A une dizaine de jours des élections européennes du 26 mai dernier, sur Londres, Berlin, Paris souffle le vent des règlements de compte dans les partis perdants.

En France, tandis qu’Emmanuel Macron joue ses cartes plus valides au niveau européen qu’au niveau national, Laurent Wauquiez démissionne. Lors du vote du 26 mai, les héritiers du gaullisme sont tombés à 8 %, perdant des électeurs à droite vers Marine Le Pen et à gauche en faveur du parti de Macron.

Sur TF1 dimanche soir, Wauquiez a été forcé d’admettre son échec pour relancer les Républicains, parti au bord de la mort comme le moribond Parti Socialiste. Les divergences de politiques au sein du mouvement, entre les souverainistes et pro-famille tiédasses et la fausse droite progressiste, se sont faites criantes. Et la débâcle est là pour le souligner. A force de vouloir contenter tout le monde on ne contente personne.

Laurent Wauquiez a pris acte que « les victoires sont collectives et les défaites solitaires ». Pourtant c’est le destin de son parti qui est dans la balance !

Francesca de Villasmundo

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