En Haute-Corse, l’association LGBTiste C3S continue d’avancer ses pions !
MPI soutient pleinement le collectif corse « A Scoba » dans sa lutte contre la propagande lgbtiste qui veut imposer ses perversions à nos enfants !
Nous avons appris hier soir qu’ils allaient intervenir aujourd’hui même aussi nous relayons le communiqué du collectif A Scopa qui a décidé de ne pas laisser faire !
Voici ce communiqué daté du mardi 16 septembre 2025 :
« Aujourd’hui mardi 16.09.2025 entre 16-18 heures, une série d’animations dites de « prévention » aura lieu devant le lycée de Montesoro en Haute-Corse. La participation est obligatoire : les élèves iront sous la conduite de leurs professeurs visiter les stands.
La plupart portent sur des causes qui peuvent paraître légitimes, mais la CPAM organisatrice a invité l’association C3S… qui l’est beaucoup moins.
C3S ou « Corse Stratégie Santé Sexuelle » est connue pour avoir le 6 juin dernier, organisé une conférence spectacle de drag-nonnes antichrétiennes à la médiathèque du Jardin de l’Empereur, en présence d’enfants très jeunes venus simplement lire.
Là encore, les parents n’étaient pas prévenus.
Loin de s’en excuser, « Sœur Marie Putin » s’était vantée que « des enfants aient été là et l’aient écouté ». (podcast « Sexistu » du 09 juin, 1’09). Et un représentant de la CPAM était présent pour les soutenir !
Averti des précédents, un responsable du lycée nous a promis de demander à l’association de ne pas sortir du cadre. Nous ne sommes donc pas les seuls que la situation inquiète. Comment faire confiance à des gens qui ont déjà, sous des prétexte de « prévention », « égalité H/F », « lutte contre les discriminations » etc… mené des actions militantes radicales devant des mineurs ?
Un adolescent est peut-être moins sensible qu’un tout petit… mais C3S tient envers eux un discours tout aussi inquiétant.
Son animatrice principale Paule Maerten affirme dans le même podcast que le changement de sexe chez les mineurs ne pose aucun problème : les traitement hormonaux à vie « ne causeraient aucun effet secondaire » (sic) et dire le contraire « serait une fake news ». C’est non seulement prouvé faux, mais contraire à la politique actuelle de la Haute Autorité de Santé.
Peut-on laisser tenir ces discours à nos adolescents ? Pourquoi la CPAM et l’ARS les cautionnent-elles ?
Le collectif « A Scopa » demande donc à l’administration du lycée d’excuser les parents inquiets qui n’enverraient pas leurs enfants visiter ces animations.
Nous voulons savoir si ces gens ont, comme ils le prétendent, l’autorisation de l’Education Nationale d’intervenir près et dans les écoles.
Vu l’inquiétude qu’ils suscitent aussi chez les enseignants, c’est douteux…
Collectif A Scoba »
Fabien Laurent
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