Jacques Bompard explique la démarche de son projet de loi dans un communiqué :
« L’avortement en France concerne chaque année 220 000 enfants soit 220 000 femmes. L’ampleur de ce phénomène est alarmante. La France ne prône pas la vie. Les ornières idéologiques imposent une liberté à disposer de son corps sans prendre conscience de la réalité d’un être porté. Dans un monde où tout n’est qu’efficacité, productivité, transactions, la France instrumentalise les corps et les être. Elle banalise la souffrance des femmes. Elle nie celle du personnel médical obligé de réaliser des actes contraires à leur éthique dans une banalité dangereuse. La France n’a plus pour vocation de protéger les plus faibles, ici, les femmes enceintes et l’enfant qu’elle porte. Elle les a abandonnés, les femmes n’ont ainsi plus le droit à la souffrance, à la détresse.
L’avortement qui devait être une dérogation est devenu un droit banal. Les conséquences éthiques sont infinies. La réalité de l’avortement n’a jamais été présentée à celles qui sont concernées. Combien de femmes brisées dans leur être, la France devrait-elle regarder avec léthargie ? Combien d’enfants doivent mourir tués par acide ou découpés avant que nous ne prenions conscience de la barbarie qu’est l’avortement ?
Ce constat mortifère nous oblige à réagir. A ce titre, j’ai déposé une proposition pour protéger et soutenir les femmes enceintes, leur proposant une alternative à l’avortement. A la mort froide et inhumaine proposée par la législation, je veux prôner une alternative : ouverte à la vie et à la compassion !
Ces mesures sont diverses et variées. Je souhaite que les Françaises enceintes aient conscience qu’elles portent la vie. Je veux qu’elles puissent entendre le cœur de leur enfant pour qu’elles puissent s’en émerveiller et avoir le courage de le garder. Je veux qu’elles puissent bénéficier de temps avant de prendre une décision terrible et irréversible. Des alternatives à l’avortement existent. Je veux les promouvoir : des accouchements sous X ou la possibilité de garder l’enfant plein de vie grâce à des aides et droits accordés par l’Etat. Promouvoir la vie est le cœur de mon combat, je tiendrai ma place ! »
Voici l’exposé de ce projet à l’Assemblée Nationale :
Mesdames, Messieurs,
En 1975, Simone Veil décide de dépénaliser l’interruption volontaire de grossesse. Au cours du vote de cette loi, Mme Veil, alors ministre de la santé, en revendiquait le caractère exceptionnel : « l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue ». D’une dérogation, l’avortement est peu à peu devenu une obligation à laquelle il est devenu illégitime de s’opposer.
Or l’avortement, loin de se limiter à la suppression d’un « amas de cellules », concerne directement les femmes, qui y ont recours avec des séquelles physiques et psychologiques reconnues, et la société parmi laquelle des enfants qui ne naîtront jamais parce que des solutions alternatives n’ont pas été proposées. Les femmes sont souvent poussées à avorter à cause de leur entourage ou d’une certaine précarité. La France pour limiter la souffrance des femmes doit s’engager en proposant une alternative à la culture de consommation de masse des corps et des êtres. Si chaque année 220 000 bébés sont tués, la France est responsable. Si 220 000 femmes sont bouleversées et marquées à jamais par un acte irréversible, la France est responsable. Il faut proposer une solution digne et viable pour les femmes, dans le respect de la dignité des enfants qu’elles portent.
Des souffrances physiques et psychologiques réelles niées
Plusieurs problèmes émergent au sujet de l’avortement : les souffrances de la femme ne sont pas écoutées ni celles avant l’avortement, ni celles pendant, ni celles après. Nous les étudierons donc. Il est assez surprenant de constater que peu d’études sont faites en France pour comprendre ces syndromes. La souffrance, la détresse de la femme sont réelles. Toutefois, la société mercantile élimine les problèmes froidement, sans aucun respect pour la sensibilité féminine qui souffre d’un tel silence.
