Le jeune Vice-Président des Etats-Unis, JD Vance, a assené plusieurs dures vérités aux gouvernements des nations européennes et à l’Union Européenne. En cause en tout premier : leur dérive totalitaire. « La menace qui me préoccupe le plus, vis-à-vis de l’Europe, ce n’est pas la Russie ou la Chine, ni un acteur externe… c’est la menace intérieure », la dérive totalitaire de l’Union Européenne et consorts.
Le jeune Vice-Président des États-Unis, JD Vance, à Munich, n’a pas ménagé son auditoire, les dirigeants européens
Pour son grand premier discours officiel, à Munich, lors de la Conférence annuelle sur la Sécurité, JD Vance, le jeune Vice-Président des États-Unis n’a pas ménagé son auditoire, les dirigeants européens. Entre courage, fermeté, ‘punchline’ bien assenées, il n’a pas faibli dans sa charge contre la dérive totalitaire de l’Union Européenne avec l’aide des gouvernants des pays vassaux. Laissant ses interlocuteurs pantois : la roue tourne, la censure du politiquement correct est condamnée, et les ‘élites’ tyranniques remises à leur place.
Déjà lors du Sommet de l’IA organisé à Paris par un Macron en mal de notoriété, JD Vance avait donné le ton de ce que sera la présidence Trump avec son concours : haro sur la censure qu’Ursula von der Leyen et consorts veulent instaurer sur les réseaux sociaux :
« Bien sûr, nous voulons garantir que l’internet soit un espace sûr, mais il y a une différence entre empêcher un prédateur de s’attaquer à un enfant en ligne et empêcher un adulte d’accéder à une opinion que le gouvernement considère comme de la désinformation. »
Les oreilles d’Ursula avaient du chauffer ce soir-là mais elles ont du brûler à Munich.
« En Grande-Bretagne et dans toute l’Europe, je crains que la liberté d’expression ne soit en recul. »
JD Vance n’a pas hésiter à attaquer tous azimuts pour condamner les manœuvres des dirigeants européens pour garder le pouvoir au risque d’empêcher des élections comme en Roumanie, , des opinons divergentes sur les réseaux sociaux, le contrôle de la pensée par l’emprisonnement des contestataires, etc :
Quelques phrases chocs du jeune politique américain qui a souligné à juste titre les défauts de Bruxelles, de l’Allemagne, de la Suède et du Royaume-Uni :
« En Grande-Bretagne et dans toute l’Europe, je crains que la liberté d’expression ne soit en recul. (…) Malheureusement, quand je regarde l’Europe aujourd’hui. (…) Le gouvernement britannique a accusé un homme de 51 ans du crime odieux d’avoir prié en silence à 50 mètres d’une clinique d’avortement. (…) Le gouvernement écossais a averti les citoyens que même la prière privée dans leur propre maison peut être contraire à la loi ».
« La menace qui me préoccupe le plus, vis-à-vis de l’Europe, ce n’est pas la Russie ou la Chine, ni un acteur externe… c’est la menace intérieure » insiste-t-il. En cause : l’effondrement de ses propres valeurs, l’échec de son leadership et la révolte croissante contre les élites mondialistes qui ont vidé de leur substance les nations occidentales.
Le déclin de l’Europe est une blessure qu’elle s’inflige elle-même
L’Europe est en train de se désagréger analyse Vance entre DSA, la loi européenne qui est censée réguler les réseaux sociaux, une immigration incontrôlée et un totalitarisme en marche. Ses dirigeants ont abandonné leur souveraineté nationale, n’ont pas su protéger leur population et ont laissé le déclin économique affaiblir leur position sur la scène internationale. Conclusion :
« Si vous fuyez vos propres électeurs, il n’y a rien que l’Amérique puisse faire pour vous ».
Les remarques de Vance révèlent la fracture de l’alliance occidentale, alors que les dirigeants européens tentent désespérément de conserver le pouvoir tandis que leurs propres citoyens rejettent leurs politiques ratées. Aussi JD Vance Vance tire la sonnette d’alarme : le déclin de l’Europe est une blessure qu’elle s’inflige elle-même.
Francesca de Villasmundo
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