L'acteur Jim Caviezel dénonce la pédocriminalité
L’acteur Jim Caviezel dénonce la pédocriminalité

“L’île d’Epstein n’est pas la seule île où ils ont… des enfants”, a déclaré l’acteur de la Passion du Christ à Steve Bannon.

Lors d’une interview explosive accordée la semaine dernière à Steve Bannon, ancien conseiller de Trump, l’acteur catholique Jim Caviezel a accusé l’Etat profond mondial de collusion avec les médias dominants pour dissimuler sa complicité dans la traite des enfants.

“L’île d’Epstein n’est pas la seule île où ils ont… des enfants”, a-t-il affirmé. “J’ai juste commencé à remarquer que chaque fois qu’une histoire sortait sur le trafic – quoi que ce soit – elle disparaissait le lendemain.”

Jim Caviezel, 54 ans, est surtout connu pour ses rôles dans La Passion du Christ, Le Comte de Monte Cristo et la série Person of Interest. Il a également joué Saint Luc dans Paul, Apôtre du Christ. Il reprendra son rôle du Christ  dans le prochain blockbuster de Mel Gibson en 2024 : La Passion du Christ : Résurrection.

Lors de ses nombreuses apparitions publiques ces dernières années, Caviezel n’a jamais hésité à dénoncer la corruption qui règne parmi les célébrités. En conséquence, la presse aux ordres l’a collectivement qualifié de “complotiste”.

« Après La Passion, je n’arrivais pas à trouver de travail, a-t-il expliqué à Bannon. « Les studios ne voulaient pas m’embaucher. Mais voyez, ils sont tous contrôlés par les banques centrales.»

Jim Caviezel faisait la promotion de son prochain film Sound of Freedom, produit par le militant catholique Eduardo Verástegui. Le film est basé sur la vie de Tim Ballard, un ancien agent de la CIA et membre du Département de la sécurité intérieure qui a fondé Operation Underground Railroad ( OUR ) en 2013. OUR cherche à éradiquer et à prévenir la traite des enfants à travers le monde. Tim Ballard a demandé à Jim Caviezel de l’incarner dans le film. L’actrice Mira Sorvino joue le rôle de l’épouse de Ballard.

Bannon a demandé à Caviezel si le film – dont le tournage s’est terminé il y a plus de deux ans – était délibérément bloqué par Hollywood. Il était également curieux de savoir si cela dépeint des événements réels qui se déroulent aujourd’hui et si Caviezel pense qu’il y a une “épidémie” de traite des enfants aux États-Unis.

Jim Caviezel, habituellement bavard, s’est arrêté, a semblé peser ses mots avec beaucoup de soin et a déclaré qu’il “se bat pour ma vie” en faisant ce qu’il fait.

“C’est crédible”, a-t-il dit à propos du film. “C’est comme dans votre cœur quand vous savez, quand vous voyez qu’on vous dit quelque chose depuis très, très longtemps et puis tout d’un coup ça vous frappe.” Le film « répète beaucoup de ce qui se passe dans de nombreuses agences ».

Caviezel a confirmé les soupçons de Bannon selon lesquels il était difficile de faire passer le film sur grand écran.

« La dernière fois que j’ai vécu cela, c’était avec La Passion du Christ. Nous sommes dans la même situation. »

“Tim Ballard était à Fox Studios pour leur parler, et ils ne voulaient pas m’embaucher”, se souvient-il ensuite. “Et il a dit “non, je veux ce gars “… et il ne voulait pas changer d’avis, alors ils sont finalement allés vers moi. Et puis Disney a repris le studio. Et donc, vous voyez les activités qui se sont déroulées à Disney et bien, j’en comprends beaucoup plus maintenant…”

Il faut se souvenir que Mel Gibson avait également dénoncé la pédocriminalité qui sévit à Hollywood.

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

1 Commentaire
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Ça y est, le numéro 1 de la tout nouvelle revue Caritas est chez l’imprimeur et en prévente sur MCP.

Nous vous l’avions annoncé dans un précédent mailing : la naissance d’une toute nouvelle revue de qualité, Caritas, la revue du pays réel, et la parution prochaine de son premier numéro de 86 pages. Bonne nouvelle, : ce numéro 1 de Caritas qui consacre son dossier à la Lutte contre la haine anticatholique vient d’être envoyé à l’imprimerie et sera bientôt dans les librairies et les boites aux lettres des abonnés.

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette nouvelle revue : la revue CARITAS !