La souffrance psychologique des femmes est tacite et ne veut pas être reconnue car des ornières idéologiques l’interdisent. Pourtant, selon un sondage de l’IFOP de 2010, 83 % des Françaises estiment que l’interruption volontaire de grossesse « laisse des traces psychologiques difficiles à vivre pour les femmes » et qu’ « Au-delà des seuls aspects physiologiques, l’interruption volontaire de grossesse demeure un événement souvent difficile à vivre sur le plan psychologique. Cette dimension, si elle est volontiers mise en avant, manque d’éclairage objectif et scientifique ». Face à cette souffrance, 60 % des Françaises estiment que « la société devrait davantage aider les femmes à éviter le recours à l’interruption volontaire de grossesse » (sondage IFOP de 2010). Ces souffrances doivent être écoutées et non étouffées par une solution unique dévastatrice pour la femme ou l’homme qui a permis la création d’un nouvel être.
Les souffrances physiques de la femme pendant un avortement existent : maux de ventre, vomissements, saignements, voire perforation ou lacération du col de l’utérus (par interruption volontaire de grossesse non médicamenteuse), infections … « Il informe aussi la femme de la façon dont l’avortement par médicament va se réaliser. Entre quatre et soixante-douze heures, voire jusqu’à dix jours après l’absorption du médicament ou aux prochaines menstruations, le fœtus chaud et encore vivant – c’est-à-dire un enfant à naître – sera expulsé du corps de la femme ». Or les entretiens avec les femmes n’en font parfois pas mention. – Avant d’avorter, les femmes ont un premier entretien avec un médecin, le deuxième étant l’avortement -. Pas plus qu’ils ne font mention d’une réalité objective, à savoir : la femme, par cet acte, détruit l’embryon qui est un bébé. Cette absence d’information est perverse.
Enfin, les souffrances post-avortement sont peut-être les plus dures car il s’agit d’un constat amer et irréversible. Les conséquences physiques d’un avortement sont différentes et non systématiques mais ne sont pas assez abordées : cancer du sein, de l’utérus, des ovaires, du foie, risque de stérilité, de malformation d’enfants… Quant aux conséquences psychologiques, elles sont reconnues par de nombreuses études américaines, suédoises … mais pas françaises. Or cette réalité n’est pas niée. Par exemple, Roselyne Bachelot, dans une entrevue avec le député Louis Giscard d’Estaing en juin 2010, disait : « La mesure de l’impact psychologique de l’interruption volontaire de grossesse, par le biais d’une enquête menée auprès de femmes ayant eu recours à cet acte, rencontre des obstacles qui paraissent difficiles à surmonter. Il apparaît, en effet, indispensable d’éviter un mode d’interrogation des intéressées susceptible de mettre en cause la confidentialité de leur démarche vis-à-vis de leur entourage. Il semble, par ailleurs, délicat d’inciter des femmes qui n’en auraient pas exprimé le souhait à effectuer un retour sur une épreuve qu’elles ont souvent surmontée au terme d’un cheminement douloureux, comportant parfois une prise de décision difficile ». Conscient des bouleversements que l’interruption volontaire de grossesse provoque, il faudrait prôner une politique de l’autruche. Mais une autre est possible : celle de l’alternative à l’avortement.
Proposer une alternative à l’avortement, respectueuse de la dignité de la femme
La France, face à l’avortement, ne tient donc pas compte de la douleur de l’avortement : celle de tuer un enfant, mais aussi celle physique et psychologique de la mère. Il est du devoir de la France de mettre en place une politique respectueuse de tous pour limiter des choix dévastateurs. Plusieurs mesures dans cette proposition de loi sont proposées.
Dans le premier entretien avant d’avorter, le médecin, au lieu de ne présenter que la façon dont se déroule un avortement, doit présenter tous les enjeux auxquels sont ou seront confrontées les femmes. Ils doivent aider les femmes à comprendre qu’elles attendent un enfant et leur permettre d’écouter le cœur de celui-ci. Dans ce cas de figure, nombreuses sont celles qui, heureuses d’accueillir la vie, se refusent à accomplir cet acte. Le médecin doit aussi présenter les soutiens qui existent : les aides, droits, et avantages qu’elles peuvent recevoir de l’État. Car, si la femme est dans une situation précaire, il est du devoir de la société de les aider à accueillir ce nouveau Français.
