Le vote de la honte anti-français et anti-catholique !
L’Assemblée nationale a très largement adopté, mardi 30 janvier, le projet de loi constitutionnelle relatif à “la liberté de recourir à l’interruption volontaire de grossesse”. Le texte va maintenant être transmis au Sénat. Si les sénateurs votent le projet de loi dans les mêmes termes que les députés, un Congrès pourra être convoqué pour réviser la Constitution.
Que Dupond-Moretti se réjouisse bruyamment de cette horrible adoption en déclarant “L’Assemblée nationale et le gouvernement n’ont pas manqué leur rendez-vous avec l’histoire“, cela ne nous surprend pas.
Mais que sur 88 députés du RN, seuls douze (12) ont voté contre, c’est une capitulation en rase campagne et une honte absolue !
Vote RN contre :
- Bénédicte Auzanot
- Christophe Bentz
- Caroline Colombier
- Grégoire de Fournas
- Hervé de Lépinau
- Marie-France Lorho
- Yaël Menache
- Pierre Meurin
- Mathilde Paris
- Lisette Pollet
- Stéphane Rambaud
- Laurence Robert-Dehault
Et encore, les motivations de ce vote contre ne sont pas un “non à l’avortement” mais seulement – comme le rapporte Pascale Bordes (RN) – un texte “très éloigné des aspirations actuelles de nos concitoyens“, avant d’ajouter que “personne, absolument personne, ne souhaite dans la société française contemporaine remettre en cause l’IVG, notamment aucun parti politique au Parlement“.
Un aveu de taille qui a amené le groupe présidé par Marine Le Pen à ce résultat : 46 députés ont voté “pour” le projet de loi, dont la double finaliste de l’élection présidentielle, 12 ont voté “contre” et 14 se sont abstenus.
Le RN a montré son visage progressiste à cette occasion et l’influence grandissante du lobby arc-en-ciel au sein du RN : pro-avortement et gay-friendly.
Quelle crédibilité peut-on accorder à un parti anti-immigration mais pro-avortement ?
Avec qui le RN veut-il remplacer les centaines de milliers de bébés assassinés chaque année qui auraient pu repeupler la France ? Poser la question c’est y répondre : avec des immigrés !
Menteurs et complices.
Paul DEROGIS
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