La situation de la presse est catastrophique. Les ventes des journaux et hebdomadaires s’effondrent.
Le Nouvel Obs est en déficit et son patron, Claude Perdriel, aimerait vendre son hebdomadaire à Xavier Niel, le patron de Free.
Libération se porte très mal et est forcé de lancer des campagnes de soutien, comme si le titre était en danger.
Le Monde affiche une perte de 3,6 millions d’euros malgré une subvention annuelle de l’Etat qui atteignait 18,4 millions d’euros en 2012.
Et où en serait Le Figaro sans les 17,2 millions d’euros d’aides de l’Etat ? Ne parlons même pas de L’Humanité qui ne survit que sous perfusion de l’Etat.
Mais à qui la faute ? Certes, l’information accessible gratuitement sur internet porte un coup fatal à la presse imprimée et payante, mais le choc ne serait pas si rude si le traitement de l’information on ne peut plus « politiquement correct » n’avait à ce point entraîné une perte de confiance auprès des lecteurs.
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Le Z ne s’est pas encore présenté. On ne connaît pas son programme. Je parie qu’avec son Totem d’immunité (ses origines et sa nouvelle sémillante copine Sarah), il va faire un carton et sauver la France.
Bienvenue, Cassandre. J’ai fini par comprendre l’affaire du « qui? » en visionnant l’algarade « Delaware-Pasternak » à ce sujet. Ce dernier était comme un fou furieux, une sorte de commissaire du peuple comme celui joué par Tom Courtenay dans le film « Docteur Jivago » d’après le roman de … Pasternak. Le général a sans doute eu tort de dire « cette communauté que vous connaissez bien » au lieu de parler de « lobby mondialiste financé par les ploutocrates Gates, Soros, Musk, Zuckerberg et consorts ». Pour vous, reprendre le slogan « qui? » ne pouvait constituer en seconde main une acceptation de toutes les affirmations du général, ni même signifier que vous faisiez allusion à l’altercation télévisuelle Delawarde-Pasternok. Bonne chance pour la suite judiciaire. Quant aux Philippot, je pense que politiquement c’est fini pour eux. Et, pour Zemmour, les cinq mois qui viennent seront durs à avaler. Cela dit, s’il parvient à barrer la route au mari de Jean-Michel Trogneux, tant mieux.
Je ne comprends pas tout cet affolement, le vainqueur de l’élection, si elle a lieu, ce sera …la télé ! C’est le cerveau de 90% des citoyens !