reproduisons l’intégralité du superbe sermon de monsieur l’abbé Chautard donné à Paris lors de la messe de cloture du pèlerinage de Chartres-Paris organisé par le FSSPX. Ce sermon est à lire et à relire, à diffuser et à faire connaitre, car il remet les choses par ordre de priorité et surtout, il casse cette culpabilisation en cours dans les rangs de la Tradition dont l’objectif est de faire croire qu’un accord avec la Rome moderniste serait nécessaire pour ne pas sombrer dans le schisme :

“Soyez fiers, chers fidèles, qui que vous soyez, d’être catholiques. Et ne soyez pas apeurés par cet épouvantail que l’on agite parfois, en affirmant que nous ne serions pas catholiques à part entière, que nous n’avons pas l’esprit de l’Eglise. Qu’on nous donne ou pas un document de catholicité, nous le sommes, et nous le sommes pleinement, totalement. Et ce diplôme de catholicité, c’est notre attachement à la foi romaine, à la liturgie romaine, aux sacrements de l’Eglise, c’est notre fidélité inébranlable au Siège de Pierre – fidélité fondée sur la foi et non sur une obéissance volontariste ; ce diplôme de catholicité c’est vous, chères familles nombreuses, c’est vous familles profondément chrétiennes d’où naissent de solides vocations religieuses et sacerdotales.”

Il redonne ensuite avec élan ses lettres de noblesse au combat de la Tradition catholique.

Le reportage complet de ce pèlerinage peut être visualisé sur la Porte Latine.

Sermon écrit de M. l’abbé Chautard – Recevoir un héritage, c’est en vivre. Noblesse oblige. Chartres, 16 mai 2016

Source : La Porte Latine.

« Vous, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple que Dieu s’est acquis afin que vous annonciez les perfections de Celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière » (1). Ainsi s’adressait saint Pierre aux premiers chrétiens.

Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi-soit-il.

M. le Supérieur,

Chers confrères, mes sœurs, biens chers pèlerins, mes biens chers frères,

L’année 2016 est l’occasion de célébrer trois anniversaires : la naissance au Ciel de saint Louis-Marie Grignion de Montfort, la fondation de l’Ordre de saint Dominique, tant marqué par l’amour des pécheurs égarés par l’hérésie et la dévotion à la Vierge du Rosaire. Enfin, cette année marque le 25e anniversaire du rappel à Dieu de Mgr Lefebvre.

Notre époque est friande d’anniversaires, de commémorations, de souvenirs, comme si, dans le chaos des âmes, elle cherchait un ancrage. Et peut-être que nous aussi parfois, nous sommes nous-mêmes en quête de repères.

C’est pourquoi l’épitaphe de Mgr Lefebvre empruntée à saint Paul, Tradidi quod et accepi, j’ai transmis ce que j’ai reçu, nous rappelle opportunément la richesse de l’héritage et la nécessité de la transmission. Vingt cinq ans après, il est bon de revenir sur ce témoignage, ce testament qu’il a voulu inscrire dans la pierre pour ses fils et ses filles.

Savoir recevoir l’héritage

Quod et accepi. Ce que j’ai reçu. Bien chers frères, nous sommes des héritiers. Héritiers de Dieu, héritiers de la Croix de Jésus-Christ, cohéritiers du Ciel, héritiers d’une chrétienté jadis glorieuse, héritiers d’une belle Tradition catholique édifiée par nos anciens. Soyons reconnaissants, infiniment reconnaissants à Dieu de cet héritage mais, après en avoir remercié Dieu, sachons recevoir cet héritage, sachons le conserver, sachons en prendre la mesure.

Mes bien chers frères, gardons-nous d’un certain complexe qui a touché les catholiques et qui pourrait nous atteindre. Sous prétexte d’humilité, de charité, de vérité, on a complexé les catholiques.

On leur a reproché une doctrine soi-disant fixiste, une morale intransigeante, une piété désuète, une conception étriquée de la famille et de l’amour. On a sali la mémoire des pères. On a nourri la honte des fils. On a bafoué l’héritage. Hélas, nombre de catholiques se sont laissés gagnés, destabilisés, par cette repentance, cette auto-critique qui en a fait trop souvent des dhimmis, des vaincus, des hommes de compromis prêts à mépriser ce qu’ils aimaient et à aimer ce qu’ils méprisaient.

Le Père Charles de Foucauld, mort il y a un siècle, avait ces paroles prophétiques : « J’avais cru en entrant dans la vie religieuse que j’aurais surtout à conseiller la douceur et l’humilité ; avec le temps, je crois que ce qui manque le plus souvent, c’est la dignité et la fierté ».

Ô christiane, agnose dignitatem tuam, disait saint Léon le Grand. Ô chrétien, reconnais ta dignité. Oui, tu es fils de Dieu et non abdallah, tu es de la race des enfants de Dieu et non des esclaves de Dieu.

