Les députés devront-ils se prononcer prochainement sur une proposition de loi du lobby LGBT visant à la censure des opposants à la tyrannie idéologique de l’État-PS contre la laïcité à l’école, à l’idéologie des “ABCD de l’égalité” et à la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT à l’école ?

Les députés socialistes seront-ils les apprentis-sorciers inventeurs de lois qui se retourneront contre eux et contre la propagande anarcho-socialo-communiste pro-LGBT, après l’alternance très nécessaire qui se profile à l’horizon de 2017 ? Il s’agit d’une attitude très ferme dans laquelle les familles se révoltent, prennent le pouvoir et chassent les activistes de la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT à l’école !

À quand le délit d’entrave contre la propagande LGBT à l’école afin de rendre illégaux les sites anti- propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT dès les classes maternelles et primaires de l’école de la république socialiste ? La censure anarcho-nihiliste libertaire de la “Libre pensée sénile-GOF de la république socialiste à l’agonie” est destinée à rendre illégaux les “sites anti-propagande homosexuelle du lobby LGBT”.

La censure de la république socialiste est au service du nouveau roman du Gender, alors que les activistes subalternes de l’éducation nationale socialiste ont affirmé que la théorie du genre, c’est bien connu, n’existe pas ! Un florilège tiré de la propagande homosexuelle de Libération illustre cette mystification.

Un certain classieux Quentin Girard écrit le 14 janvier 2014 sur Libération : “Il était une fois, au Pays fort fort crétin, une Manif pour tous qui continuait de se ridiculiser : Un papa et une maman contre le grand méchant genre” ! Ben voyons ! Il continue le 30 janvier 2014 : “Éducation sexuelle (à l’école) : “Les parents ne sont pas informés… Après la polémique autour d’un “prétendu enseignement de la théorie du genre” à l’école, Hélène Romano, psychothérapeute, revient sur les tensions liées à l’éducation sexuelle : “Quand une société se sent insécurisée, l’éducation sexuelle (à l’école) est porteuse de polémique“. Ben voyons !

Après des SMS qui annonçaient des cours de masturbation en maternelle, des parents ont décidé de ne pas envoyer leurs enfants à l’école. Puis, suite à des rumeurs d’un prétendu “enseignement de la théorie du genre“, des établissements de banlieue parisienne ont été dépeuplés jusqu’à un tiers de leurs élèves…”

On comprend que la psychothérapeute doit pouvoir “soigner la LGBT-phobie des familles crétins et des parents d’élèves crétins” qui ne comprennent rien à l’éducation sexuelle LGBT socialiste à l’école !

Et il désigne la LGBT-phobie de l’ennemi, le 28 janvier 2014 : “Non, vos enfants ne devront pas se masturber à la maternelle : Après leur échec contre le mariage gay, les groupuscules autour de la Manif pour Tous et/ou d‘Alain Soral et son site Égalité et Réconciliation ont un nouveau cheval de bataille, la lutte contre ce qu’ils appellent la “théorie du genre“… Elle remettrait en cause notre vision naturelle du monde et serait imposée à nos enfants innocents. Farida Belghoul, qui participait à Jour de Colère, propose d’organiser des “Journées de retrait de l‘école” pour “protéger la pudeur et l‘intégrité de nos enfants… Exemple de cette “perversion“, selon eux, l’enseignement imminent de la masturbation dès la maternelle. Une rumeur circule de fait sur des sites comme 24heuresactu, Boulevard Voltaire, de Robert Ménard ou Égalité et Réconciliation.

Le premier annonce le 14 janvier qu’un “rapport de l‘Organisation mondiale de la santé (OMS) serait actuellement examiné par le gouvernement socialiste. Ce rapport propose d’encourager la “masturbation enfantine” et de permettre à l’enfant d’exprimer “ses besoins, ses désirs” sexuels“.

“Le texte remarque qu’il n’y a aucune norme pour l’éducation sexuelle à l’échelle (LGBT) européenne et espère “combler cette lacune“. Regrettant que l’approche de la sexualité par les professionnels (non-LGBT) soit “essentiellement négative“, ces experts (pro-LGBT imposent) une vision plus positive afin de permettre l’émergence d’une sexualité responsable et tolérante (LGBT). En clair : il faut encourager l’enfant à exprimer “ses besoins, ses désirs” sexuels à l’école selon les normes LGBT. “Si le rapport propose d’éduquer dès le plus jeune âge, il parle “d‘éducation sexuelle et relationnelle” (LGBT) au sens large, c’est-à-dire incluant des discussions sur l’amitié (LGBT) ou le “sentiment de sécurité” (???). Le rapport propose (des) modules avec plusieurs thèmes, “corps humains et développement, fertilité et reproduction, sexualité, émotion“.

“La catégorie sexualité, “pour les 0-4 ans et les 4-6 ans“, conseille d’informer l’enfant sur “le plaisir et la satisfaction liés au toucher de son propre corps, la masturbation enfantine précoce“, et la “découverte de son propre corps et de ses parties génitales. Ces cours (???) d’information (sexuelle précoce) devraient être “menés par des spécialistes externes à l’école” (à savoir les activistes-militants LGBT au sens large !)

