Des universités anglaises tolèrent-elles l’apologie de la pédophilie ? «L’intérêt pédophile est naturel et normal pour les mâles humains». « Au moins une minorité non négligeable d’hommes normaux aimerait avoir des relations sexuelles avec des enfants … » Ces citations ne proviennent pas de la presse soixante-huitarde ou de la propagande immonde du PIE (Paedophile Information Exchange) qui bénéficiait autrefois du soutien de personnalités politiques de premier plan.
Non, ces propos qui présentent la pédophilie comme « naturelle et normale » datent de juillet 2014 et ont été prononcés lors d’une session académique d’été organisée par l’Université de Cambridge !
Parmi les thématiques abordées très officiellement : «Libérer le pédophile: une analyse discursive » et « Les enjeux de l’hébéphilie »… L’hébéphilie est présentée comme la préférence sexuelle pour les très jeunes adolescents dans la puberté précoce, généralement entre 11 et 14 ans !
Parmi les participants à cette session d’été de l’Université de Cambridge, il y avait un homme très enthousiaste, Tom O’Carroll, délinquant sexuel pédophile multirécidiviste, militant de longue date pour la légalisation des rapports sexuels avec des enfants et ancien dirigeant du Paedophile Information Exchange (PIE) . « Merveilleux! », Écrivit-il sur son blog à propos de ce qu’il entendit à l’Université de Cambridge en juillet 2014.
La Grande-Bretagne a un grave problème avec la pédophilie. Depuis plusieurs années, les scandales se multiplient et éclaboussent des personnalités de la Finance, du monde politique, du showbiz et même de la Famille royale britannique.
Mais malgré ces scandales qui font la une des médias, l’apologie de la pédophilie à l’Université de Cambridge est passée quasiment inaperçue.
Il faut aussi noter les tentatives renouvelées de repousser les limites de l’acceptabilité de relations sexuelles avec un enfant.
Avec la pilule, la légalisation de l’homosexualité et la diminution des tabous comme le sexe avant le mariage, les années soixante-dix ont ouvert la boîte de Pandore et légitimé tous les vices. Et des appuis importants sont venus du monde universitaire. En 1981, un éditeur respectable, Batsford, a publié un livre intitulé Perspectives sur la pédophilie, écrit par Brian Taylor, professeur de sociologie à l’Université du Sussex. Fait troublant, le livre était destiné à « aux travailleurs sociaux, travailleurs communautaires, agents de probation et gardes d’enfants ».
Parmi les personnes qui ont a collaboré à la rédaction de ce livre, il y a Peter Righton a été directeur de l’éducation à l’Institut national pour le travail social et a plus tard été reconnu coupable de crimes sexuels commis sur des enfants.
Mais deux autres personnes qui ont collaboré à ce plaidoyer pour la pédophilie sont toujours académiquement actives et influentes.
Ken Plummer est professeur émérite de sociologie à l’Université d’Essex. Il y dispose d’un bureau et y donne encore des cours.
Le Professeur Plummer est lui-aussi encore présent sur les campus universitaires malgré qu’il fut membre du PIE.
Interrogé au sujet de ces deux professeurs, un porte-parole de l’Université d’Essex s’est limité à citer la charte de l’université qui donné au personnel universitaire « liberté de mettre en avant des opinions controversées et impopulaires sans se mettre en péril ».
Graham Powell est l’un des psychologues les plus éminents du pays, un ancien président de la British Psychological Society et un fournisseur actuel de services de soutien de la psychologie à la Serious Organised Crime Agency, le National Crime Squad, la Metropolitan Police, la police du Kent, l’Essex Police et de la Internet Watch Foundation. Il avait également signé un chapitre dans Perspectives sur la pédophilie, dans lequel il estimait que l’acte pédophile n’était pas nécessairement traumatisant pour la victime…
Autre intervenant à cette session d’été de l’Université de Cambridge les 4 et 5 juillet 2014, Ray Blanchard, professeur de psychiatrie à l’Université de Toronto.
Mais l’intervention la plus controversée fut faite par Philip Tromovitch, professeur à l’Université Doshisha au Japon, qui a déclaré dans une présentation sur la «prévalence de la pédophilie » que la « majorité des hommes sont probablement les pédophiles et hébéphiles» et que «l’intérêt pédophile est normal et naturel chez les mâles humains « .
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Est-on certain que le véritable lanceur de la banane n’est pas un grouillot de l’agence de publicité en question ? car attendre « le meilleur moment pour le divulguer, et ç’a été après ce qui s’est passé ce dimanche avec Daniel », ça pouvait durer longtemps, un moment où un Noir, face caméra, pouvait se baisser, ramasser une banane, etc. [On pourrait aussi vérifier la validité du corner.]
Donc, ceux qui lancent des banderoles, des fumigènes – voire des quenelles… –, il risquent la radiation jusques à la fin de leur mort aussi ?…
Bon, je m’astreignais à bôfi une banane par jour pour mon hypertension : je vais devoir m’en accommoder, si je veux rester raciste…
R. Budelberger, quelque peu complotiste, mais comme le dit l’adage : « Même les paranoïaques ont des ennemis. ».
A condition d’accepter la définition scientifique de l’homme moderne, nous serions de la famille des hominidés, donc une espèce de singe mais qui sait qu’il sait (sapiens sapiens).
Donc la personne exclue des stades n’a t elle pas fait que rendre publique dans un stade une « vérité » scientifique que jamais les spectateurs n’auraient jamais connue?
Encore un GALILEE qui s’ignore.
Le racisme ne serait il pas un réflexe conditionné dans chaque individu pour sa survie ou permettre sa colère concurrentielle ?
bref au nom de l’Egalité, le RACISME POUR TOUS est donc universel quelque soit la profession de foi et les dénégations.
Pour le faire disparaitre (le racisme) , faut-il faire disparaitre l’homme moderne sapiens sapiens qui sait qu’il est raciste en le niant ?????
La manipulation des offres d’un diable culturel servent bien le commerce. Ploutocratie mondiale mercantile.