« J’en appelle à toutes les mères ! »
« Le Conseil d’Etat vient de confirmer le jugement du Tribunal Administratif de Châlons-en-Champagne conduisant à l’euthanasie de Vincent Lambert.
C’est le pire dénouement possible pour Vincent, pour ses parents, les frères et sœurs qui le soutiennent, pour ses amis et les 110 000 soutiens du comité, mais aussi pour les milliers de patients qui vivent en France dans le même état pauci-relationnel que Vincent » (comité de soutien Vincent Lambert).
Un enfant de France est condamné à mourir de soif pour avoir eu l’audace de survivre à un accident de la circulation.
Les droits de l’homme, le féminisme battent leur plein et pourtant la condamnation à mort d’un handicapé est légalement actée !
Les droits de l’homme qui se prend pour Dieu et qui décide de la vie et de la mort d’innocents, le féminisme qui fait des femmes des porteuses de matraque pour faire respecter la loi et en découdre avec le peuple en situation de survie, quelle misère !
Antigone, au secours ! Toi qui braves le droit jusqu’à la mort pour le respect d’une sépulture, nous, 2000 ans après la Révélation, nous ne trouvons plus assez de femmes pour défendre la vie ! La vraie féminité c’est l’inconditionnel amour de la vie, l’impérieuse nécessité de nourrir, de protéger envers et contre toutes contingences. La vraie féminité c’est l’indiscipline viscérale face au légalisme aveugle ou mal intentionné !
Notre Dame, Notre Mère brule et Vincent Lambert est condamné à mort, nous sommes au bord de l’abîme. Le Christ a déjà gagné certes, mais nos âmes seront-elles sauvées si nous laissons ce crime se réaliser sans réagir ?
Stéphanie Bignon, présidente de Terre & Famille
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Je suis consternée ! Prions, prions le Rosaire avant qu’il ne soit trop tard ! nous pouvons tout obtenir par le Rosaire.
Nous ne somme pas au bord de l’abîme… nous sommes dedans et l’écrasement au fond est très proche.
Personnellement hélas, je n’ai jamais vu une prière apporter quelque chose.
La prière est une action relativement simple. Prier, c’est parler à Dieu. C’est lui partager ce que vous traversez et ce que vous ressentez. De plus, vous pouvez prier à tout moment de la journée et où que vous soyez. Vous pouvez élever votre voix ou prier dans votre cœur, et faire appel au Seigneur.
Comment quelque chose d’aussi simple que prier peut produire un effet aussi important dans nos familles …?
Nous lisons dans Philippiens 4.6 : « Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. »
La prière est le moyen par lequel vous pouvez faire taire vos inquiétudes pour entendre la voix de Dieu. Lorsque vous priez, vous vous adressez au Seigneur de l’Univers. Au Créateur du ciel et de la terre. Il n’est pas insensible à vos difficultés, aux problèmes que vous rencontrez avec le petit dernier ou avec votre belle-famille. Lorsque vous lui faites part de vos besoins, Dieu les entend vraiment…!
Si vos enfants se sont révoltés et ont rompu les liens : la prière fait appel à Dieu qui peut et qui veut les atteindre, quel que soit l’endroit où ils se trouvent. La prière peut les atteindre où qu'ils soient et quoi qu’ils fassent. (Lire Psaumes 103.17.)
Si votre mariage est brisée : la prière invite le Père céleste à prendre la tête de ce qui reste de la famille. Ce chef de famille aime de façon inconditionnelle et ne rompt jamais ses promesses. (Lire Actes 3.25.)
Si vos finances sont au plus bas : vous pouvez faire confiance à Dieu qui pourvoit à vos besoins (lire Psaumes 37.25). Ne vous inquiétez pas pour la nourriture et le vêtement (lire Matthieu 6.25-31).
La prière n’écarte pas nécessairement les orages mais elle apporte un calme réel à la famille au sein de la tempête.
La prière vous assure la présence d’un compagnon dans votre maison quand la tragédie vous frappe. Cet ami, c’est Jésus. Il vous prend la main et vous tient dans ses bras éternels. Quand vous ne pouvez plus avancer, il vous porte. Il soutient votre famille. C’est cela le miracle de la prière.
Au milieu de la confusion familiale, quand vous avez perdu votre chemin, la prière fait intervenir le Dieu omniscient, celui à qui rien n’échappe, qui donne la sagesse et la paix.
En disant cela, vous blasphémez contre Dieu. Contre ses saints aussi, e.a. le peuple d’Israël dont les Égyptiens dirent lors de leur fuite : « Fuyons Israël, car le Seigneur combat pour eux contre nous. « . Vous blasphémez aussi contre Dieu et toute la Chrétienté qui remporta une victoire éclatante à Lépante. Et tant d’autres exemples que vous pourriez trouver …
Comme dit si bien Eric Fiorile du CNT ,,les satanistes ne se cachent plus ,ils sont sur de leur force absolue ,voir les rires narquois de tete de fion et tipede ,Ces ordures sacrifient le maximum d humains de toutes les facons ,empoisonnements monsatan ,vaccins ,pourrir le vie ,horaires d ete 2h d avance sur le soleil ,radars ,taxes ,etc ,,,Nous nous sentons impuissants devant ces ordures ,il n y a que Dieu pour intervennir ,seulement dans cette sodome combien y a t il de justes ??Nous souffrons a cause des mous ,des pervers ,des abrutis congenitaux .Dieu va se devoiler c est sur ,dans combien de temps est la question ,mais les innocents comme Vincent Lambert auront la vie eternelle que les satanistes ,poly-tiques ,journalopes et autres collabos iront dans la gehenne .
