La guerre entre les ONG humanitaristes, collaboratrices des passeurs et des mafias d’êtres humains, et le ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini, continue.

Après avoir bloqué l’Aquarius pendant deux semaines, après avoir contraint l’Espagne à accueillir plus de 600 migrants récupérés à 20 km de la Libye, Salvini dénonce maintenant « l’énième très grave violation de la part d’un bateau ONG dans les eaux libyennes ».

L’ONG en question est Lifeline, celle qui a brocardé Salvini comme fasciste : elle a réalisé une opération de sauvetage de 300 à 400 migrants au large des côtes libyennes, provoquant ainsi un cas international et déclenchant la réaction du ministère italien.

« Lifeline, en contrevenant à toutes les règles et toutes les lois, a expliqué Matteo Salvini, ayant éteint depuis des jours les instruments de bord, à charger de force 224 clandestins. Ils étaient sur des pneumatiques partis de Libye dans des eaux de compétence libyenne. Les gardes-côtes italiens ont écrit à l’ONG « de ne pas bouger », « ce sont les autorités libyennes qui s’en occupent ». Tripoli a fait de même. Et qu’ont fait ces demeurés ? En mettant en danger la vie des migrants, ils n’ont pas écouté les autorités italiennes et libyennes et sont intervenus par la force pour charger la quantité précieuse de chair humaine à bord. »

La réponse de l’Italie a été ferme : « Que faisons-nous ? s’interroge Salvini. Ce bateau de pseudo-volontaires a un pavillon hollandais. Ce navire l’Italie ne le verra qu’en carte postale. Mais pas parce que je suis méchant. Mais parce que les règles vont respectées et on ne joue pas avec le vies humaines. Vous avez fait un acte de force ? Et bien, ce chargement d’êtres humains vous vous l’emmenez en Hollande. Je pense que la Hollande est disposée à seconder votre bonté. Les ports italiens, c’est non, passez au large. »

Le ministre de l’Intérieur a d’ailleurs montré la lettre envoyée au gouvernement hollandais afin qu’il se charge du navire de Lifeline. Ce dernier a renvoyé la balle à l’Allemagne en expliquant que « Seefuchs et Lifeline ne naviguent pas sous drapeau hollandais selon les conventions de l’ONU sur le droit de la mer. Ces bateaux appartiennent à des ONG allemandes et ne sont pas présents dans le registre naval hollandais. Donc la Hollande n’est pas en mesure de donner des instructions à ces embarcations. L’Italie est au courant de la position hollandaise. »

Parallèlement, l’Italie a demandé, et cela est une nouveauté, à la Tunisie d’intervenir puisqu’elle est, après la Libye, le pays le plus proche du bateau. « D’autres doivent intervenir. Je pense à Malte et à la Tunisie » a expliqué Salvini.

Mais étonnamment, c’est en Europe, le pseudo-Eldorado, que les humanitaristes, subventionnés par les financiers mondialistes tels Soros, veulent emmener les clandestins…

Mais schut ! Le Grand Remplacement organisé par les élites mondialistes n’existe pas…

Francesca de Villasmundo

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