Jean-Marie Le Pen, fondateur et président d’honneur du Front National, est intervenu ce matin sur RTL, expliquant que Marine Le Pen « se tirait une balle dans le pied ».
Jean-Marie Le Pen invité sur RTL: « C’est elle qui se tire une balle dans le pied »
Jean-Marie Le Pen a été interrogé par de nombreux médias sur la prestation de sa fille hier soir au journal télévisé de TF1. Selon Jean-Marie Le Pen, Marine Le Pen menace l’avenir du parti.
« C’est une manœuvre délibérée pour essayer de se concilier quelque sympathie ou indulgence de la part du système, qui dit : « il faudrait rompre avec Jean-Marie Le Pen, il faut absolument le briser, il faut changer de nom, il faut être autre chose ». Mais quand elle sera autre chose, elle ne sera plus rien. »
Jean-Marie Le Pen a également dénoncé le « projet extérieur » de Florian Philippot.
« Il y a derrière tout cela monsieur Philippot. Parce que monsieur Philippot disait hier matin « La rupture est totale et définitive » alors que madame Le Pen disait qu’il ne s’agissait que de refuser mon investiture aux régionales. Monsieur Philippot, qui est une pièce rapportée relativement récente au Front National, disait cela en parlant du fondateur et de celui qui a dirigé le parti pendant quarante ans (…) Je pense que monsieur Philippot fait un jeu personnel. Il vient de chez monsieur Chevènement. D’ailleurs beaucoup des collaborateurs actuels de madame Le Pen viennent de milieux extérieurs au FN et n’ont pas pour le FN ni pour ceux qui l’ont fondé la considération élémentaire. »
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N’importe quoi ! cette dame raconte n’importe quoi si elle dit que mourir et faim et de soif est une solution pour une mort douce et rapide ! c’est tout le contraire et c’est bien pour cela qu’il est inacceptable d’envisager la fin de vie comme le préconise J. Léonetti et A Claeys dans leur proposition de nouvelle mouture de la loi qui porte le nom du premier !
Une mort douce et rapide existe pour des personnes qui sont en fin de vie, qui n’ont aucune chance de guérir, et qui, condition première, réclament cette aide : c’est le droit à l’injection létale qui procure une mort douce et rapide (pas plus de 5 mn)mais certainement pas cette mort par privations qui relève de la torture ! comment peut-on envisager cela ? Surtout pour des médecins ou des infirmier(e)s ! inconcevable !
Offrir à Judith Schwarz une biographie du Père Maximilien Kolbe.