Il était en colère le ministre de l’éducation nationale, Jean-Michel Blanquer. Très en colère après qu’une député des Républicains ait osé le qualifier, ce mardi 23 octobre à l’Assemblée nationale, de « ministre de l’impuissance politique » après l’agression d’une femme professeur à Créteil, menacée avec une arme par un « djeune » pendant qu’un autre filmait en rigolant la scène.

Il faut dire que comme solution à ce fléau de la violence dans les établissements scolaires, Blanquer a trouvé la solution miracle : interdire les téléphones portables à l’école ! Ils sont tellement plus dangereux que les armes…

La faiblesse du remède proposée illustre bien l’impuissance de l’Éducation nationale, de droite molle comme de gauche caviar, mais toujours bastion communiste, qui depuis des décennies est complaisante avec les voyous, déficiente en autorité et dérisoire dans la transmission du savoir.

Depuis deux jours, les réseaux sociaux font écho de la désespérance des professeurs confrontés à une violence insupportable. Solitude et manque de soutien de la part de la hiérarchie administrative sont les accusations qui reviennent en boucle sur le hashtag  “#pasdevague.” Un professeur de lettres raconte qu’une élève l’a frappée dans un couloir mais que “le conseil de discipline ne l’a pas même exclue”. Une autre, qu’un élève ayant agressé sexuellement un de ses camarades a réintégré la classe de sa victime après avoir été pourtant renvoyé définitivement par le conseil de discipline. 

“Quel triste aveu d’impuissance (…) que d’annoncer pour toutes actions l’interdiction du téléphone portable dans les lycées”, a réagi de son côté la FCPE (fédération de parents d’élèves), auprès de l’AFP, regrettant “qu’aucune question ne soit posée sur la responsabilité de l’institution scolaire”. 

Dans ce débat sur la violence en milieu scolaire, un fait est passé lamentablement sous silence, occulté, par le gouvernement et nombre de politiciens : le profil des agresseurs… en majorité issus de cette immigration qualifiée de “chance pour la France”. 

Blanquer, -mais ce surnom va comme un gant également à ses copains d’avant au ministère de l’Éducation nationale-, le bien nommé «  ministre de l’impuissance politique »…

Francesca de Villasmundo

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