Vincent est sauvé.Merci à Maître Triomphe et à tous ceux qui ont soutenu le combat et entretenu l’Espérance.
https://lesobservateurs.ch/2019/05/04/vincent-lambert-sauve-le-cidph-ordonne-a-la-france-de-suspendre-la-decision-de-fin-de-vie/
Du point de vue du droit la réponse de la CEDH à la requête des parents de Vincent Lambert ne peut pas forcer le CHU de Reims à arrêter les soins.
Mais, cher « Professeur » , où avez -vous entendu dire que le Docteur Sanchez du CHU de Reims avait besoin d’être « forcé » à arrêter l’alimentation et l’hydratation alors qu’il a toujours fait des pieds et des mains pour y parvenir.Le voilà sévèrement taclé, de même que les apprentis sorciers de la la mortifère Loi Clayes-Léonetti, par le Comité des droits de la personne humaine à l’ONU.C’est assurément une très grande joie pour les parents et amis de Vincent et une décision d’une importance capitale pour le respect absolu de la dignité humaine. Deo gratias.
Il n’y a aucun tacle. Juridiquement parlant cette décision n’a aucun caractère obligatoire
C’est un tacle moral considérable, vous le savez très bien et une très forte incitation pour les Dr Mabuse à remballer leur attirail mortifère.Pour une fois soyez beau perdant, vous en serez grandi.
Une incitation n’est pas une obligation.
Je crois en sus que vous vous trompez lourdement.Car la France a non seulement signé la Convention de l’ONU du droit des personnes handicapées, mais elle l’a ratifiée le 18 février 2010 , de même que le Protocole facultatif qui l’accompagne.Notre pays se trouve donc particulièrement engagé à respecter ladite Convention.
Ceci étant, je ne vous fait pas dire que de la part d’ un système qui , de son propre aveu n’existerait plus que par la force des LBD, on peut s’attendre à tout en terme d’humanité et de respect de ses engagements sur ce plan.
En fait il semble que vous êtes dans l’erreur du point de vue juridique.
https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/05/05/affaire-vincent-lambert-un-comite-de-l-onu-demande-le-maintien-des-soins_5458362_3224.html
Votre prudence vous honore cher Professeur : « il semble » tout juste en effet, car vous avez bien perçu que l’intox faiblarde du Monde n’a rien d’une démonstration en droit.La mère Buzyn risque d’avoir longtemps l’occasion de faire semblant de consoler son électorat de bobos égarés dans le marigot du prêt-à-penser-pour-avoir-l’air- d’exister.
Lisez donc attentivement les articles de la Convention des personnes handicapées et du protocole facultatif ratifiés par la France , cela vous évitera une déception tardive.
Allez pax tecum, et pardonnez-nous d’avoir la faiblesse de ne pas vouloir toujours perdre.
Le juridique est un domaine que je ne maîtrise pas forcément. mais tous les articles que j’ai lu vont dans le même sens. Il n’y a pas de caractère contraignant. Si c’était l’avis de la CEDH ce serait le cas. permettez moi d’avoir la faiblesse de croire que vous n’avez pas toujours raison.
Rassurez-vous, je n’ai nullement cette dernière prétention.Je ne suis , « professeur » de rien du tout Bien au contraire j’ai eu très tôt l’esprit volontairement libéré de toute pollution distillée par la rééducation nationale qui vous est si chère. Et comme nombre de nos amis gilets jaunes de bonne volonté, je serais naturellement classé par votre aimable confrérie parmi les « obscurantistes ».Il suffit simplement d’être un homme libre pour justifier l’épithète.
Toutefois, la vie et ses tourments m’ont porté parfois à me pencher un peu sur le droit, à me poser des questions sur sa philosophie, sur les abus qui sont commis contre lui par idéologie révolutionnaire ou la rapacité ultralibérale ce qui d’ailleurs va naturellement très bien de paire.
Sans être être davantage « juriste » cela m’a porté à m’engager un peu dans la défense de mes contemporains et à l’occasion de mes collaborateurs, puisque qu’incidemment , de dirigeant d’entreprise, je suis un jour devenu syndicaliste chrétien, et en particulier leur délégué syndical pour défendre leurs emplois plus que menacés par une fusion acquisition.
Le cas, je vous le concède est assez rare, car il faut passer justement dans le chas de quelque faille juridico-politique du Système si savamment verrouillé.
(Je dis à l’occasion nos jeunes amis: si vous vous trouvez en situation , par exemple lors d’une fusion- acquisition,comme souvent, brutale, ayez le courage d’essayer , c’est humainement très instructif, compliqué, certes , mais possible, à condition aussi d’avoir une épouse courageuse , prête à la longue bataille,).
