Les enfants de Corse – jusque-là très épargnés – subissent en ce moment une lourde attaque afin de les convertir au lgbtisme forcené.
MPI soutient pleinement le collectif corse « A Scoba » dans sa lutte contre la propagande lgbtiste qui veut imposer ses perversions à nos enfants !
Voici le communiqué qui met en lumière les faits commis par ceux qui travaillent dans l’ombre et qui détestent la lumière :
« Une conférence de drag-queens antichrétiennes devant des enfants corses : la médiathèque des Jardins de l’Empereur, à Ajaccio, l’a laissé faire le 6 juin dernier. Et les organisateurs se vantent d’être subventionnés par l’Agence Régionale de Santé et la Caisse d’assurance-maladie de Corse du Sud !
Cette association s’appelle « C3S ». Ses membres prétendent s’occuper de « santé sexuelle »… mais n’ont aucune formation médicale : leur seule « qualification » est d’être des activistes LGBT+ très radicaux. C’est un simple prétexte pour subventionner leurs folies idéologiques sur le dos de la santé des Corses. Que nos hôpitaux soient dans le rouge, au bord de l’explosion, qu’on crève sur des brancards dans les couloirs des urgences n’a pour eux aucune importance.
ARS, Sécu, rectorat… depuis 2024, plus de 160 000 euros ont été détournés de nos services publics pour alimenter une association continentale qui résume nos valeurs à « des idées préconçues, souvent ancrées dans la tradition et la culture insulaire, [pouvant] être déconstruites ». Voilà pourquoi on les voit monter des spectacles antichrétiens, essayer d’inculquer l’idéologie LGBT+ à nos enfants, etc. Nous respectons le choix de chacun de vivre sa sexualité comme il l’entend : mais ici c’est le peuple corse tout entier qu’on cherche à acculturer sous prétexte d’« égalité »
La dernière invention de ces activistes est la tenue d’une « Pride forcée », le 21 juin. Bastiais (2023) et Ajacciens (2024), homosexuels ou non, les ont jusque-là dédaignées ? C3S et ses partenaires associatifs vont tout simplement importer des manifestants à Bastia : on les fera venir par bus, par train… et même par bateau depuis la Sardaigne. C3S les racole depuis un mois dans tous les évènements culturels de l’île : arrivés sur place, ils auront deux heures pour faire leurs pancartes, matériel et assistance fournies. Tout leur effort se résumera donc à marcher cinq cent mètres sous le plus beau soleil de Méditerranée… avant d’aller faire la fête dans une soirée offerte par Una Volta.
Autrefois en Corse, pour tricher, on faisait voter les morts. Aujourd’hui, on fait défiler les vivants… aux frais du contribuable : publicité et trajet seuls ont coûté entre 60 et 150 euros par marcheur. Mais le pire reste à venir : si « C3S » bénéficie des largesses des administrations publiques, si elle est ouvertement soutenue par la préfecture d’Ajaccio, c’est qu’elle doit dès la rentrée 2025 assurer les controversés cours d’« éducation sexuelle » dans les écoles corses. On s’est bien gardé de nous le dire : le rectorat veut mettre les parents devant le fait accompli.
N’espérez pas que vos enfants y échappent : E. Borne a décrété en février dernier que la date de ces cours devait être cachée aux parents.
Spectacles de drag-queens, lecture de livres LGBT+ explicites…
Comble de cynisme, Mouv’Parents, association-mère de C3S, essaye de faire croire que cette sexualisation précoce de nos enfants aide à « lutter contre la pédocriminalité » (sic).
Ne nous laissons pas prendre à leurs mensonges : battons-nous !
Un si tocca a i nostri zitelli ! [On ne touche pas à nos enfants !]
Collectif A Scoba »
Fabien Laurent
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