Soyons donc fiers de l’héritage de nos pères, c’est-à-dire reconnaissons-en la grandeur, vénérons-le, défendons-le, soyons-en des témoins enthousiastes. C’est cela être fier. Et soyons-le d’autant plus que cet héritage nous a été légué sans mérite de notre part. « Il est temps d’être humble – disait saint Pie X – parce qu’il est temps d’être fier ».

Ayons l’esprit du Magnificat, de cette joie, de cet enthousiasme, de cette reconnaissance, de cette publication des richesses de Dieu qui habitait le cœur de la Vierge Marie. Oui, remercions Dieu. Magnifions Dieu pour toutes les richesses qu’Il nous a données.

Mes frères, nous avons reçu un immense trésor : trésor de la foi catholique, trésor de la messe de toujours, trésor d’un authentique sacerdoce catholique, trésor de la doctrine de saint Thomas d’Aquin, trésor –surtout dans notre pays de France – d’une authentique pensée contre-révolutionnaire forgée dans les combats de nos ancêtres, trésor d’une véritable piété mariale, d’un culte du Sacré-Cœur, trésor des exercices spirituels. Trésor de la vie religieuse, contemplative, missionnaire, enseignante. Et je ne parle pas de cette myriade d’œuvres qui ont fleuri, refleuri, ces écoles, primaires, secondaires, supérieures, ces mouvements de jeunesse, ces tiers-ordres, ces œuvres apostoliques, ces cercles d’études de par le monde, signe évident de l’amour de Dieu et du souffle du Saint Esprit qui agit suaviter ac fortiter. Avec douceur mais avec force.

Oui, mes frères, soyons fiers de cette doctrine catholique qui a traversé les siècles parce qu’elle nous parle de l’Éternel, soyons fiers de cette morale catholique, dont les exigences ne sont que le reflet de notre élévation à la filiation divine.

Soyez fiers, chers parents, de transmettre la vie et de forger l’âme chrétienne des enfants de Dieu. Pères de famille, enseignez vos enfants ! Pères de famille, transmettez à vos fils ! Pères de famille, faites vôtre cette parole de Saint Pierre : Sachez « rendre raison de votre espérance, de vos choix, de vos positions, de votre vie » (2).

Soyez fiers, époux catholiques, d’être les images vivantes et fidèles de l’amour du Christ et de son Eglise.

Soyez fières, femmes chrétiennes, de tenir la place du cœur et non du corps.

Soyez fiers, chers fidèles, qui que vous soyez, d’être catholiques. Et ne soyez pas apeurés par cet épouvantail que l’on agite parfois, en affirmant que nous ne serions pas catholiques à part entière, que nous n’avons pas l’esprit de l’Eglise. Qu’on nous donne ou pas un document de catholicité, nous le sommes, et nous le sommes pleinement, totalement. Et ce diplôme de catholicité, c’est notre attachement à la foi romaine, à la liturgie romaine, aux sacrements de l’Eglise, c’est notre fidélité inébranlable au Siège de Pierre – fidélité fondée sur la foi et non sur une obéissance volontariste ; ce diplôme de catholicité c’est vous, chères familles nombreuses, c’est vous familles profondément chrétiennes d’où naissent de solides vocations religieuses et sacerdotales.

Qui, plus que vous, chers fidèles, adhérez à la doctrine de l’Eglise ? Qui plus que vous, êtes attachés à la Rome éternelle, à la liturgie desaint Grégoire le Grand, de saint Pie V et de saint Pie X ? Qui plus que vous, recevez des sacrements valides et non frelatés ? Serions-nous moins catholiques parce que nous sommes rejetés par ceux qui ont dilapidé l’héritage ?

Certes nous n’avons pas de structure canonique, et la légalité littérale est sans doute une chose fort bonne. Oui sans doute, mais serions-nous moins catholiques parce que nous ne possédons pas ces papiers en règle ? Est-ce pour cela que nous respectons moins le Droit de l’Eglise ? Je vais dire une folie. Le Droit de l’Eglise, nous l’avons bien davantage que ceux qui, au moyen de lois pernicieuses, distillent les erreurs modernes et séparent ce que Dieu a uni.

En disant cela, je n’entends évidemment pas dire que la sainteté est à tous les coins de rue dans la Tradition et que le mal est impensable dans nos rangs. Mais à ce jour, aucun homme n’a encore découvert un ordre des choses qui mette à l’abri des abus. Autre l’héritage autre l’héritier. Et si nous ne valons pas mieux que les autres, si nous ne sommes pas meilleurs que les autres, nous avons reçu bien davantage. Car « Nous portons – comme le dite l’apôtre – des trésors dans des vases d’argile » (3). Et si nous-mêmes nous sommes sujets aux faiblesses, aux chutes, nous appartenons au camp du vainqueur. Courage, petit troupeau, j’ai vaincu le monde (4).