Cette proposition de loi insiste sur la nécessité pour les femmes d’avoir du temps (la détresse dans laquelle elle est – et qui est ici reconnue – la rendant plus fragile). L’acte est irréversible, laisser une semaine ou deux (cf. articles) accorde une attention respectueuse des angoisses et souffrances de la femme. Quand aucun temps de réflexion n’est accordé à la femme, il ne s’agit que d’une compréhension mercantile de son corps. Réduite à une simple machine humaine, la femme n’est pas soignée dans la dignité. Ce temps de réflexion doit lui être accordé. Pour profiter pleinement de la liberté de son corps, la femme doit pouvoir l’écouter. Or cette écoute prend du temps. Il doit lui être accordé.
Est ainsi rétabli le caractère dérogatoire que souhaitait Simone Veil. En outre, les associations pro-vies ne feront plus l’objet de poursuites judiciaires car leurs œuvres sont louables et non pas le fruit d’un arriérisme révolu.
Merci et bravo monsieur Bompard !
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Merci pour cet article et les références des livres…
Quand je pense qu’il y a des gens qui osent encore dire que la FM est une organisation philanthropique où il serait aussi question de contribuer à l’étique en politique, etc.
La FM est l’ennemie de la France et des Peuples. Ce sont ces gens qui ont amené la France dans l’état de décomposition actuelle… Les jacobins étaient des francs-maçons ; ils sont les responsables de la terreur de 1793. Ils ont fait table rase de notre vraie Histoire. Ils contribuent à l’édification du mondialisme et du gouvernement mondial.
La FM est « un état dans l’Etat » dit la journaliste Sophie Coignard. C’est un lobby puissant avec de nombreuses ramifications. Ils aiment le secret.
Tous les présidents de la république sont francs-maçons sauf le Général de Gaulle qui était catholique pratiquant… c’est aussi pour cette raison qu’ils ont tout fait pour le chasser, car il contribuait au redressement de notre cher vieux Pays ainsi qu’à sa souveraineté. (voir INA.fr)
Le Maréchal Pétain a interdit la FM en son temps.
Un culte à lucifer est rendu dans les loges, sous couvert de laïcité.
– La FM est condamnée par tous les Papes depuis 1738. Tous les FM sont excommuniés ainsi que les personnes qui leur portent une aide.
Quand on est franc-maçon, on est un serviteur de lucifer/satan. De fait, on ne peut pas se dire Chrétien ni prétendre servir le Bon Dieu. On ne peut pas servir 2 maîtres à la fois ; il faut choisir…
c’est soit le Bon Dieu, soit lucifer/satan.
C’est ce que confirment par leur témoignage toutes les personnes qui ont pu s’échapper de l’emprise de ces organisations occultes, où elles sont rentrées sans savoir qu’elles allaient servir lucifer.
Pour le général de Gaulle, c’est sans doute l’opinion générale mais personne n’en sait rien sinon qu’il les a protégé à la fin de la 2ème GM leur permettant de sortir de la clandestinité.
Le pape François lui est un sataniste !
Il faut qu’il soit un des premiers sur la guillotine .
Parmi les dix commandements je me souviens d’un « Tu ne tueras pas ». E voilà comment une sataniste stupide se dénonce elle-même. Honte.
Merci de nous le décrire, et mieux de nous en faire un portrait-robot, qu’on puisse tous s’en préserver.
Non! Le vrai danger c’est le burkini des femmes pudiques.
Je plaisante bien sur.
Il faut aussi lire « Fils de la veuve » de Jean-Claude Lozac’hmeur (Editions de Chiré, 282 p., 21 €).
