6a00d83451957369e200e54f8567708834-640wiDu 9 au 12 Octobre, se tient dans les Alpes-Maritimes, une conférence sur le thème: “Vivre avec les loups; hier, aujourd’hui et demain; état des lieux et perspectives européennes.” Une conférence qui semblerait banale si ce même 10 Octobre, il n’y avait pas eu le procès d’un éleveur de troupeaux. Il faut donc se pencher sur la question qui se révèle très intéressante.

De plus en plus, sous la pression des écologistes notamment,  des loups à l’état sauvage sont introduits sur le territoire français. Selon eux, il est indispensable que ces animaux aient leur place en France; cela contribue au respect de la nature indirectement. Mais le problème se pose bien vite: ces loups affamés s’en prennent aux troupeaux et attaquent les pauvres moutons impuissants. D’où la colère des éleveurs et des bergers qui perdent de plus en plus de bêtes. Ils n’en peuvent plus, leur travail n’a plus aucun sens sinon celui de nourrir ces bêtes sauvages! Les tensions augmentent donc entre les écologistes, convaincus du bien-fondé de la présence de ces animaux et les bergers condamnés à découvrir sans cesse des cadavres de leurs moutons. Début 2013, un prétendu accord a bien été trouvé entre eux: 24 loups seraient abattus chaque année. Mais qu’est ce que 24 loups ? Ce n’est rien du tout! Les écologistes veulent-ils faire de la France un territoire sauvage où il ne fait pas bon pour des moutons de rester seuls loin du troupeau et du berger?

Si l’on va plus loin, il n’y a pas que ces loups-là qui sont en liberté; il n’y a pas que les moutons qui ont à craindre pour leur vie!  Car comme le dit Plaute:”l’homme est un loup pour l’homme”. Ainsi d’autres “loups” se promènent en liberté! Ce sont tous ces délinquants récidivistes remis en liberté et qui sont décidés à recommencer au plus tôt leurs méfaits. Sortis de la prison, ils ‘attaquent à de nouvelles victimes impuissantes : ainsi une Jeanne Marie Kegelin ou une Anne Lorraine Schmitt pour ne citer qu’elles.Il y en a bien d’autres et de plus en plus…comme cet agresseur du policier,en état de mort clinique, à Lorient. Mais ces “écologistes” là, à savoir notre gouvernement et notre Garde des sceaux Christine Taubira, avec sa politique générale laxiste, ne réagissent pas. Seuls quelques compromis sans résultat probant… Il y a toujours plus de détenus relâchés. On nous dira: “vous comprenez il faut leur redonner une chance à ces pauvres hommes!” Si en effet, il faut toujours donner une seconde chance…les victimes, elles pour certaines, n’ont jamais eû de seconde chance !

Ainsi des récidivistes, parfois dangereux, sont en liberté et personne n’en sait rien. Il faut toujours un drame pour que le problème revienne sur la table mais le mal est fait. On attend que l’émotion médiatique retombe mais au final, on n’a rien fait ! Ce n’est pas le laxisme socialiste qui va arranger les choses ! Jusqu’à quand cela va-t-il durer ?

 

 

 

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

4 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Ça y est, le numéro 1 de la tout nouvelle revue Caritas est chez l’imprimeur et en prévente sur MCP.

Nous vous l’avions annoncé dans un précédent mailing : la naissance d’une toute nouvelle revue de qualité, Caritas, la revue du pays réel, et la parution prochaine de son premier numéro de 86 pages. Bonne nouvelle, : ce numéro 1 de Caritas qui consacre son dossier à la Lutte contre la haine anticatholique vient d’être envoyé à l’imprimerie et sera bientôt dans les librairies et les boites aux lettres des abonnés.

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette nouvelle revue : la revue CARITAS !