Cinq ans après les faits, un jury a déclaré Jennifer et Jeromie Clark coupables de négligence criminelle. Le jury de Calgary, au Canada, a également déclaré les parents coupables d’avoir omis de fournir les produits de première nécessité liés à la mort de l’enfant. Au moment de son décès, l’enfant souffrait d’une éruption cutanée, d’une gangrène, d’une hypothermie et d’une infection à staphylocoques. Jennifer et Jeromie Clark, militants vegans et mormons, n’avaient jamais emmené l’enfant chez le médecin. Ils ont emmené John, âgé de 14 mois, à l’hôpital la veille de son décès. Les parents ont affamé l’enfant à mort avec un régime végétalien strict.
Selon plusieurs rapports, en novembre 2013, Jennifer et Jeromie Clark ont amené leur fils, John, dans un hôpital local. Les médecins qui ont traité John ont témoigné qu’il avait des ampoules sur 70% de son corps, une gangrène sur quatre orteils, une hypothermie et une infection à staphylocoques. Au cours du procès, le docteur Tajdin Jadavji , un pédiatre spécialisé dans les maladies infectieuses , a déclaré au jury que le garçon de 14 mois ne rampait pas et ne se relevait pas. John a eu de nombreux retards de développement, mais les parents ne l’ont jamais emmené voir un médecin. Après l’arrivée du garçon à l’hôpital, le personnel l’a transféré à l’hôpital pour enfants de l’Alberta. Lorsque John est arrivé à l’hôpital, les médecins qui l’ont rencontré l’ont décrit comme «au seuil de la mort».
Lorsque l’état de John a décliné, les parents ont effectué des recherches sur Internet pour traiter la gangrène à la maison. Quand John ne s’est pas amélioré, les parents ont demandé une aide médicale à l’hôpital. Cependant, à son arrivée, l’enfant était dans un état grave. Au procès, un ambulancierqui a transporté John a déclaré qu’il avait l’air d’avoir été brûlé des pieds à la tête. Dans les 21 heures qui ont suivi son arrivée à l’hôpital, John est décédé des suites de sa maladie. Une autopsie a confirmé qu’il était décédé des suites d’une infection à staphylocoques liée à la malnutrition. Selon les médecins, il pesait 20 livres au moment de sa mort. La défense a tenté de soutenir que John était décédé des suites d’une toxicité liée au sodium suite aux soins reçus à l’hôpital. Ils ont également suggéré que le matériel utilisé à l’hôpital avait contribué à l’infection du garçon.
Au cours de l’enquête sur le décès de John, les autorités ont appris que les Clarks suivaient un régime végétalien strict. Jeromie et Jennifer ont admis que l’accouchement de John à la maison avait eu lieu en 2012. Après sa naissance, les parents n’ont jamais emmené John chez un médecin pour des soins pédiatriques. La seule fois où les parents ont amené l’enfant chez un médecin, c’était la veille de son décès. John a développé une éruption cutanée en raison de sa malnutrition. Les médecins ont déclaré que si les parents avaient été emmenés chez un médecin plus tôt, John aurait pu être traité pour l’infection de la peau. Ils ont également déclaré qu’il aurait pu recevoir un traitement pour améliorer sa nutrition. En fin de compte, l’incapacité de Clarks à fournir une nutrition et des soins médicaux adéquats à John a provoqué le décès prématuré de celui-ci, ce que des médecins ont déclaré à la Cour. Après trois semaines de procès, le jury n’a mis que 6 heures pour condamner les parents pour les deux chefs d’accusation.
Jennifer et Jeromie seront condamnés à une peine en février 2019. Selon le code criminel du Canada, le couple pourrait être condamné à la prison à vie.
Hristo XIEP
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Des études épidémiologiques avec d’autres méthodes ont été menées en Australie du Sud sur les infrasons du site éolien de Mac Arthur, en 2014. Etude menée sur des éoliennes VESTAS type V112 de 3 MW. Tous les résultats concordent. Des citoyens ont été ont affectés par les infrasons jusqu’à 8 km de distance. Etude menée sur un échantillon de 66 personnes, résidant dans un rayon de 8 km autour du parc.
Le sénateur John Madigan l’a révélé publiquement devant le sénat australien le 17 mars 2014.
Bien sûr, ces études ont été niées par la puissante filière éolienne, aidée dans sa mauvaise foi par de pseudo-scientifiques complices, comme il fallait s’y attendre.
Au Danemark, en 2015, un élevage de visons a été décimé : des animaux sont nés malformés ou aveugles et d’autres se sont entre-tués sans raison. Les vétérinaires sont formels : il ne s’agit pas de virus. Et encore moins de leur « imagination » comme le lobby éolien veut le faire croire.
Dans la Somme ( à Boisle) et en Loire Atlantique ( Puceul) ce sont les bovins qui tombent malades à proximité des parcs.
http://www.courrier-picard.fr/archive/recup%3A%252Fregion%252Fpicardie-des-eoliennes-tueuses-de-vaches-ia0b0n643642
https://www.youtube.com/watch?v=ss0Gf8R0q5c&t=5s
Au Danemark, c’est effrayant !..
https://www.youtube.com/watch?v=_RI_LxnZYM0&feature=youtu.be
Pour le reste je ne sais pas, mais il n’est pas étonnant qu’une étude épidémiologique sur 66 personnes n’ait pas été reconnu par la communauté scientifique. Il faudrait plusieurs centaines de personnes de différents âges, des différents origines et de différents situations géographiques (à proximité tout de même des parcs) comparées à un groupe témoin tout aussi représentatif et se trouvant au delà de la distance prévu pour que l’étude soit valable.