A la page 168 de son livre (Fils de la Veuve) M. Lozach’meur cite le Père Emmanuel : “Le diable dominait dans le monde avant l’avènement de Notre-Seigneur ; il dominait ouvertement et publiquement. Quand le Sauveur est paru, il sentit crouler son empire. Pareil à ces bêtes fauves qui à l’approche du jour rentrent dans leurs tanières, il dut quitter le grand jour et se retirer en de secrets conventicules” [les sociétés secrètes].
Merci pour la citation, Eric.
Quand on prend conscience de la réalité ; qui sont ces gens, en vérité… on ne peut plus se taire.
Un monument de bêtise !
Il devient un marronnier ! Tandis qu’au minimum la Franc-maçonnerie aura ramené notre frère Serge vers Dieu, qui pourrai lui en être reconnaissant.
Typique de l’inversion votre post ;
Combien sont perdus …dont vous Pierre-Philippe ?
Des millions et des millions sont perdus actuellement , c’est pourquoi nous devons prier sans relâche .
Priez mes enfants , Mon Fils se laisse toucher !
Notre Dame de Pontmain .
Peut-être avez-vous raison MA Guillermont ? Pour ce qui concerne un autre monde. Tandis que je puis vous assurer que je suis un homme véritablement heureux dans le nôtre, et, il ne date pas d’hier.
Pierre-Philippe , acceperiez-vous de nous dire pour quelle raison êtes-vous franc-maçon ?
Depuis combien de temps nous suivez-vous sur MPI ?
Qu’est-ce qui vous pousse à participer à nos échanges ?
Ne craignez – vous pas pour votre avenir FM , ne respectant pas la règle de l’anonymat ?
Que veut dire être un franc-maçon spirituel ?
J’ai encore de nombreuses questions à vous poser .
* Le hasard a frappé à ma porte, et, par curiosité, j’ai ouvert. J’ai ainsi rencontré une personne qui m’a dans un premier temps offert le bien le plus précieux : son temps. Je l’ai alors suivi.
* Je ne sais au juste depuis combien de temps je suis sur MPI, dont je trouve l’interactivité sympa.
* A question posée, réponse doit être apportée, selon moi.
* Etant un dignitaire connu, l’anonymat ne fait plus partie de ma vie.
* Spirituel pour le distinguer de celui qui ne s’occupe que de politique ou de sociétal.
Merci pour vos questions.
Vous croyez donc au hasard .
Pensez-vous que la spiritualité soit le fruit du hasard ?
Vous êtes sensible au temps .
Avez-vous vendu votre âme ?
Qui priez – vous en réalité ?
Avez-vous connaissance d’avoir échangé des années de temps matière contre une éternité de mort éternelle ?
Êtes-vous baptisé dans la Foi Catholique ?
Croyez – vous au Miracle de la Grâce ?
Savez – vous que votre âme vaut le Sang d’un Dieu ?
Jésus le Christ Fils du Dieu Vivant
Jésus a dit « Celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi »
Comprenez – vous que cela veut dire qu’il n’y a pas d’autre Dieu et que refuser Jésus c’est devenir son ennemi , en refusant l’Amour .
Et si l’on refuse l’Amour , on se lie avec le Mal
Croyez – vous en la Fin des temps , aux prophéties du Livre de Daniel et de l’Apocalypse de St Jean ?
Je vous remercie pour vos premières réponses .
Merci pour vos premières réponses .
Vous croyez donc au hasard .
Le hazard avait – il l’apparence d’une femme ?
Croyez – vous que la spiritualité soit le fruit du hasard ?
Vous attachez de l’importance au temps .
Avez-vous vendu votre âme ?
Préférez – vous échanger quelques années de bien – être de temps matière contre une éternité de mort éternelle.
Vous connaissez la phrase de Jésus : »Celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi »
Cela veut dire que celui qui rejette Jésus le Fils du Dieu Vivant devient son ennemi .
Savez – vous que votre âme vaut le Sang d’un Dieu ?
Or Jésus est l’Amour , Il a donné Sa Vie à l’arbre patibulaire pour racheter les péchés ignobles de l’humanité .
