Mardi, trois militantes du mouvement extrémiste antichrétien Femen ont perturbé une séance plénière du parlement espagnol. Comme à leur habitude, elles ont hurlé des slogans après avoir ôté leurs vêtements. « L’avortement est sacré ! » braillaient les trois furies durant une intervention du ministre de la Justice Alberto Ruiz Gallardon, auteur d’un projet de réforme restreignant le champs d’application de la loi sur l’avortement.

Parmi les trois militantes Femen, une seule était espagnole. Les deux autres étaient Inna Schevchenko, l’Ukrainienne qui dirige officiellement l’organisation et qui a statut de « réfugiée » en France, ainsi qu’une Française.

 Les trois militantes ont été rapidement maîtrisées et emmenées par la police mais tout aussi rapidement libérées sans la moindre poursuite à la clé alors que le trouble de la séance plénière parlementaire constituait une infraction au Code pénal.

Est-ce que cela signifie que n’importe quel groupe de pression pourra désormais librement chahuter le travail parlementaire du haut du balcon qui surplombe les fauteuils des élus ?

Ou cette impunité est-elle un privilège accordé à ce mouvement Femen ? Jusqu’à présent, partout dans l’UE, les autorités ont toujours toléré les divers délits commis par ces extrémistes aux seins nus.

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