MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Les images de ce 1er mai 2018 à Paris ont été diffusées par les médias de toute la planète.

Le paradoxe saute aux yeux. Emmanuel Macron a la prétention de jouer au gendarme du monde. Comme son modèle américain, Jupiter Macron a montré « sa force » en faisant bombarder la Syrie sur base d’un montage éhonté.

Mais en son propre pays, au sein même de l’hexagone, Emmanuel Macron n’est pas capable de prendre les mesures nécessaires pour garantir l’ordre public. C’était déjà manifeste avec l’impunité dont bénéficient toutes les bandes de racailles qui imposent la loi de la jungle dans les quartiers dont ils ont pris possession. C’est confirmé avec ces milices anarcho-communistes qui ont pu saccager Paris sans encombre, ne trouvant jamais face à eux un véritable encerclement policier destiné à les coincer, les maîtriser et les arrêter.

Quoi, cela n’aurait pas été possible ? Allons, soyons sérieux. Police, gendarmerie et compagnie de CRS disposent d’assez d’hommes et de moyens pour écraser ces milices d’extrême gauche si l’ordre est donné. Simplement, l’ordre n’est pas donné.

Les casseurs anarcho-communistes ont systématiquement la permission implicite du pouvoir d’agir sans crainte de tomber dans un encerclement policier. Toujours, possibilité leur est donnée de se retirer après leurs méfaits.

A l’inverse, sous la présidence de François Hollande, Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, avait donné des ordres précis pour traiter impitoyablement les manifestants hostiles à la Loi Taubira de dénaturation du mariage. Dans ce cas-là, que beaucoup de nos lecteurs ont encore en mémoire, les forces de l’ordre étaient mobilisées en nombre, avec des moyens impressionnants, et avaient ordre de frapper, gazer et embarquer un maximum de braves Français venus simplement défendre l’ordre naturel. La tactique de l’encerclement fut utilisée à plusieurs reprises et des colonnes de cars attendaient les manifestants pris au piège afin de les conduire dans des commissariats.

Le deux poids deux mesures ne laisse aucun doute : les « autorités » ne veulent pas prendre les moyens pour rétablir l’ordre en France.

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

6 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires
Soupape
Soupape
il y a 7 années

Bravo les évêques de Pologne !

pamino
pamino
il y a 7 années

Ex Oriente lux.

DUFIT THIERRY
DUFIT THIERRY
il y a 7 années

Que les évêques polonais s’opposent à la révolution du pape actuel, très bien. La révolution procède par étape. Le texte Amoris Laetitiae est suffisamment flou pour être l’objet de plusieurs interprétations. Ce qui est péché en Pologne ne l’est pas en Allemagne : la morale catholique devient à géométrie variable.
Ce n’est pas sur « la lumière de Jean-Paul II » (pape d’Assise, des droits de l’homme, chantre de Vatican Ii, de la liberté religieuse, de l’œcuménisme délirant) qu’est fondée la morale catholique. Du reste Jean-Paul II encensait Gaudium et Spes qui inverse les fins du mariage. La morale catholique est fondée sur les Commandements de Dieu , l’enseignement du Christ et de la Sainte Eglise.

toto
toto
il y a 7 années

Ce n’est pas une correction filiale, c’est une correction fraternelle, sans le dire. Mais Bergoglio se moque de l’une comme de l’autre, il continue imperturbable à massacrer l’Eglise. Et cela peu de gens veulent le comprendre.

Etienne
Etienne
il y a 7 années

Enfin, des évêques qui parlent vrai.
Que celui qui passe son temps à faire le malin recommence son traitement psychiatrique : il en a bien besoin.