Austin Killips (à droite), photographiée sur le podium après une course en janvier 2023, est devenue la première femme transgenre à remporter une épreuve cycliste officielle en mai.
Austin Killips (à droite), photographiée sur le podium après une course en janvier 2023, est devenu le premier homme qui se définit comme une femme transgenre à remporter une épreuve cycliste officielle en mai.

Après des années de folie idéologique de genre, un certain bon sens semble revenir dans les instances sportives : les hommes qui se prennent pour des femmes seront dorénavant interdits des compétitions cyclistes féminines. L’Union Cycliste Internationale suit ainsi les pas des fédérations de natation et d’athlétisme.

Pour couvrir leurs échecs sportifs des athlètes hommes deviennent transgenres pour concourir dans les catégories féminines

Les athlètes hommes qui se définissent comme des ‘femmes transgenres’ après, disons-le sans scrupules, de nombreux échecs dans leur catégorie sexuelle biologique et ayant donc décidé de faire une ‘transition’ sexuelle pour ainsi concourir avec des femmes biologiques sur lesquelles ils dominent physiquement, ne pourront plus participer aux courses féminines de cyclisme. Enfin, l’instance dirigeante du cyclisme mondial, l’UCI a pris cette décision de bon sens.

L’Union Cycliste Internationale a rejoint les instances dirigeantes de l’athlétisme et de la natation en tant que sports olympiques de haut niveau, abordant ainsi la question des athlètes transgenres et de l’équité dans les épreuves féminines.

La décision de l’UCI est intervenue après que le coureur américain Austin Killips soit devenu la premier homme ouvertement ‘femme’ transgenre à remporter une épreuve cycliste officielle en mai. Killips a remporté la victoire lors de la cinquième étape du Tour of the Gila, l’une des courses par étapes les plus importantes aux États-Unis. Sa victoire a provoqué une réaction négative de la part de certains fans de cyclisme et d’anciens coureurs malgré le fait que l’athlète de 27 ans ait adhéré à une politique mise en place par l’UCI l’année dernière exigeant que les athlètes transgenres aient des niveaux de testostérone sérique de 2,5 nanomoles par litre ou moins pour au moins 24 mois avant de participer à des épreuves féminines.

Les athlètes hommes ‘femmes’ transgenres seront interdits de participer aux épreuves féminines pour « assurer l’égalité des chances »

« Désormais, les athlètes féminines transgenres qui ont fait la transition après la puberté (masculine) seront interdites de participer aux épreuves féminines du calendrier international UCI – dans toutes les catégories – dans les différentes disciplines », a déclaré la fédération internationale dans un communiqué.

L’UCI a déclaré que l’interdiction, à compter de lundi, était nécessaire pour « assurer l’égalité des chances ». En clair, les hommes qui se définissent comme des ‘femmes’ transgenres restent bien des hommes au regard de leur force physique nettement supérieure à celle des athlètes vraiment femmes biologiquement. Ce qui est une preuve en soi qu’être une femme est une condition biologique et physique et n’est pas un simple stéréotype inventé par la société et donc à bannir comme veulent le faire croire les ayatollahs de la déconstruction arc-en-ciel.

Voilà une victoire du réel sur la genderofolie que l‘on peut applaudir.

Francesca de Villasmundo

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