La théorie du complot de la propagande homosexuelle à l’école par Libération contre les familles et les parents d’élèves illustre le 7 février 2014 cette mystification par la “mise en accusation des victimes” : les familles et les parents d’élèves : “L’UMP a épousé la théorie complotiste des détracteurs de la “supposée théorie du genre“, et déniche les mensonges du gouvernement, qui dissimulerait la vérité… La “théorie du genre“, comme ils disent, est le nouvel ennemi de la droite et de l’extrême droite, qui multiplie depuis des semaines intox et manip… confusions et amalgames en tout genre, véhiculés par la droite déchaînée…”

“Depuis des semaines, l’UMP évoque en boucle les déclarations de Najat Vallaud-Belkacem, accusée d’avoir admis l’existence de la théorie du genre avant de la contester aujourd’hui. “Il y a quelques mois, Mme Belkacem évoquait largement les théories du genre“, accuse Christian Jacob. (Dans) une interview en août 2011 avec 20 Minutes, Najat Vallaud-Belkacem mentionnait bien, en termes positifs, le terme de “théorie du genre“. Confondant ? Non, car “tout dépend de ce qu’on met derrière les mots” ! Ben voyons !

Ce qu’on met derrière les mots ? “Le plaisir et la satisfaction liés au toucher de son propre corps, la masturbation enfantine précoce”, et la “découverte de son propre corps et de ses parties génitales” !  

Et ça continue avec Anne-Claire Genthialon le 3 avril 2012 : “le Baiser de la Lune” (le trou du c… ?), film destiné à expliquer (?) l’homosexualité aux CM1-CM2, est distribué après deux ans de polémiques… à un public trop jeune, taxé d’incitation à l’homosexualité… des associations de parents d’élèves avaient multiplié les lettres et pétitions contre ce projet… Les CM1-CM2 sont-ils trop jeunes pour (voir et) entendre parler d’homosexualité ? “Le film parle d‘amour, de la pluralité des relations amoureuses. Pas de sexualité. Ce sont les adultes qui réduisent bien souvent l’homosexualité à la relation sexuelle, souligne le réalisateur.

 “Le film sert à (entendre parler d’homosexualité ?) aiguiser l‘œil à la différence, à la tolérance, et à montrer qu’il n’y a pas qu’un seul modèle en matière d’amour, ni un au-dessus des autres“. “

Anne-Claire Genthialon, le 17 septembre 2013, fait la propagande du “Genre à l’école socialiste :

“Combattre les clichés, les comportements sexistes et les inégalités garçons-filles dès l’école primaire, c’est l’objectif de l’Éducation nationale et du ministère des Droits des femmes, qui frappent un grand coup en expérimentant (l’idéologie) des “ABCD de l’égalité“, ateliers visant à déconstruire les “stéréotypes de genre, de la maternelle au CM2 (???). Isabelle Cabat-Houssais, l’enseignante de la classe de CE1, n’a pas attendu que 2013 soit déclarée “année de l’égalité garçons-filles”. Voilà dix ans qu’elle “chausse les lunettes correctrices du genre” et qu’elle s’efforce d’enseigner de façon (pro-LGBT) “non sexiste.

“Elle “féminise tous les noms” de métiers, s’adresse “à toutes et à tous, parle de “filles courageuses” et de “garçons coquets“… “J‘encourage les filles à s‘engager corporellement dans les sports de lutte, alors qu‘elles sont plutôt éduquées à être dans la retenue…” Elle a imaginé les revendications des princesses de contes de fée. S’en est suivi un défilé (spontané ?) d’écoliers avec des pancartes : “Je ne veux plus porter de robes mais des pantalons !” “Je réintroduis du féminin là où domine le prétendu “masculin neutre”… Et surtout de ne pas assigner les enfants dans des rôles traditionnels ou une trajectoire prédéfinie par leur sexe…

Libération le 7 février 2014 : “Genre, PMA, retour de la GPA : une semaine d’intox…”

Quentin Girard écrit le 18 février 2014 : “Tomboy : Civitas appelle à harceler Arte“, (une chaîne pro-LGBT) : Pour les intégristes de Civitas, qui se mobilisent, c’est une “propagande pour lidéologie du genre. Ils n’acceptent pas que Tomboy soit diffusé dans les écoles primaires dans le cadre du programme “École et Cinéma”… Le film raconte “avec justesse et pudeur” l’histoire de Laure, qui décide de se faire passer pour un garçon, Michaël. Elle/Il joue au foot, aux batailles d’eau, se bat, comme les autres, jusqu’à ce que sa mère le découvre… Pas de dialogue, pas de grands discours, juste une fille garçon manqué, un Tomboy, comme on dit en anglais.  Tomboy rappelle une évidence : on ne choisit pas son sexe à la naissance, on en hérite, tout comme son prénomÀ partir de là, chacun se construit son identité entre sexualité biologique et sexualité psychique, avec les variantes selon les apparences (vêtements, coupe de cheveux) et le comportement (manières, attitude), distribué selon les codes et les convenances de cette répartition

“Malheureusement, avec les manifestations contre le “mariage gay” et les “fantasmes autour d’une supposée théorie du genre“, le contexte a changé… Une pétition sur le site Citizen Go, “Non à la diffusion du film Tomboy dans les écoles !…” [Il est] tout à fait dangereux de laisser penser à des enfants de 9 ans que l‘on peut changer de sexe, qui plus est sans dommage“… Toutes les productions destinées à la jeunesse prônant des “valeurs de tolérance et de respect de la différence sur les questions de genre“, qu’il s’agisse de films, livres ou autres, sont désormais dans le collimateur de Civitas, du Printemps français, des mouvances autour de Farida Belghoul qui appellent les parents à des jours de retrait de l’école…”

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