Donc celui qui refuse l’Amour se tourne vers le Mal .
Qu’en pensez-vous ?
Qui priez – vous en réalité ?
Croyez – vous en la Fin des temps , ressentez – vous l’accélération actuelle du temps et des événements ?
Avez-vous lu le livre de Daniel et l’Apocalypse de St Jean ?
Vous portez un titre pompeux qui peut donner un sentiment de toute – puissance , et revêt ainsi une forme excessivement insidieuse .
Nous avons deux manières d’êtres tout-puissants :
En nous passant de Dieu .
En nous prenant pour Dieu .
Pour trouver Dieu , un seul chemin … rendre à Dieu sa place et trouver la nôtre qui passe indubitablement par l’humilité .
Non, le hasard n’a pas eut pour moi l’apparence d’une femme (sourire). Aussi, ne dit-on pas que le hasard, c’est Dieu qui frappe à vôtre porte ? Or, ce jour-là, Il m’a suggéré de connaître la Franc-maçonnerie. Et, comme déjà dit bien m’en a prit. Cela, sans avoir eu besoin de vendre mon âme ni rejeter Jésus, rassurez-vous.
J’ai lu en effet le Livre de Daniel, tandis que je m’intéresse moins à la fin des temps, mais plutôt à la révélation – que m’aura permise d’approcher, via l’humilité, la Franc-maçonnerie.
Vous avez fait court pour réponse ce jour .
Craigniez-vous d’être pris en difficulté où ne pouvez – vous répondre sans dévoiler ce qui doit rester caché dans le temple de l’obscurité ?
Pierre-Philippe , pour Dieu le hasard ne peut être.
Dieu est Providence , suprême Sagesse .
Rapprochez – vous de Benoît de Ste Maure .
Vous aurez connaissance des prévisions actuelles .
Bien à vous , au plus près du Sacré-Coeur de Jésus et du Coeur Immaculé de Marie .
Dans la Volonté de Dieu le Père Tout-Puissant .
Je me permets d’insister :
QUI priez-vous ?
Vous ne pouvez l’ignorer .
Votre question est pertinente, à plus d’un titre d’ailleurs. Prions-nous en effet le même Dieu ? Le vôtre semble rejeter l’autre, tels les Francs-maçons; le mien, tout comme la Franc-maçonnerie d’ailleurs, n’a jamais rejeté les enfants de Dieu.
@ « Le vôtre semble rejeter l’autre »
Vous faites bien d’utiliser le verbe « sembler »…
Les apparences sont trompeuses, surtout avec le diable !
En effet, votre question est pertinente, et à plus d’un titre. Prions-nous déjà le même Dieu ? Le vôtre semble rejeter l’autre, tels les Francs-maçons; le mien, pas plus que la Franc-maçonnerie d’ailleurs, n’a jamais rejeté les enfants de Dieu.
S’il vous plaît , Pierre-Philippe , nommez celui que vous priez .
Il y a tant de synonymes à l’adjectif pertinent , en fin lettré, allez jusqu’au bout de la définition .
Notre échange post-it en relève , …
Qu’on l’appelle Dieu, le Créateur, l’Éternel, Très-Haut, Amon (litt. le caché), Aton, Allah, El, Seigneur (Adon, Adonaï), Ghadol, Tsedek ou Daghoul, Ha Shem ou Shekhinah, Jéhovah ou Ehyeh, El Elyon ou El Chaddaï, Indra ou Brahmâ, Ein sof, Ormusd ou Éveil ou encore l’Un. Toutes les métonymies ou les pronoms n’y changeant rien au final parce qu’en réalité aucun nom ne Lui convient ni, semble-t-il, ne doit être prononcé.
Excellente réponse qui semble avoir clos le débat.
Il en manque un cependant, et pas des moindres pour un franc-maçon : Le Dieu-Bon, Lucifer, vous savez, celui qui n’a qu’un objectif, nous couper du vrai Dieu, du seul Dieu « Je Suis », l’Amour en Vérité dont personne ne veut, parce qu’il veut notre sainteté, le con !