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Nouvelle chronique de la genderofolie qui souffle sur le monde entier.

En Grande-Bretagne, précisément dans la ville de Birmingham, après 26 ans de bons et loyaux services, un médecin a été licencié de l’hôpital pour une raison paradoxale : avoir écrit « il » et non « elle » sur le rapport médical d’un transsexuel.

Le médecin a été renvoyé de l’hôpital et licencié sur le champ, après une discussion avec le transsexuel en question et un de ses supérieurs. Il a été accusé de discrimination envers celui qui se perçoit femme alors qu’il est homme !

Le fait est arrivé l’an dernier mais la nouvelle, comme le rapporte la BBC, est en train d’être connue du grand public parce que seulement maintenant le docteur Mackeret a décidé d’intenter un procès au gouvernement britannique pour licenciement injuste.

Le médecin, qui n’a jamais caché sa foi chrétienne, a déclaré à la télévision britannique avoir été pénalisé pour avoir, en vertu de sa foi mais aussi de sa conscience scientifique, reporté sur le certificat tout simplement la réalité :

« Devant évaluer quelqu’un qui est un homme biologiquement mais qui demande à être une femme, je ne me sens pas en conscience […] d’user le terme ‘elle’ ou ‘mademoiselle’ ou ‘madame’ dans le rapport. »

Mackeret a ajouté :

« En conscience je crois que le genre est déterminé par la biologie et la génétique, et je ne vois pas de motif d’avoir honte de cela. Ni d’être licencié. »

D’autant plus, que de la part d’un médecin il est normal d’attester d’une réalité biologique de facto, qu’il voit de ses propres yeux !

La genderofolie n’a pas de limites, elle broie toux ceux qui s’y opposent…

Francesca de Villasmundo

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Eric
Eric
il y a 5 années

Eh oui, il y a encore des pays où la jouissance individuelle passe après le bien commun…
En France cela aurait pu être possible avec des masques et des tests massifs d’emblée. Encore eût-il fallu que les choses fussent claires dès le début.
Au lieu de cela, on détruit le tissu social et le tissu économique et pour longtemps, mettant le pays à la merci des prédateurs financiers et industriels, on confine massivement les malades asymptomatiques et les non malades ensemble, aggravant ainsi la situation sanitaire, on confisque l’hydroxychloroquine et on ne protège ni le personnel soignant ni les pensionnaires des EHPAD, on déconfine au petit bonheur la chance sans aucune cohérence ni logique, et on en profite au passage – l’occasion est trop belle – pour discriminer les catholiques en les empêchant d’aller à la messe tout en autorisant tous les autres rassemblements de personnes.
La seule chose qui est à comprendre là-dedans, c’est que nous avons affaire à un gouvernement irresponsable, assassin, anticlérical et bassement mercantile qui veut laisser la part belle aux laboratoires pharmaceutiques, peu importe le nombre de morts.