Nous avions relaté il y a quelques jours la mésaventure arrivée à un prêtre dans le TGV Paris-Rennes. Les ecclésiastiques n’ont pas le monopole du racisme ferroviaire, mésaventure arrivée à deux reprises en 7 mois à la progéniture Xiep.

Avant de relater les faits, petite scène dont je fus témoin sur la ligne Montparnasse-Chartres il y a quelques années. Deux contrôleurs exerçaient leur fonctions, quand le plus jeune voulu s’enquérir de la régularité des titres de transport d’un groupe de jeunes exotiques appartenant à la partie musulmane du bassin occidental méditerranéen. Ces derniers, se targuant de n’avoir aucun billet, refusèrent de présenter leurs papiers d’identité, traitant le contrôleur de « sale blanc » et l’enjoignant à avoir avec sa génitrice les mêmes relations qu’en eut Oreste avec Jocaste. Dépité, le contrôleur allait voir le Chef, un barbu binoclard avec une tronche de syndiqué SUD, lui demandant une « intervention police à Chartres ». Réponse du Chef : « Tu as voulu les contrôler, tu gères ta merde, tu te débrouilles tout seul… ».

En juillet, le plus âgé des fils Xiep s’en revenait d’un séjour organisé par son école et devait s’en retourner seul de Paris vers notre capitale régionale. Il avait perdu dans un pays étranger son portefeuille, avec notamment sa carte de réduction SNCF. Il explique la situation à un contrôleur encore plus « jugulaire-jugulaire » qu’un drill sergeant  des Marines. Xiep Jr, malgré un billet dûment composté et des papiers d’identités en règle, se prend donc une amende de 120 €. 235 leva. L’équivalent d’une semaine de salaire moyen en Bulgarie. Mazen plŭkh !!! Notons que les personnes présentes dans le wagon prirent fait et cause pour le kadet qui, visiblement, payait pour ses cheveux blonds, ses yeux bleus et l’air du garçon qui ne fera pas d’esclandre.

Samedi dernier, papa Xiep devant aller gagner la pitance familiale en de lointaines contrées étrangères, c’est l’aînée des Xiep qui fut chargée d’organiser le déplacement des troupes de l’école à la maison. L’embarquement se fit dans une gare improbable d’une ligne mineure, où le seul composteur était cassé. Embarquant la tribu, la Xiepmelin alla s’en trouver la contrôleuse pour signifier la chose. Manque de pot, comme on dit dans le Béarn, elle tomba sur un contrôleur qui s’avéra être le pendant féminin du guichetier crétinoïde immortalisé par Régis Laspalès. Ayant remarqué que les enfants venaient d’une école catholique, elle colla d’emblée une amende de 70 euros à ma fille, ne voulant pas écouter ses explications et lui parlant de manière fort désagréable… Razvraten pepelyanka !!!

Beaucoup plus « courageux » devant des enfants bien élevés que devant des sauvageons de banlieues nos « amis » de la SNCF…

Nous sommes dans un monde où la gauche de droit divin sent son pouvoir vaciller. Elle va devenir de plus en plus violente, de plus en plus haineuse, de plus en plus répressive. Dans la tempête qui se lève, gardons ferme la barre, hissons le grand foc comme dit Philippot et chacun à son poste, drapeau rouge hissé. Non pas le drapeau des communistes, mais celui qui signifiait au temps de la marine à voile : « pas de quartier ». « On ne lâche rien ! » disaient les uns. « On ne laisse rien passer : » rajoute les autres. Que tous les patriotes, tous les vrais catholiques, tous les résistants à la Matrice, tous les mavericks se rassemblent sous la bannière de Civitas. Smũrt za sũtrudnitsi, ura poddrũzhnitsi !

Hristo XIEP

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