Le maire RN de Beaucaire, Julien Sanchez, est connu pour sa pugnacité. Il a notamment été le seul édile de la République qui osé honorer d’un nom de rue les 5.000 morts des massacres d’Oran de 1962, en remplacement de l’immonde nom du « 19 mars 1962 ». Ces prises de positions lui valent la haine de la gauche, d’autant plus qu’il est considéré comme un social-traitre, puisque ce natif d’Argenteuil avait des parents communistes et cégétistes (pléonasme).

Le quotidien gratuit (même donné on est volé) 20 Minutes, pourtant d’un antipatriotisme primaire, est obligé de reconnaître la double victoire judiciaire à quelques semaines d’intervalles de l’élu gardois et d’annoncer le 5 juillet qu’un habitant de Beaucaire a été condamné par le tribunal correctionnel de Nîmes à verser 300 euros et 150 euros d’amende de dommages et intérêts à Julien Sanchez. Poursuivi pour outrage à une personne dépositaire de l’autorité publique, il avait traité l’édile de « sale raciste » le 8 octobre 2017, en marge d’un rassemblement. Le vice-procureur avait requis 3 mois de prison et 600 euros d’amende. Dans sa plaidoirie, le représentant du ministère public a estimé que le fait de le traiter de « sale raciste » qui constituait l’infraction. « Il ne dit pas : “Monsieur le maire vous êtes raciste”, car cette phrase n’est pas punissable », a-t-il expliqué, selon les propos rapportés par Objectif Gard.

Le 20 juin, Julien Sanchez avait gagné définitivement un procès, dont il avait remporté la première manche en mars 2016, contre une enseignante – dont le nom n’a pas été communiqué –  nostalgique des méthodes soviétiques, bien évidemment syndiquée à la CGT, notoirement connue (la CGT, pas l’enseignante) pour l’application populaire de la démocratie à coups de barre de fer et le meurtre occasionnel d’opposants…  Cette dernière l’avait insulté lors du conseil d’administration du lycée professionnel Paul-Langevin (le sinistre communiste qui tua le modèle scolaire français) de Beaucaire, le 17 juin 2014, a été rejeté. Plusieurs enseignants du lycée avaient refusé de siéger ce jour-là, montrant la haine de la démocratie et de la liberté d’expression qui est dans l’ADN de la gauche. Dans un communiqué de presse, la municipalité de Beaucaire avait dénoncé le comportement de « quelques syndicalistes sans éducation, privilégiés, aigris et sectaires », qui n’a « rien à envier à celui de racailles ». Lui-même poursuivi pour ces propos, Julien Sanchez avait été relaxé le 12 janvier 2016. Au sujet des deux hommes, le maire et son adjoint Stéphane Vidal, fraîchement élus à Beaucaire, elle avait évoqué la présence « de membres d’un parti raciste et xénophobe » (elle a dû confondre avec le PCF, qui n’a aucune leçon à donner dans ce registre). Sa condamnation pour outrage à 1.500 euros d’amende et autant de dommages et intérêts pour les deux élus est donc définitive. A ceci, s’ajoutent les frais de justice pour le pourvoi. Elle paie une amende, mais rien ne l’empêchera de continuer à endoctriner les enfants.

Hristo XIEP

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