Il suffit de lire le communiqué du PS à l’occasion de la libération des Pussy  Riot :“Le Parti socialiste se réjouit de la libération ce jour de Maria Alekhina et Nadejda Tolokonnikova, membres des Pussy Riot. Elles avaient été injustement condamnées en 2012 pour « vandalisme » et « incitation à la haine religieuse », suite à un simulacre de procès. Leur libération comme l’amnistie de plusieurs opposants interviennent à quelques semaines des Jeux Olympiques de Sotchi.Le Parti socialiste réaffirme son attachement à la liberté d’expression, droit fondamental et démocratique qui doit être garanti en toutes circonstances.”

Si en effet profaner une cathédrale en chantant une chanson punk avec des paroles offensantes pour les orthodoxes n’est ni du vandalisme ni de l’incitation à la haine religieuse pour le parti au pouvoir en France, comment cela pourrait-il l’être pour les Femen ?

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