Une étude récente menée conjointement par l’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) et l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France (IAU) démontre que la population immigrée a doublé dans le Val-d’Oise en 30 ans.
En 1982, le département comptait 115.000 personnes d’origine étrangère nées à l’étranger contre 216.000 en 2013. Le Val-d’Oise est ainsi le département de grande couronne qui a connu la plus forte progression de la population immigrée ces 30 dernières années. Celle-ci représente 18,1 % de la population du département (contre 18,5 % pour la région).
Ces chiffres ne tiennent bien sûr compte que de l’immigration officielle. N’y sont pas non plus inclus les personnes d’origine étrangère nées en France.
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Claude timmerman ,exellent article ,j aie toujours apprecié radio courtoisie .Je suis dans le loiret ,,entre la surexploitation de la terre ,les elevages style « concentration « de volailles ,,bovins ,sous les chaim trails ,les voies sncf abandonnees ,et les helices de mafieux cette vie est un enfer .Voir les obesites des jeunes femmes ,chose qu on ne voyait pas il y a encore 20ans ,,les autistes qu ils nous fabriquent par leurs vaccins ,et popu castre lobotomise qui broute son poison sur le canape devant l ecran plat ,,,
5 fruits et légumes par jour pour être sûr qu’on est bien empoisonnés ……..
Je suis près de chez M. Marco, mais dans le département de France où l’eau est le plus polluée : le 77. Issue du monde rural et condamnée à y crever (l’attente est terrible), je ne peux que confirmer : cette vie est un enfer. Les termes de l’alternative sont simples : ou on est totalement inconscient (et les pesticides y aident grandement par leur neurotoxicité, qui engendre, notamment, des retards mentaux) ou on se suicide.
De fait, c’est une hécatombe : d’agriculteurs qui ne sont pas totalement inconscients, et de l’ensemble des espèces animales et végétales. Concrètement, les seuls animaux que l’on peut voir dans les zones cultivées sont les animaux élevés pour être tués et qui sont passés entre les balles des chasseurs comme entre les roues des voitures. Comme ils ne peuvent pas passer longtemps entre les jets de pulvérisateurs, on renouvelle le stocks d’animaux chaque année. Un chasseur, ça met ainsi de la vie dans une campagne…
Le citadin ne peut effectivement pas avoir la moindre idée de la réalité des faits. On ne peut pas imaginer une telle entreprise d’extermination menée en si peu de temps, à un tel rythme, à une telle échelle et à quelques encablures de chez soi. Au surplus, on s’en fout.
Ce sont les abattoirs de Chicago qui ont servi de modèle, au XIXe siècle, à toutes les entreprises d’usinage ultérieures. C’est vraiment de la mort industrielle dans nos campagnes, tant pour les animaux que pour les végétaux. Les humains (?) restants sont eux réduits à l’état de zombies, qu’ils n’aient plus leurs capacités physiques, leurs capacités intellectuelles ou leurs capacités spirituelles (ou plus rien de tout ça à la fois). « L’Angélus », ce n’est pas très ancien. Ça montre bien l’ampleur de la révolution, et sa vitesse. Cela dépasse l’entendement si on prend un peu de hauteur, et qu’on appréhende les choses avec une vision un peu moins étriquée.
Chaque année, les quantités de produits déversées augmentent, en effet, et on détient invariablement le record du monde. Et les discours – hypnose, suggestion, très efficaces – serinent inlassablement qu’on va vers le moins ou, plus audacieux encore, vers le zéro…
J’ai lu hier la déclaration de la ministresse de la Santé : « Moi aussi, j’adorerais qu’on n’utilise plus aucun produit chimique. » C’est typiquement de l’inversion, de l’antiphrase : c’est sardonique, c’est méphistophélétique, c’est tout à fait l’illustration du haut de cette page.