Combien de morts faudra-t-il encore, pour que les gouvernements occidentaux prennent la mesure du danger que représentent les musulmans islamisés par un Coran archaïque et rétrograde, incompatible avec nos valeurs, écrit au septième siècle par un Bédouin obscurantiste ? Depuis le 11 septembre 2001, on dénombre, pas moins, de six attentats terroristes islamistes par jour dans le monde entier. Les victimes des fous d’Allah – hors guerres d’Irak et de Syrie – se comptent par milliers ; à ce jour, ces détraqués ont fait 190 000 morts et 200 000 blessés. N’est-ce pas suffisant pour que nos dirigeants cessent leur angélisme, par calcul politicien ou par cécité coupable, envers les migrants venus du Maghreb et des pays arabes ?  

Le texte de la dernière pétition qui court sur Internet, à l’initiative de Renaud Camus et de Karim Ouchikh, décrit fort bien la conjoncture :

La “politique de peuplement” fait comme si l’Europe était un désert à coloniser. Partout sur le continent — sauf en quelques pays, Hongrie, Pologne, Slovaquie, République tchèque, etc., qui ont de la tyrannie des souvenirs moins lointains, et résistent à l’invasion imposée —, partout les autorités nationales et supranationales, oublieuses de leurs propres peuples, de leur identité et de leur souffrance, décrètent et répartissent la submersion migratoire, la substitution ethnique, le Grand Remplacement, l’avènement de l’homme remplaçable. Elles le font hypocritement en appelant à la compassion, alors que leur politique d’appel d’air précipite sur les routes et les mers des masses humaines inouïes, qui comptent une proportion infime de réfugiés authentiques mais qui paient tous les jours à l’espérance d’une vie meilleure, ou à la volonté de conquête, leur sinistre tribut de naufragés “.

Il est évidemment très difficile, pour l’habitant d’un pays dévasté, de ne pas imaginer qu’il puisse exister un ailleurs plus calme, un havre de paix ou une terre promise. 

Aujourd’hui, que le terrorisme islamiste et l’immigration incontrôlée ne soient pas sans relation, ne fait plus de doute pour la plupart des observateurs avertis. Ils ont bien compris que nous ne sommes plus à l’époque des migrations strictement économiques. À une époque, pas très lointaine, le pays de cocagne s’appelait, l’Amérique, puis les migrants préférèrent l’Europe. Qui, maintenant, est devenue une terre de mission pour les adeptes du djihadisme international. Pour ceux-là, le nombre de musulmans déjà établis permet l’espoir d’une islamisation de nos sociétés occidentales. Actuellement, combien de pratiquants en Europe ? Dix, vingt millions ? Sur une population totale de 750 millions, ça ne pèse pas lourd. Pourtant, l’arrogance des plus radicaux ne s’arrête pas à cette considération : connaissant toutes les failles de nos systèmes, ils se savent assez nombreux, et suffisamment soutenus par des élus collabos, pour organiser un désordre qui pourrait faire basculer nos sociétés. Face à ce défi, la responsabilité des dirigeants européens est engagée. Car, nous sommes en guerre contre un ennemi implacable : l’islamisme ! Puissant mélange de dérive religieuse, devenue terroriste, et d’idéologie mortifère, pire que tout ce que l’on a connu. Un cancer qui gangrène, peu ou prou, tous les musulmans ; heureusement, pour l’instant, tous ne sont pas tous touchés. Pour combien de temps ? Quelle est leur capacité de résistance ? À voir leurs faibles réactions, après chaque attentat, il y a de quoi s’inquiéter ! Et nos capacités, à nous ? La vraie question est là !  

Après chaque tuerie, plutôt que de poser des bougies, de faire des prières ou de se flageller en permanence pour notre passé de colonisateur, il serait temps, pour la France, comme pour tous les autres pays européens, de prendre les mesures qui s’imposent : retrouver le contrôle de nos frontières nationales, renvoyer les fichés S étrangers, mettre un terme définitif à l’immigration massive. Et pour les terroristes islamistes, d’appliquer la sentence que prévoit l’article 411-4 du Code pénal, en temps de guerre, à tous les traîtres ayant eu intelligence avec l’ennemi : 30 ans de réclusion ! Aux guerres d’antan, c’était la peine de mort… Somme toute, nous resterions très gentils de les nourrir pendant trente ans !  

Claude PICARD

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