Michaël Ferrari livre son avis sur les objectifs des dirigeants politiques dans la mise en avant d’exigences destinées officiellement à réduire l’empreinte carbone. A ce titre, Michaël Ferrari rappelle que l’expression « empreinte carbone » est une invention de British Petroleum pour détourner l’attention des catastrophes écologiques causées par l’industrie pétrolière en culpabilisant chacun d’entre nous !

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Je n’ai pas eu le temps de regarder cette vidéo; je la regarderai.
Sur le sujet, les meilleures explications sont chez Alexis Cossette-Trudel (Radio-Québec). Il a fait une émission spéciale là-dessus. On voit les nouvelles nourritures à base de grillons, etc…
Le débat sur la production de CO2, importé ou pas selon l’activité, est une vaste fumisterie et une insupportable escroquerie, qui pénalise lourdement la vie des particuliers et les économies des pays.
Le CO2 représente moins de 1% des gaz présents dans l’atmosphère et n’a aucun effet sur la température, comme le confirment nombre de scientifiques sérieux mais systématiquement boycottés (ce qui prouve les intérêts financiers qui se cachent derrière).
De plus, le CO2 est nécessaire à la vie des plantes, à la vie du plancton qui représente 90% de l’oxygène produit en contrepartie de son absorption.
En faire un gaz toxique est une totale aberration. Il s’agit en fait d’un stratagème pour détourner le regard du public des vraies pollutions et gaver de subventions les lobbies des énergies alternatives, lesquelles s’avèrent en fin de compte beaucoup plus polluantes et nuisibles, tandis qu’on saborde le parc nucléaire français au point de remettre en service des centrales au charbon ! Belle réussite française et, plus largement, européenne !