Recevoir un héritage, c’est en vivre. Noblesse oblige.

Nous avons tout mes bien chers frères. Tout ou presque. Nous sommes des enfants gâtés de Dieu, chéris de Dieu. Et ce qui guette des enfants gâtés, c’est d’être blasés, c’est de passer à côté d’une richesse reçue. « Il ne faut pas mépriser les dons du Ciel » disait le poète.
Recevoir l’héritage, ce n’est donc pas le momifier, l’enfouir dans la terre comme le talent de l’évangile, mais c’est en vivre. Noblesse oblige.

Ne tombons pas comme ces catholiques conformistes des années 50 qui avaient tout, qui multipliaient les œuvres de toutes sortes mais qui en étaient venus à passer à côté de l’essentiel, à ne plus comprendre la richesse qu’ils avaient entre les mains.

Alors, nous qui avons cette richesse, comment vivre de cet héritage ? comment le faire fructifier ? Peut-être que le Bon Dieu suscitera de nouvelles œuvres dans notre belle tradition ? Peut-être ? Mais surtout, rappelons-nous la parole de Notre-Seigneur à sainte Marthe. « Une seule chose est nécessaire » (5). Et voilà ce qui prime pour l’Eglise aujourd’hui, pour la France, pour nous : la sainteté.

Ce n’est pas plus de communication, de technique qui changera la face du monde.

Ce sont des âmes de feu, des âmes qui brûlent, qui vivent de cet héritage, qui en font l’âme de leur vie. Mais pour qu’elles brûlent, ces âmes pour qu’elles brûlent doivent être embrasées par le feu du Saint Esprit. Envoyez votre Esprit, Seigneur, et il se fera une création nouvelle. Seul le feu de l’Esprit Saint éclairera ce qui est confus, enflammera ce qui est froid, assouplira ce qui est rigide, redressera ce qui est dévié, diffusera dans nos cœurs cet amour de Dieu que rien ni personne ne pourra nous ravir.

Mes frères, les épreuves qui frappent la société, nos pays, l’Eglise, nos vies, pourraient porter nos âmes à la lassitude dans le combat, à baisser les bras ou à tomber dans l’amertume. « Le plus grand mal –disait le père Calmel – que puisse nous faire le monde, le mal, ce n’est pas de nous faire souffrir, c’est de nous ramener à son niveau ». C’est donc à un surcroît de vie intérieure que Dieu nous appelle. C’est par davantage d’humilité, de pauvreté, de pureté, de détachement des biens de ce monde, et surtout de vie intérieure, d’amour de Dieu que nous ferons fructifier ce talent, cet héritage. Et la Sainte Vierge apparaît là comme le modèle par excellence. Marie chante les richesses du Seigneur, mais Marie vit de cette vie intérieure. Que dit l’évangile de tous ces gestes, de toutes ces paroles de Notre-Seigneur. Qu’en faisait-elle ? Elle les repassait dans son cœur, n’en perdant pas une miette. Marie était une âme intérieure, toute centrée
sur Dieu.

Et voilà à quoi nous sommes appelés et c’est bien là aussi ce à quoi nous appelle Saint Louis-Marie Grignon de Montfort en nous invitant à prendre Marie comme modèle.

Comprenons-nous bien, mes frères, cette vie intérieure, il ne s’agit pas pour l’avoir de multiplier les pratiques de pitié. Il faut sans doute une certaine quantité. Mais là n’est pas l’essentiel. Il s’agit d’une prière tout intérieure, d’un élan de l’âme vers Dieu, d’une vie chrétienne toute dirigée vers l’union à Dieu. Malgré toute leur générosité, des chrétiens engagés qui ne sauraient dépasser le stade d’un patenôtre récité du bout des lèvres, ces chrétiens seraient de bien pauvres apôtres. Il n’y a qu’une différence entre un sépulcre blanchi et un temple du Saint Esprit : ce qui l’habite.

Ah, si chacun d’entre nous, mes frères, pouvait chaque jour, consacrer quelques instants à se mettre devant Dieu, à le prier dans le silence de son âme, avec tout son cœur, tout son amour d’enfant. Mais frères, la vraie vie elle est à l’intérieur de notre âme. Dieu habite notre âme, nous avons la sainteté en nous. C’est cela la réalité. Tout ce monde que nous avons autour de nous, ce monde disparaîtra. Mais ce lieu que nous avons à l’intérieur de notre âme, c’est cela la réalité, ne l’oublions pas. Ne perdons pas de vue l’essentiel. Et si nous vivons de cela, alors cet héritage rayonnera car accepter un héritage, c’est s’engager à le transmettre, intégralement, fidèlement, intelligemment. Tradidi : j’ai transmis. C’est donc à un esprit missionnaire que nous invite cette parole de l’Apôtre et ces trois athlètes de Dieu que nous commémorons cette année : saint Louis-Marie, saint Dominique, Mgr Lefebvre.

