Récemment nous avions raconté le triste sort des enfants vivants et viables nés d’avortements tardifs, qui dans un certain nombre de pays d’Europe n’ont pas de statut juridique. Ils sont alors tués et envoyés aux ordures voire jetés directement dans un incinérateur. A une question posée par un parlementaire européen du nom de Pinto sur cette affaire effroyable, l’Europe a répondu qu’il n’y avait pas de consensus permettant de donner un avis. Comme Ponce-Pilate ces gens se lavaient du sang de l’innocent. Alors que la protection des enfants est reconnue dès la naissance dans la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Le Dr Jerald Gaull, alors chef de la recherche pédiatrique à New York et à l’Institut d’Etat de State Island pour la recherche fondamentale dans le retard mental, a déclaré sans état d’âme que ces enfants vivants étant destinés à mourir, autant les récupérer pour faire des expériences et qu’ils servent à quelque chose (propos relayés par San Francisco Chronicle).
« Plutôt que de considérer que ce soit immoral de faire ce que nous essayons de faire, c’est une terrible perversion de l’éthique de jeter ces fœtus dans l’incinérateur comme on le fait habituellement, au lieu d’obtenir des informations utiles grâce à eux. »
Nous sommes dans la logique la plus extrême des nazis : comme ces Juifs Polonais sont destinés à mourir, autant expérimenter sur eux.
Ce « médecin » a expliqué qu’il venait en Finlande régulièrement pour se livrer à ces effroyables recherches. (Clinicquotes 22/10/2014)
Telle est la logique de l’avortement. Cette déclaration a suivi la loi d’avortement américaine. La Finlande poursuit-elle de telles expériences ? L’Europe n’a pas voulu savoir.
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Peut-être éliminent-ils sans le savoir de futurs LGBT ?
Il faudrait le leur signaler, car il n’y a que les atteintes sur ces personnes-là qui font bouger et se révulser les arrogants partisans de la culture de mort…
Tous les autres peuvent subir calomnies et barbaries sans que cela n’émeuve ces « salop-e-s » qui, à force de se vautrer dans le mensonge, le crime et la perversité, n’ont plus aucun respect de l’homme (et de la femme !) !
Je ne sais pas si la comparaison avec les juifs (ou autres adultes et non survivants) est très heureuse.
Croyez-vous que ces prématurés seraient en mesure de se débrouiller pour survivre puis vivre sans le concours d’adultes…et de la science ?
Quand on commence à accepter (voir souhaiter, notamment pour des raisons économiques) la mise à mort des plus faibles, il n’y a plus de limite.
Attention, Aline, vous êtes engagée, dans cette spirale de la culture de mort ! En persévérant dans cette voie mortifère, vous n’en sortirez pas indemne…
Dites-moi Fleur, la « culture de la mort », ce ne serait pas cette pulsion qui anime les croyants persuadés que l’au-delà – paradis, le Dar Es-Salem », nirvana ect – est une fin en soi méritant éventuellement de se sacrifier pour le mériter ?
C’est étonnant ce que la « vérité » érigée en certitude peut comporter de contradictions
Dites-nous, « ALLINE »:
1) la « culture de mort » et la « culture de la mort », ce n’est pas exactement la même chose
2) si je vous comprends bien, seuls ceux qui sont capables de se débrouiller tout seuls ont le droit de vivre? et vous faites quoi des « handicapés »?
3) qu’entendez-vous par « se débrouiller »? où? comment? pendant combien de temps? (parce que, s’il s’agit de « se débrouiller » à pas un petit nombre -allez, mettons une douzaine- pendant plus d’un siècle, c’est mal parti pour les LGBT pratiquants purs et durs?