Information capitale publiée le 16 octobre par nos camarades belges du site de l’Observatoire des extrémismes de gauche :

« Quand les militants gauchistes ne hurlent pas contre le fassssisme et le rasssssisme (oui on sait ça ne s’écrit pas comme ça mais souvent ils le prononcent ainsi), ils multiplient les professions de foi pro-féministes. Ils multiplient les symboliques d’égalité entre les sexes comme par exemple toujours écrire certains mots au masculin et féminin (par exemple : les militant(e)s qui étaient présent(e)s ).Mais à la lecture de ce qui suit, vous comprendrez qu’ici aussi, il y a ce que les militants gauchistes prétendent défendre et puis, il y a ce qu’ils sont vraiment. Un procès emblématique à cet égard a eu lieu l’été dernier à Parme en Italie. Il jugeait des militants d’extrême-gauche qui fréquentaient le « Réseau Antifasciste de Parme ». Réseau qui occupe un squat dans la ville de Parme.

Le sujet du procès ne concernait pas de glorieux combats contre « l’hydre fasciste » ni contre « les forces de répression » mais bien un viol collectif commis en 2010 dans le squat en question. En effet, en 2013, suite à un attentat à la bombe contre des locaux d’une organisation politique nationaliste, la police perquisitionne le squat en question. Et lors de cette perquisition, elle mit la main sur une vidéo d’un genre très particulière puisque on pouvait y voir le viol collectif d’une jeune fille (on apprendra plus tard qu’elle avait 18 ans au moment des faits). Viol qui avait eu lieu en 2010 et qui s’est déroulé dans le squat. Viol particulièrement odieux puisque les auteurs ont de plus pénétré leur victime avec un fumigène… La victime, activiste de gauche bien connue a été facilement identifiée par la police. Et alors que jusque là, elle n’avait pas porté plainte, elle a fini par « avouer » (ce qui est le sommet quand on est victime) avoir subi le viol collectif. Ce qui lui a valu d’être mise au ban de la mouvance gauchiste locale qui lui reprochait « d’avoir balancé des camarades ». Elle recevra d’ailleurs de nombreux mails d’insultes voire de menaces. Finalement, les auteurs ont récemment été condamnés à 4 ans de prison !

Ce qui est emblématique dans cette histoire, outre montrer le vrai visage et les vraies valeurs des antifa, c’est l’omerta qui a entouré toute cette histoire dans la mouvance gauchiste et féministe. Alors qu’elle n’était vraiment pas un secret : la vidéo du viol circulait et la victime avait même été affublée du surnom « la fumigène ». On admirera d’ailleurs le tact de ceux qui se disent progressistes et désireux de défendre la dignité de la femme.

A noter aussi qu’à de très rares exceptions, l’extrême-gauche belge n’a pas pipé mot sur le sujet alors qu’à Bruxelles notamment, elle repose quasi essentiellement sur quelques activistes d’origine italienne…et que donc, ils ne pouvaient pas ne pas savoir. Rappelons quand même qu’il n’y a pas que les Italiens qui ont cette drôle de manière de traiter les camarades féminines. On pense entre autres à Fouad Harjane, membre de la branche française d’Alternative Libertaire [Organisation mère de l’association belge du même nom et dont le groupuscule “Bruxelles Zone Antifasciste” est lui-même issu.] qui a été accusé de viol sur une militante. Les très jeunes garçons antifa doivent d’ailleurs aussi se méfier. En effet, on se souvient en France du “célèbre” Paco (de son vrai nom Michel Gaucher), militant libertaire lui aussi condamné pour agression sexuelle homosexuelle. Il sera aussi accusé de tendances pédophiles. Comme quoi la prochaine fois que ces gens-la reprennent des slogans italiens, ils pourraient tout aussi bien crier, au lieu du classique « Siamo tutti antifascisti », le plus conforme la vérité “Antifa, nous sommes tous des violeurs !”

Quelques précisions et ajouts tirés des archives du drugar Hristo… (y compris les liens hypertextes insérés ci-dessus)  Fouad Harjane ne fait pas que tirer comme un attaquant, il sait aussi bloquer comme un défenseur… Ce syndicaliste CNT a eu le droit à une campagne de défense menée par le torchon d’extrême gauche Les Inrockuptibles comme un vulgaire Bertrand Cantat quand il avait été condamné à 40.000 euros d’amende pour avoir bloqué des voies de chemins de fer en 2006…

Dans la série des porcs antifas, notons également le maoïste anglais  Aravindan Balakrishnan qui a battu sa fille dès l’âge de 4 ans pour « exorciser ses tendances fascistes » et l’a séquestré 30 ans tout en violant plusieurs membres de l’Institut des travailleurs sur la pensée du Marxisme-Léniniste-Mao  Tsé-Toung à l’époque où il était encore le « camarade Bala ».

Il y a eu aussi l’affaire des antifas de la ZAD Las Rébès de Montpellier où quatre d’entre eux venus des cités avaient violée une jeune handicapée mentale de 19 ans en septembre 2016. Un fait similaire se déroulera au squat antifa Le Royal, révélé le 15 février 2017 : un viol y avait été commis. Montpellier est vraiment la capitale de la porcherie antifa : outre plusieurs agressions sexuelles lors de Nuit Debout, une militante témoignait dès 2015 :

« des cas de harcèlements, de viols, de paternalisme et de condescendance sont monnaie courante dans le milieu dit militant, que certaines choses se savent et sont parfois dénoncées de façon interpersonnelle, mais qu’il n’y a jamais de dénonciation officielle et collective de ces actes. Toutes ces questions sont évacuées de façon expéditive en interne au bout de plusieurs mois ».

Et bien entendu, hommage au militant antifa dans toute sa splendeur, Guy Rampillon « Georges », septuple violeur raciste…

S’il fallait compter sur les médias mainstream pour avoir ce genre d’infos… Heureusement que la camarade Kŭrtitsa est là…

Dernière minute : pour avoir dénoncé le viol chez les antifas, Pierre Sautarel de Fdesouche  est convoqué par la police pour la 3e fois en 15 jours. Visiblement, la libération de la parole doit se faire à sens unique…

 Hristo XIEP

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