C’est une histoire à rebondissements qui se joue à la FNAC.

Depuis 2021, la FNAC commercialise un jeu de société ANTIFA, du nom des milices violentes d’extrême gauche. Le jeu de société en question est conçu par La Horde, repère de nervis anarcho-communistes.

En voici le descriptif trouvé sur Fnac.com :

Antifa, le jeu est un jeu de plateau de simulation et de gestion dans lequel vous faites vivre un groupe antifasciste local. Chaque joueur incarne un militant avec des compétences particulières. Chaque mois (qui correspond à une manche), votre groupe va être confronté aux exactions d’extrême droite et, pour chaque événement auquel vous allez faire face, vous décidez quelles actions mettre en place, chacune étant plus ou moins efficace et plus ou moins risquée. Au fur et à mesure de son existence, votre groupe va se retrouver dans des situations de plus en plus complexes, présentées dans différents scénarios en utilisant une sélection des cartes du jeu. Inventé par des militants antifascistes de longue date et inspiré de faits réels, Antifa, le jeu est aussi un outil de formation. La Horde est un collectif antifasciste issu du réseau No Pasaran. Ses militant·es sont des compagnons de longue date des éditions Libertalia. Ensemble, en 2019, nous avions publié Antifa, de Bernd Langer, une histoire de l’antifascisme en Allemagne.

A nouveau proposé à la vente pour la Noël 2022 des petits camarades d’extrême gauche (tiens, ils s’offrent des cadeaux à Noël, ces gens-là ?), le jeu de société a fait réagir quelques élus du Rassemblement National, dont le député Grégoire de Fournas.

Les critiques d’élus du RN n’avaient guère impressionné la FNAC. Mais le “jeu” en question a également provoqué le mécontentement du Syndicat des Commissaires de la Police Nationale qui a sommairement rappelé quelques exemples des joyeusetés auxquelles se livrent les antifas “qui cassent, incendient et agressent dans les manifestations“.

D’un seul coup, quelqu’un au sein de la FNAC a compris que ce jeu pouvait peut-être être interprété comme un encouragement à des comportements violents et hors-la-loi. Consigne a donc été donnée le 27 novembre de retirer des rayons le “jeu” de société en question.

Mais, bien entendu, toute l’internationale gauchiste s’est à son tour mobilisée pour faire pression sur la FNAC et réclamer la remise en vente du “jeu” ANTIFA, sous peine d’être assimilée à une enseigne néo-nazie. La direction de la FNAC s’est naturellement exécutée et s’est fendue d’un communiqué pour annoncer la reprise des ventes de ce “jeu” de société au service de la propagande pour les groupes violents d’extrême gauche.

Conclusion ? Un bon conseil, si vous en aviez besoin : n’achetez rien à la FNAC !

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