Le 14 juillet 1789 la populace révolutionnaire s’est emparée de la Bastille (où elle a délivré des faussaires et des fous) afin de trouver des armes pour résister au Roi.
En 1790 : un an après, la Fête de la Fédération a prétendu réconcilier le Roi et les idées nouvelles et refonder la Nation sur une base contractuelle
Mais la Révolution a continué.
La IlIe République, dans un esprit de continuité révolutionnaire, a choisi le 14 juillet comme fête nationale.
Faut il l’accepter, l’ignorer ou tenter de le rattacher à un événement non révolutionnaire ? Seul un régime national pourra répondre dans l’avenir.
L’on apprend enfin qu’un aspect qui échappait jusqu’ici aux critiques, le défilé militaire, va cette année être dénaturé au profit de l’Ukraine et de l’OTAN. Ainsi la République contribue-t-elle à enlever à la fête ce qu’elle pouvait conserver de national.

Professeur Franck Bouscau,
Chef régional Civitas IDF.

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

4 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Ça y est, le numéro 1 de la tout nouvelle revue Caritas est en vente sur MCP.

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette nouvelle revue : la revue CARITAS !