Bref cela m’a donné si ce n’est le vernis doctrinal,dont , qu’il me soit pardonné,si peu me chaut, quelque expérience de la pratique du droit , puisque j’ai notamment fini par gagner devant le Conseil d’Etat, contre la Ministre du travail , une certaine Martine Aubry…). J’ai certes bénéficié de l’aide d’un avocat ami. Mais vous savez sûrement qu’un avocat sans « munitions » et sans la collaboration de son client , c’est un peu comme l’albatros sur le pont d’un bateau…
J’ai donc une petite expérience si ce n’est du droit, ce serait prétentieux, mais au moins de la réflexion à caractère juridique.Et donc je vous confirme, qu’en dépit des articles des media « déconfiés » et nécessairement idéologiquement aux abois que vous avez pu lire, le Gouvernement est nécessairement fortement embarrassé par cette affaire qui tombe au si mauvais moment. Alors qu’en effet ,avec son piteux lourd chalut manifestement diesel , qui tient au demeurant davantage du radeau de la méduse, que d’un fier thonier breton, il était parti , Loiseau en tête dans le goût de l’Albatros coincé sur le pont , à pêche intensive aux voix catholiques!…
D’où l’empressement de la mère Buzyn, ex-bru de la mère Veil, ( tiens donc, comme on retrouve le « milieu » néo-« humaniste » !) de jeter à la hâte, une bouée- déjà crevée- à la mer ( dans le goût « Salpêtrière » du marri Castaner) , histoire de dire, et surtout de faire entendre à ses troupes déjà peu alertes : » circulez , il n’y a rien a voir , surtout pas de vagues (! ) sur ce sujet pendant la campagne électorale, l’incident est clos. »
Je conviens toutefois avec vous sans peine que tout est possible de la part d’un pouvoir qui croit toujours devoir enseigner, et au besoin imposer aux nations sa conception quasi religieuse du bien et du mal.
Et l’usage, malgré la mise en garde , également de l’ONU des LBD, et de la répression intensive qu’il fait , du traitement hors de proportion qu’il inflige au boxeur Dettinger , défenseur d’une femme en danger,( cf le livre d’Antoine Peillon, « Coeur de boxeur », qui sort aujourd’hui ) est parlant et, si j’ose dire, frappant.
Chacun sait en outre que la volte-face et la duplicité de langage sont ses manières les plus constantes de gouverner.
Il n’en reste pas moins qu’il s’agirait là de renier un engagement juridique solennel, une double ratification, de portée internationale :la ratification de la Convention du CIDPH et ,du Protocole facultatif rattaché et même un premier palier de jurisprudence précédemment franchi à l’égard de ceux -ci. Cela ne pourra se faire en douce, mais tout au contraire, cette fois, aux yeux du monde, et du monde diplomatique en particulier et pas seulement sous le regard du seul peuple de France si savamment anesthésié de longue date par la propagande systémique sur de tels questions primordiales pour le devenir de l’humanité.
Je ne veux pas préjuger que celles-ci ne vous touchent pas, mais hélas, semble-t-il de manière si théorique, si « professorale » en somme.
Bonne méditation, si vous le voulez bien.Bonne journée.
« Il existe un vrai débat sur le point de savoir si les décisions du comité sont contraignantes ou pas », relève Nicolas Hervieu, spécialiste en droit public. Certes, la France a bel et bien signé en 2008, à la fois la Convention relative aux droits des personnes handicapées et son protocole qui permet à tout citoyen de s’appuyer sur ce texte pour saisir la justice, et elle doit donc respecter les décisions du conseil. Cependant, la Convention ne prévoit aucun mécanisme de sanction vis-à-vis des États récalcitrants, ce qui laisse, de fait, planer un doute sur son caractère impératif.
Merci d’évoquer cet article pertinent. D’autant que ,remarquons-le , ce n’est que l’avis d’un spécialiste parmi d’autres et il a déjà le mérite de n’être pas tranché , contrairement au vôtre initial. Il est normal de surcroît , qu’en droit les choses ne soient pas figées, puisque cette Convention est très récente dans l’histoire du droit international. La jurisprudence est simplement en cours et précisément plutôt favorablement orientée dans le sens du respect de la dignité de toute personne humaine, quelque soit son handicap,notamment , et entre autres , volens, nolens , par le concours de la France qui a déjà obtempéré à une recommandation du CIDPH.
De même, l’absence provisoire de sanction à la disposition de cette effective juridiction ne justifierait nullement toute transgression du droit énoncé.
Nous verrons ce qu’il en sera dans la suite de cette affaire. J’ai cru comprendre que la France avait un délai de six mois pour répondre au comité de l’ONU.
En effet , restez prudent cher « Professeur » .Car à déroger à cette sage précaution, vous risqueriez d’y laisser quelques lauriers de votre couronne d’un « Gai savoir » somme toute déjà quelque peu tristounet sur le fond . Rendez-vous en tout cas sur ce thème au plus tard dans six mois , sachant de toute façon que répondre n’est pas conclure et encore moins emporter le morceau. Hopla, Gute nacht., wie gesagt.