3e acte en vue ? Un appel à l’organisation d‘une autre mobilisation générale le 1er décembre prochain parait sur Facebook. Le but cette fois-ci : demander la démission de Macron. Le mouvement ne semble donc pas s’affaiblir malgré la mauvaise presse que lui font les journalistes au collier, méprisant envers cette France du petit peuple, la «white middle class », la « France d’avant », celle des terroirs, de la baguette et du béret basque…
« Acte 3 Macron démissionne ! » est l’intitulé paru sur les réseaux sociaux appelant à une manifestation à nouveau sur la célèbre avenue parisienne. « La lutte a commencé, elle ne s’arrêtera pas sans contreparties importantes redonnant la dignité aux citoyens », ont averti les organisateurs dans une publication s’apparentant à un communiqué. En ce début d’après-midi, plus de 120 000 personnes annoncent qu’elles participeront ou s’intéressent à cet événement parisien.
Le 1er décembre prochain, les riches saoudiennes que le pouvoir préfère au « beauf » français, et qui viennent en France, et tout spécialement sur les Champs Élysées, faire leurs emplettes pour un Noël qu’elles ne fêtent pas, auront certainement du mal à s’y frayer un chemin…
Francesca de Villasmundo
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L’australie peut se permettre de parler de ce genre de sujet avec leur antecedent sur les aborigènes…
Des dizaines de milliers d’enfants aborigines ont été enlevé et kidnappé a leur parent pour etre « occidentaliser a la mode de l’eglise »…
Diffuris, qui ne semble même pas savoir conjuguer correctement un verbe régulier français de le première conjugaison, n’a aucune idée de la situation historique dont il présume dans son ignorance de parler. À l’époque concernée il n’y avait même pas des dizaines de milliers de parents aborigines, pour ne pas parler de leurs enfants. Il n’y avait pas de « mode de l’église » non plus, puisque l’Australie, ce n’etait ni l’Angleterre, ni la France avant 1789 et de 1802 à 1905. Il y avait plusieurs églises qui se querellaient entre elles et il n’y avait pas d’église nationale comme en Angleterre. En plus ce n’étaient pas ces églises qui faisaient certaines lois (que je ne cautionne pas forcément) selon lesquelles certains enfants furent soustraits à leurs parents à cause de maltraitement vrai ou imaginaire. Il est dans mon expérience personnelle, corroborée par des conversations avec des aborigines, que ceux-ci ne supportent pas l’alcool ; ou bien ils n’en boivent pas, ou bien ils ne savent pas « apprécier et consommer avec modération ». Il y a des Français, même des parents français, qui ne savent pas cela non plus et dont les enfants dans certains cas se voient enlevés par l’État et mis dans des institutions étatiques. Or, celles-ci n’existaient pas à l’époque en Australie, et c’est pour cela qu’on a utilisé les institutions gérées par les différentes églises. Avant tout on n’a pas tué les enfants de qui que ce soit, et c’est là où la comparaison avec l’EI perpétrée par Diffuris est infâme.