Et il s’agit de transmettre cet héritage à un monde déboussolé, qui ne sait plus qui croire, que croire, s’il faut croire, à un monde qui ne sait plus ou ne veut plus de règles, qui ignore de plus en plus la fidélité de l’amour, à un monde d’adolescents qui n’a plus de repères parce qu’il n’a plus de pères.

Et c’est pourquoi il appartient de rappeler à ce monde que « Dieu l’a tant aimé qu’il lui a donné son fils unique » (6), c’est pourquoi il nous appartient de rappeler cette paternité de Dieu, non pas d’un Dieu bonace et libéral, mais d’un Dieu qui aime ses enfants, et qui, parce qu’il les aime, les enseigne, leur montre le but à atteindre, leur donne des repères, des règles pour bien vivre, qui a pour chacun de ses enfants un dessein particulier, qui n’hésite pas à corriger ses enfants et à punir les ingrats.

Mes frères, cette foi, nous l’avons, ces règles morales, nous les connaissons, ces moyens de salut, nous les possédons. Alors à nous qui avons cet héritage de le transmettre à toutes les âmes de bonne foi.

Et comment le transmettre ? L’heure est à l’authenticité. D’une parole nette, non pas dure et sans appel, mais claire, bienveillante, loin de la langue de bois et de buis, de cet océan quotidien de mensonges. L’heure est à l’authenticité d’une vie conforme à notre foi. Que votre lumière brille parmi les hommes, afin qu’en voyant vos bonnes œuvres, ils glorifient votre père qui est dans les cieux. « Nous voudrions – disait Pie XII à la jeunesse italienne – que personne ne parlât avec vous, ne traitât avec vous, ne travaillât avec vous, sans en recevoir dans l’esprit un rayon de lumière chrétienne » (7). « Le premier gage – disait-il également – de succès de votre apostolat sera de posséder vous-mêmes en abondance ce trésor de l’amour de Dieu » (8).

C’est en montrant à nos contemporains une vie plus pacifiée, plus aimante, plus droite, plus pure, plus pauvre, plus nourrie de la contemplation de Dieu, une âme ni raide ni amère que nous serons apôtres.

Pour reprendre les paroles du P. Calmel : que chaque chrétien, que chacun d’entre nous, aille au bout de sa grâce, « Que chacun à notre poste et selon les lois particulières de notre mission, soldat ou maître d’école, agriculteur ou magistrat ou petit employé, ou prêtre du Seigneur que chacun aille jusqu’au bout de ses possibilités et de son pouvoir » (9).

Et chers jeunes gens, chères jeunes filles, qui êtes nombreux ici, vous avez marché avec courage, avec entrain, pendant ces trois jours, ayez l’ambition de ne pas appartenir à une jeunesse amollie, avilie, sans repères, toute bonne à profiter d’une vie confortable, connectée et jouissive ; ne vous contentez pas non plus d’une vie partagée, d’une vie mi-chrétienne mi-mondaine, n’ayez pas un cœur partagé entre Dieu et le monde, mais apprenez à vous dévouer, apprenez à vous engager, à vaincre, à prendre le relais, à prendre la flamme qu’il vous faudra un jour transmettre. Oui chère jeunesse, soyez apôtre de l’absolu de Dieu, de l’absolu de l’amour de Dieu.

Vous voyez la Vierge Marie, c’est en étant comblée de grâces, en étant l’Immaculée Conception, en étant dotée de toute cette sainteté sans pareil, qu’elle nous a donné Notre-Seigneur Jésus-Christ, qu’elle nous a donné le Sauveur, elle est pour nous ce modèle.

C’est en étant profondément remplis de Dieu profondément une vie profondément intérieure que nous pourrons à son exemple à notre place transmettre ce que nous avons reçu. Ainsi soit-il.

Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit ainsi soit-il.

Source : La Porte Latine du 19 mai 2016

Notes

(1) I Pi 2/9
(2) Pi, 1/16
(3) 2 Cor 4/7
(4) Jn 16/33
(5) Lc 10/42.
(6) Jn 3/16.
(7) Pie XII, Allocution à la Jeunesse italienne d’Action catholique, 4 novembre 1953 ; Les enseignements pontificaux, Consignes aux militants, Desclée, 1958, p. 193
(8) Pie XII, Allocution à l’Union mondiale des Organisation féminines catholiques, 29 septembre 1957 ; Les enseignements pontificaux, Consignes aux militants, Desclée, 1958, p. 241.
(9) R. P. Calmel, « Autorité et sainteté dans l’Église », Itinéraires, n° 149, p. 19.

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