
L’homohérésie du père jésuite James Martin, consultant au service communication du Vatican aujourd’hui dans les mains de la puissante Compagnie de Jésus toute dévouée à l’idéologie du pape argentin, s’épanouit librement. Si les « traditionalistes » et « conservateurs » de tout bord sont régulièrement fustigés dans les allocutions papales, à cause de leurs positions doctrinales plus en conformité avec la morale catholique et naturelle, les propos de ce prêtre militant pour la reconnaissance du mode de vie des gays et de la « sainteté » des relations homosexuelles ne semblent pas choquer l’hôte de Sainte-Marthe. Pas de coup de crosse pontificale pour James Martin qui continue allègrement à « bâtir des ponts » pour « aller à la rencontre » des périphéries. Il use et abuse du langage bergoglien en s’investissant pleinement dans le dessein du pape argentin de construire une « Église de la rencontre ».

Sa campagne de promotion de l’homosexualité auprès de la hiérarchie ecclésiastique actuelle et des fidèles catholiques s’affiche voyante et engagée. Si certaines de ses conférences ont été annulées face à la levée de bouclier d’âmes catholiques scandalisées, il a cependant disserté le 29 août dernier à l’Université de Villanova, aux États-Unis, sur catholiques et « mariage » gay afin de dispenser une nouvelle doctrine en matière sexuelle. Le père Martin n’a pas de pudeur ni de respect d’ailleurs : il pense qu’il peut changer la parole de Dieu sur le sujet, plier la doctrine de l’Église catholique selon les impératifs des modes immorales contemporaines. Il est certain que si la plus haute autorité du Vatican dont il dépend ne le rappelle pas à l’ordre, il peut à bon droit se croire tout puissant sur la question! Plus que Dieu…
Le message du père Martin est infiniment grave : il s’efforce de faire disparaître la certitude de la nature humaine telle que Dieu l’a créée : être un homme et une femme pour procréer des enfants ! Il est le caution « catholique » entre guillemets, présent sur les plateaux télé et les médias obèses, de la révolution anthropocentrique initiée par les extrémistes du monde arc-en-ciel. Son poste au sein de la communication vaticane incarne la puissance du lobby Lgbt sur les mentalités romaines. Tout cela témoigne affreusement de l’avancée de l’idéologie transgenre dans les Palais Apostoliques, les cours épiscopales et les cloîtres paroissiaux.

Dans sa péroraison, le père Martin a défini 8 points clés au sujet des catholiques et du « mariage » gay que Lifesitenews a énumérés et expliqués. Les voici en résumé :
1er : L’enseignement de l’Église sur l’homosexualité ne fait pas autorité.
2e : Un catholique peut assister à un « mariage » homosexuel, c’est comme assister à un mariage entre juifs.
3e : Les couples de même sexe devraient pouvoir s’embrasser durant la messe : « Qu’y a-t-il là de si terrible ? » demande-t-il benoîtement tout en espérant dit-il à l’homosexuel qui l’interroge que « dans 10 ans tu pourras embrasser ton partenaire ou, pourquoi pas, ton époux bientôt ».
4e : S’opposer à la définition de « mariage » pour les couples de même sexe c’est être homophobe.
5e : Ceux qui critiquent les propos pro-gay du jésuite ont en fait une sexualité compliquée, ce sont des gays refoulés. Et ils n’ont pas compris qu’il n’est pas possible de demander aux personnes Lgbt la chasteté. « Le célibat est un don » explique-t-il.
6e : L’enseignement de l’Église est « vieux » : la majeur partie des doctrines de l’Église sur la sexualité, telles celles contenues dans Humanae Vitae, sont refusées par la majorité des personnes. Humanae Vitae ne tient pas compte de tant de « choses nouvelles» déclare-t-il, qui doivent être prises en considération.
7e : L’amour entre sodomites est « beau ».
8e : S’opposer aux mariages entre homosexuels c’est comme s’opposer aux mariages entre personnes de races différentes, c’est être raciste.
Le père Martin a également suggéré que les catholiques africains sont le plus grand obstacle à la reconnaissance de l’homosexualité. Coup bas envers le cardinal Sarah qui dernièrement s‘est levé publiquement contre ses théories déviantes.
Pour conclure avec Lifesitenews, ce sont les catholiques fidèles à l’enseignement constant de l’Église sur ces sujets que ce drôle d’oiseau multicolore en col romain, qui accuse l’Église catholique d’être homophone, tend à marginaliser avec l’aide des médias à la botte de la Gaystapo et de bien trop nombreux clercs dévoyés !
Francesca de Villasmundo
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Ses propos doivent s’entendre dans la veine de l’humour
sinon l’auteur s’inscrit dans la droite ligne de François borboglio
il n’y a pas de peuple élu encore moins les juifs qui pratique 1 religion qui est le judaïsme,donc il n’y a pas de race juive,de même D.ieu a rejeté les juifs car ils lui avaient désobéis
Dieu s’est détourné des Juifs, qui fut le peuple élu de l’ancien Testament, mais Il les aime toujours, son Fils étant éternellement de race juive.
Ce que Lech Walesa n’a pas compris, c’est que ce n’est pas la chair qui sauve mais l’esprit. Si cela avait été la chair, le salut ne serait pas venu jusqu’aux Gentils.
Pauvre Walesa : aucune gratitude pour le don de Dieu.
N’inversons pas les choses.
Ce sont les juifs qui se sont détournés de Dieu qui attend leur conversion depuis qu’ils l’ont condamné et fait exécuter en la personne de Jésus.
Tant qu’ils ne sont pas convertis et repentants, que peut signifier ce désir d’être juif pour un chrétien ?
Oui ce sont les juifs qui se sont détournés de Dieu, mais Dieu les attend toujours.
Un chrétien peut être juif comme il peut ne pas l’être, cela n’a aucune importance, car ce n’est pas la chair qui sauve, mais l’esprit. Saint Paul n’a pas arrêté de le rappeler dans ses épîtres.
Lech lèche !
son ami le pape polonais Jean Paul 2 dois faire des bonds dans son caveau
Jean Paul, juif lituanien par sa mère.
Vous connaissez le dessin animé du bloc communiste Lolek & Bolek ? Bolek était le nom de code de Walesa dans la police politique. Qui était Lolek ? Je vous laisse deviner…
Jean-Paul II avait d’excellentes relations avec le B’nai B’rith, la maçonnerie juive.
Benoit XVI également, et d’une manière générale l’Eglise, surtout depuis Vatican II.
Wałęsa do TW « BOLEK » zdrajca Polaków i państwa Polskiego…