Feu le comédien Jean Pierre Marielle lit un extrait du dernier tome du journal que Léon Bloy lui-même ait donné à imprimer en 1916, Au Seuil de l’Apocalypse, sur cette variante : « J’attends les Cosaques et le Saint-Esprit. »

De son vivant, Léon Bloy n’était connu que d’un très petit nombre de lecteurs, de privilégiés qui lui vouaient une admiration sans borne. Lui-même se disait, comme ses livres, « invendable ».

Pour la presse du jour, c’était un pamphlétaire catapultueux, un raté haineux, un scatologue puant, un polémiste forcené, qui se vengeait comme il pouvait de l’indifférence dans laquelle ses contemporains laissaient tomber ses pamphlets, enfin un monstre d’orgueil.
Mais il se consolait avec le monde des âmes, que Léon Bloy était un des très rares à savoir explorer…

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