En suite pour les deux exemples cités il y a deux autres explications possibles aux événements : un problème de consanguinité qui peut s’observer de manière récurrente dans les élevages (pour des visons qui ne sont pas forcément l’espèce la plus répandue, ce serait assez probable) et des épidémies en Somme et Loire-Atlantique.
Il manque donc une étude sérieuse à grande échelle aussi bien sur les humaines que sur les animaux dans vos exemples (je peux jeter un oeil si vous voulez)
Pour l’instant, je n’ai pas pu repérer de protocole solide sur le sujet. La communauté scientifique semble être globalement d’accord pour dire que nous manquons de données fiables. Les troubles du sommeil semblent être les seuls sur lequel il y a un consensus (sachant que migraine et dépression peuvent être causés par ce type de trouble). L’ANSES recommande d’augmenter la distance minimum entre les habitations et les éoliennes jusqu’à 1000 mètres (contre 500 mètres actuellement).
Nous avons d’autres types d’installations humaines qui peuvent présenter des nuisances pour la santé en cas de proximité (routes, pylônes électriques ou même vos chers écrans de PC particulièrement connus pour jouer sur les troubles du sommeil). Nous avons donc deux solutions, soient trouver une alternative à ces installations ou aux matériaux qui les composent soit changer la législation des constructeurs pour qu’ils respectent les habitations, la dernière proposition étant la plus réaliste (sinon, on arrête de vivre).
Merci pour ce protocole détaillé. Très intéressant. En revanche, il vous manque un autre échantillon témoin (hormis celui de la mortalité en maison de retraite en 2005) : il faut que votre étude soit réalisée en parallèle sur un échantillon de maisons de retraite en dehors du périmètre des éoliennes (si possible aussi grand que l’échantillon exposé aux éoliennes), cet échantillon servant de témoin qui permettra d’éliminer les causes extérieurs. En effet la mortalité augmente en Europe depuis plusieurs années et vous devez donc être bien sûr que l’augmentation potentiel de mortalité que vous observerez n’ait pas dû à un simple phénomène de vieillissement de la population.
D’autre part, il va falloir que vous me donniez des sources concernant l’impact sur les animaux (et que vous précisiez la nature de cet impact).
Pour les animaux, je pose la question dans la mesure où je n’ai pu trouver que des études sur les oiseaux (impact lié à la collision), les chauve-souris (collision également) et les animaux marins (non affectés) donc je suis assez surprise. Au final il y a plus de documentations (pour l’instant au niveau de mes recherches sans protocole solide) sur de possibles effets sur la santé des êtres humains (essentiellement le manque de sommeil et des symptômes qui en dérivent) que sur celle des animaux.
L’éolisme est une perversité. Il suffit de mentionner les poèmes de Sappho, écrits en éolien à des éoliennes sur l’île éolienne de Lesbos.
Il est certain qu’ un mauvais vent d’Est nous vient de là-bas, Lesbos !
Abrutiglio , grand voyageur lesbien pour l’ occasion, y allah en pèlerinage et en revint en aéronef muni d’ hélices, papales car pulsant l’ air à grande vitesse, avec quelques immigrés musulmans à bord .
Et oui ! de Lesbos, nous est venu le Blanc bachibouzouk,
Et dans ses soutes de quoi mettre le Souk !
Si un jour les pales de ces moulins devaient être retirées,
je suggère que les pylônes deviennent autant de minarets .
L’ éolisme est bien une perversité !
@ M. Léo Kersauzie
Peut-on vraiment étudier l’échantillon « population de maisons de retraite », et en tirer des conclusions pour l’ensemble de la population?
Autant étudier l’effet du Beaujolais dans les maternités, et en tirer des conclusions pour 66 millions de français!
Merci d’éclairer vos lecteurs.
Effectivement, c’est l’autre grande faille de l’article. Dormir moins, réduit l’espérance de vie si cette diminution globale a lieu durant toute la vie et nous n’avons donc pas assez de recul par rapport à l’installation des éoliennes. Et effectivement, on ne peut pas étendre les conclusions au reste de la population.
Cependant, il est toujours intéressant d’avoir des données centrée sur un sujet particulier (ici la mortalité en maison de retraire à proximité des éoliennes) du moment que le protocole est bien encadrée. Ce qui me saute aux yeux c’est l’absence de la population témoin mais il faudrait l’avis de scientifiques plus spécialisés sur ce type d’étude (mortalités en maison de retraite, je veux dire) pour valider ou non le protocole avant sa mise en place.
Madame,
vous portez très bien votre pseudo!
Effectivement, pour l’éolien comme en toute chose,
il y a des « ombres » et des « lumières ».
Pour ma part , il est un homme peut-être un transgenre …MCF 69
La méthode de Mr Brasseur est fort intéressante et mérite en effet d’être développée et parfaite, mais il est certain que les lobbys des éoliennes ne tiennent pas à ce que des méthodes objectives et fiables voient le jour pour de sombres raisons que l’on sait.
S’il ne s’agissait pas de sujet aussi grave que la santé, il serait d’ailleurs amusant de voir comment certains défenseurs acharnés de ces moulins si prompts à sortir leurs règles à calcul pour asséner « leurs vérités » en usant de données des plus aléatoires sont immédiatement vent debout dés qu’il est question de parfaire une étude sérieuse et objective. Bien entendu, il y a fort à penser que les résultats de celle-ci seraient certainement à 1000 lieues du tableau idyllique qu’ils essaient de brosser afin de justifier l’implantation de leurs engins nocifs.
Souhaitons que cette méthode pragmatique voit le jour et soit affinée afin de démentir les louanges des adorateurs inconditionnels de ces monstres d’acier par la logique et l’indépendance qui se doit d’être la règle de toute analyse scientifique.